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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Voilà mon avis du tome sept déjà, il ne me reste plus que deux tomes avant de terminer cette superbe série.
un tome sept bien utiles pour se remettre de tous les évènements s'étant déroulé dans le tome six et faire un point sur la situation de chacun. À Terrilville plus rien ne se va pour Ronica Vestrit mais cette femme est incroyablement tenace et ne lâche rien. le personnage de Sérille m'a donné pitié et je ne sais que trop penser des actes de cette femme et suis curieux de voir quel sort Robin Hobb va lui réserver à la fin de cette série. le sort de Vivacia m'a par contre horrifié et j'espère de tout coeur que celle-ci n'a pas totalement disparu sinon tous les efforts et espoir d'Althéa de revoir son navire auront été vains. D'ailleurs à bord du Parangon plus rien ne va et la suite du voyage semble bien sombre pour Althéa face au comportement de parangon de plus en plus violent et de Lavoy le second du navire. Cela a été un plaisir de suivre les péripéties de Malta en bien sombre posture au cours de ce tome devant en plus supporté la compagnie du gouverneur Cosgo personnage toujours aussi ignoble qui je l'espère finira bien par mourir mais la jeune femme à une volonté de fer et fera tout pour s'en sortir, j'ai beaucoup apprécié le moment du bain du gouverneur avec l'eau du fleuve du désert des pluies, ce personnage ne mérite rien de moins que ce traitement de faveur. j'espère juste que Reyn ne tardera pas à venir tirer Malta du mauvais pas dans lequel elle se trouve. Il y a encore de l'espoir pour la race des dragons avec l'envol de Tintaglia qui je l'espère arrivera à mener sa mission à bien, je suis très curieux du rôle que va jouer celle-ci dans les deux tomes à venir dans l'avenir des autres personnages.
Un septième tome qui arrive donc toujours à me tenir en haleine ayant encore à la fin de ce tome qu'une seule envie me jeter sur le prochain, je vais donc entamer le prochain tome impatient de connaître la suite de l'histoire mais en même temps étant déjà un peu triste de savoir que c'est l'avant-dernier tomé de cette série et qu'après le dernier tome je quitterais tous les personnages de cette fabuleuse série.
Je remarque ici au passage que cette critique est déjà ma centième, comme cela monte vite !
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Oh que ce tome est vraiment sombre, pessimiste et angoissant. On se demande bien comme l'auteur va nous sortir de ce pétrin, rien ne va plus pour tous les membres de la famille Vestrit. le style est simple, mais l'ambiance est magistralement présentée, on passe d'un personnage à l'autre, d'un chapitre à l'autre, tous séparés, dans différentes situations, on se demande comment l'auteur va rassembler tout ça, et ça nous tient en haleine. Ce tome est peut-être le plus vite lu, heureusement parce que les situations de chacun sont parfois difficilement supportables, Robin Hobb ne ménage pas ses héros, c'est parfois dur et violent. Son univers est riche, plein d'inventions, d'action, de rebondissements, de suspense, j'adore cette série.
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Un découpage en 9 tomes c'est long. J'en tire mon parti en mettant à l'honneur un personnage par tome.
Pour ce septième tome, je vais vous parler de Vivacia.

Je vous ai déjà parlé de la vivenef des Vestrit, bien sûr, mais dans ce tome, il lui arrive un événement qui mérite qu'on lui consacre plus de temps.
Si jusqu' à présent la jeune vivenef m'agaçait un peu par son allure de muse coquette quelque peu frivole, ce n'est plus vraiment le cas. Ce qu'elle apprend sur sa véritable identité la rend bien sûr vulnérable et j'aurais bien aimé qu'elle s'enhardisse et prenne le taureau par les cornes. A savoir qui pourrait servir de taureau ... Kennit le pirate qui s'est emparé d'elle, bien sûr.

Toujours est-il que j'attends avec impatience la confrontation entre Althéa Vestrit et la "nouvelle" Vivacia. Nul doute que cela ne manquera pas de piquant !

Pour ce tome, j'aurais pu aussi vous parler des dragons qui prennent de plus en plus d'importance, donnant une dimension encore plus fantastique à cette fresque. Mais figurez-vous..que si je ne l'ai pas fait, c'est par peur de vous dévoiler l'intrigue, bien entendu !
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Il devient maintenant plus difficile de rédiger un nouvel avis sur Les aventuriers de la mer. le tome 7 est terminé, mon intérêt ne faiblit pas, j'apprécie toujours autant mais que dire alors…

L'accélération de l'action initiée au tome précédent se poursuit, les personnages continuent de se mouvoir et d'évoluer sur cette lancée (certains sont même emportés malgré eux). le dragon Tintaglia (la dragonne devrais-je dire) devient un acteur de l'intrique à part entière, doté d'un caractère bien piquant.

On se trouve avec une multitude de fils narratifs qui cheminent certes indépendamment, en faisant des boucles mais on sent bien qu'ils progressent tous vers un même point. Je suis à peu près certaine de ne pas être déçue par les qualités de chef d'orchestre de Robin Hobb.

Ce qui est sûr c'est que je ne peux que continuer la lecture de ce cycle car trop impatiente de connaître le dénouement.
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Ce septième tome souffre un peu de la comparaison avec l'éclatant tome précédent. Je