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Décidément Robin Hobb prend son temps comme rarement et nous fait bouillir d'impatience tout au long de ce tome qui se concentre sur quelques jours.
Alors que Fitz est à Castelcerf avec le Fou, Abeille est enlevée à Fletrybois et comme personne n'est prévenu, le récit va se centrer une fois encore sur Fitz et le Fou, c'est intéressant bien sûr mais vraiment frustrant dans ce contexte...
Cela dit, une fois de plus et même si l'on semble perdre un temps précieux, on va continuer à (re) découvrir des personnages et notamment le Fou ou Umbre de façon intime.
Fitz pour sa part semble un peu à la peine, il n'est pas au top et semble toujours avoir un temps de retard dans sa lecture des événements...
Il va heureusement se passer des choses importantes et spectaculaires qui justifieront que l'auteur ait pu reléguer une Abeille en détresse pratiquement aux oubliettes, tout un art en somme que maintenir et augmenter encore la pression.
Car il me faut avouer que l'attente et les différents événements sont addictifs et à la hauteur de notre impatience à voir l'intrigue avancer, c'est riche et terriblement efficace, je dis bravo !
Le dernier chapitre nous fait miroiter enfin l'action tant attendue, d'ailleurs le titre du prochain tome semble annoncer la couleur, cette fois c'est bien parti !
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Décidément, je suis prise au piège de cette série qu'est L'assassin royal et sa suite le fou et l'assassin.
Dans ce tome, on retrouve Fitz, le fou, Umbre, Ortie... On se retrouve à Castelcerf. Les intrigues reprennent.
J'ai hâte de découvrir la suite de l'histoire, et en même temps, je souhaite prolonger le plaisir de cette lecture. Magie de l'Art, magie du Vif, d'autres magies font leur apparition. D'autres mystères se profilent.
Robin Hobb a vraiment le talent de nous emporter dans son univers.
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Et voilà, ce que je craignais est arrivé... nous allons encore avoir droit a une multitude de tomes avant de connaître l'épilogue de ce roman.

Dans un sens ce n'est pas pour me déplaire parce que je lis les aventures de Fitz avec un très très grand plaisir. J'aime beaucoup la façon de Robin Hobb de nous tenir en haleine et j'avoue qu'en général quand j'ai les aventures de l'assassin entre les mains je les lis d'une traite.
D'autant que j'ai une affection particulière pour quasi tous les personnages... j'aimerais juste de Fitz rerouve un compagnon de vif aussi bon que son loup.. il me manque quand même au fil des pages.
Mais d'un autre côté L'auteure met à mal ma patience et ma curiosité...

Ce tome est pour moi agréable car on y retrouve le fou et Umbre y est assez présent... je n'en dirais pas plus, le plus simple est de se délecter avec ce roman de fantasy
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Enfin FitzChevalerie, encore pour un temps Tom Blaireau, et le Fou se retrouvent. Mais les retrouvailles se passent mal et Fitz ne reconnait pas son ami et manque de le tuer. Occupé à le soigner à Castlecerf, Flétribois est saccagé par des inconnus cherchant le fils du fou. du personnel est tué, des bâtiments incendiés. Abeille, la fille de Fitz, et demoiselle Evite sont enlevées. La neige tombe fort et toutes traces et rapidement effacées. Un sort semble frappé Flétribois car les survivants ne se rappellent de rien.
Plus de mal à rentrer dans ce troisième tome et pourtant j'attendais les retrouvailles des deux personnages centraux avec impatience. L'histoire tourne et retourne, sans prendre de réelle direction stressant ma lecture. Abeille est enlevée et Fitz ne le sait pas. J'ai eu beau hurler pour le prévenir, rien n'y a fait. Franchement laissé Abeille sans défense alors qu'on est l'ancien assassin royal, non mais j'vous jure ! Qu'y a-t-il dans son cerveau ! Si le mien est de poulet que dire du sien ! Un poussin ! Ouais sûrement. Finalement l'histoire finit par trouver son chemin pour mon plus grand plaisir et je retrouve toute la maitrise de Robin Hobb.
Avec ces trois tomes France Loisir annonce : série complète. J'crois que je me suis fait un peu b…. Euh avoir.
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Un tome encore bien prenant même si je ne doute pas qu'il soit un peu plus calme que la suite qui m'attend. Fitz soigne le Fou au château sans savoir ce qui se passe pour Abeille. Et il va falloir un temps fou ( pour nous qui savons) pour qu'il apprenne enfin les malheurs survenus à Flétribois. Encore plus pour qu'il comprenne pourquoi c'est fille à lui qui est emmenée. J'avoue que j'avais deviné assez tôt cette histoire par rapport aux nombreuses allusions au fait que Fitz et le Fou étaient liés par des liens très serrés. du coup dans cette première partie c'est beaucoup d'interrogations, de stratégies, de révélations. Et c'est toujours aussi fluide et plaisant à lire !
Challenge Mauvais genres 2022
Challenge auteure sfff 2022
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En ce début d'année 2016 Pygmalion poursuit sa publication hachée de la dernière série en date de Robin Hobb : « Le fou et l'assassin » (inutile de revenir sur le gâchis que représente un tel découpage de ces romans pourtant peu épais en version originale...). On retrouve donc pour la seizième fois (du moins en France) l'univers et les personnages de « L'assassin royal » à commencer par le plus emblématique d'entre eux : Fitz Chevalerie Loinvoyant, anciennement assassin pour le compte de la famille royale désormais reconverti en simple propriétaire terrien aspirant à se tenir éloigner des intrigues de la cour de Castelcerf. le retour impromptu du Fou, sans doute le personnage le plus insaisissable et le plus attachant de la série, va toutefois remettre en question un certain nombre de choses, à commencer par le rôle de père de notre héros. Si le précédent tome laissait justement avant tout la parole à son étrange petite fille Abeille, le principal narrateur redevient ici Fitz, enfin de retour dans le château de son enfance. S'il n'est pas particulièrement riche en actions, ce seizième volume l'est en tout cas en nostalgie ! Difficile en effet de ne pas s'émouvoir du retour de l'ancien assassin dans la demeure qui l'a vue grandir et dans laquelle se déroulait une bonne partie de l'intrigue des tomes précédents.

Or, si le protagoniste a l'impression de retourner enfin chez lui après une longue absence, il en va un peu de même pour le lecteur qui se trouvera tout bêtement ému de retrouver la salle du trône, la tanière d'Umbre ou encore la chambre d'enfant de celui qui n'était au début de la série qu'un encombrant bâtard. Les retrouvailles (très attendues) avec le Fou valent elles aussi le coup, même si l'auteur se plaît à jouer avec son lecteur et à retarder les révélations de ce dernier concernant les Prophètes blancs (qu'on soupçonne depuis le début d'être impliqué ici). Il est également plaisant d'entendre ici ou là des échos des événements s'étant déroulés peu auparavant dans d'autres parties de cet univers et auxquels l'auteur avait consacré plusieurs séries (« Les aventuriers de la mer » ; « Les cités des anciens »…). le réveil des dragons, la santé du duc de Chalcède, les soucis rencontrés par les marchands de Terrilville… : autant de clins d'oeil que ne manqueront pas de relever et de savourer les connaisseurs de la géographie du monde de Robin Hobb. Comme souvent chez l'auteur on passe malgré tout davantage de temps à assister à des conversations ou à suivre le fil de la pensée du narrateur qu'à courir d'un endroit à un autre ce qui donnera sans doute à certains l'impression que le roman traîne un peu trop en longueur.

Un seizième tome qui fait au final peu avancer l'intrigue générale mais qui se lit malgré tout avec grand plaisir en raison de la nostalgie qu'il ne manque pas d'éveiller chez les lecteurs des précédentes séries de l'auteur. Ne reste plus qu'à attendre la suite...
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Comme d'habitude, Fitzounnet, malgré sa formation d'espion et d'assassin, est la dernière personne à être au courant de ce qui se passe dans le Royaume des Six-Duchés, y compris quand les événements en question le concernent directement. Il ignore donc que sa fille, Abeille, vient d'être enlevée par un groupe de mercenaires chalcédiens, alors qu'il ramenait le Fou blessé à Castelcerf. le titre de ce troisième tome, “En quête de vengeance”, est donc (oserais-je dire “comme d'habitude” ?) fort mal choisi, puisque Fitz y consacrera la majorité de son temps à se ronger les sangs pour son ami à Castelcerf, sans songer un seul instant à aller trucider d'hypothétiques ennemis. Comme vous le devinez aisément, ce n'est pas dans ce tome que l'intrigue va prendre un rythme foudroyant…

Est-ce un mal ? Pour le moment, non, même si cela pourrait le devenir. Si le manque d'interconnections entre les intrigues de Fitz et Abeille peut frustrer le lecteur, celui-ci prendra tout de même plaisir à retrouver l'ambiance si particulière de Castelcerf, un peu comme on enfilerait une confortable paire de vieilles pantoufles. En effet et comme ne l'indique pas du tout son titre, ce troisième tome laisse la part belle à la nostalgie et comporte certaines des scènes les plus émouvantes de la saga - je pense à l'une d'elles en particulier qui a bien failli m'arracher des larmes de pur bonheur. Après tout ce temps et toutes ces épreuves, on est si content de voir Fitz accéder à un peu de reconnaissance quand on oublierait presque les douleurs et les combats encore à venir... J'avoue avoir été aussi beaucoup touchée par le développement du personnage d'Umbre, le vieux et redoutable mentor de Fitz, que l'on découvrira dangereusement vulnérable face à une épreuve aussi cruelle qu'inattendue. Les deux assassins royaux, le vieux et le moins vieux, se réuniront encore une fois dans l'adversité pour protéger ce qui leur est le plus cher. Quitte à mettre notre patience un peu à l'épreuve, Robin Hobb continue donc à faire lentement monter la sauce. Espérons que la suite se révèlera à la hauteur et - si possible - un poil plus active.
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Habituée à figurer dans la liste des auteurs à succès, Robin Hobb maîtrise depuis longtemps les ficelles de la fantasy et notamment l'art de ferrer le lecteur. En quête de vengeance en est un bel exemple.

Le titre choisi par les traducteur et éditeur demeure quelque peu trompeur : il est nullement question de quête ni de préparation à la vengeance, ni même de vengeance. Il faudra attendre près de la moitié du roman pour voir Fitz enquêter sur les événements de la fin du tome précédent… avant de rassembler les morceaux pour tenter d'agir ! Il s'agit d'ailleurs plus d'une enquête... Débourser près de 20€ pour le découvrir, vous laissera sans doute sur une impression malheureuse.

Vous l'aurez compris : le scénario mettra du temps pour se développer. Il nous révèle toutefois deux surprises. La première étant un intérêt plus marqué pour Fitz qui passe désormais le plus gros de son temps au château de Castelcerf. Voilà de quoi satisfaire les nostalgiques, bien que la capitale ait beaucoup changé. Un certain épisode aussi inattendu que bienvenu viendra les combler. Assurément il s'agit là du point fort de cette histoire.

Les adeptes de la petite Abeille en seront eux pour leur frais. Les quelques révélations qui la concernent sont franchement convenues et prévisibles. Il fallait bien passer par là, cela dit.

Il est toujours plaisant de redécouvrir les personnages qui nous tiennent tant à coeur (surtout les anciens tels que le Fou, Umbre, Kettricken, Devoir et Ortie). D'ailleurs, à l'exception de Cendre et de Bigarrée, peu de nouveaux font leur apparition. Pour le reste, nous avons droit à ce que Robin Hobb fait de mieux : écrire sur une situation qui devient de plus en plus complexe. Dommage que celle-ci n'évolue que très lentement... comme d'habitude !

En quête de vengeance n'est donc que la première partie de quelque chose, un roman long, pas forcément désagréable mais qu'il faudra laisser aux habitué(e). Les références au passé sont ici très importantes et ne peuvent être négligées. Plus qu'à espérer que le prochain roman soit plus actif.
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Je suis faible. Et comme je suis faible, je me suis précipitée sur ce dernier opus des aventures de Fitz et du Fou, à peine sorti.
On y retrouve tout ce qui a fait le succès de L'assassin royal : un Fitzounet insupportable d'hésitations, de mauvaises décisions, d'interminables introspections, un Fou torturé, dans tous les sens du terme (snif), et tout le ballet de personnages plus ou moins exaspérants.
Bon, là maintenant ça ne donne pas envie, mais passées les premières pages que j'ai trouvé un peu ennuyeuses, l'histoire s'emballe et il devient impossible de lâcher le bouquin.
Jusqu'à un événement que j'attendais depuis très très longtemps ! Je ne vous dirai pas lequel, évidemment.
Je suis toujours aussi admirative de l'univers inventé par Robin Hobb, qui parvient à écrire des sagas avec des personnages différents (L'assassin royal, Les aventuriers de la mer, Les cités des anciens) mais pourtant toujours en cohésion. Après tant de pages lues, j'ai l'impression d'avoir foulé ce Monde, d'y avoir rencontré des amis un peu partout, d'en apprendre chaque fois un peu plus sur les Anciens, les dragons, le passé.
Le tome 2 s'était terminé dans le chaos, n'attendez pas forcément d'avancer beaucoup dans l'action avec ce tome, mais des événements importants s'y déroulent, et on sent un certain puzzle se dessiner sous nos yeux. Que dire de plus ? l'attente va être à nouveau insoutenable jusqu'au prochain tome.
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La suite des aventures de FitzChevalerie, du fou et (un peu entre parenthèse dans ce volume) de la petite abeille, toujours aussi immersives... La magie opère toujours dans cette série. Entre le plaisir de retrouver les héros de l'Assassin Royal, avec des rappels de l'intrigue et des éléments sur ce que sont devenus certains personnages, le mystère qui se développe, et l'habileté de Robin Hobb à construire une intrique, je me suis trouvée plusieurs jours à vivre avec Fitz.

Le plaisir de cette lecture est intact, la magie inchangée. Quoi dire d'autre de ce livre, au rythme toujours aussi lent (la moitié de l'intrigue de ce volume se déroule entre les deux derniers paragraphes du précédent, et pour ma part, j'avais vu venir les révélations depuis bien longtemps), mais parfaitement addictif ?
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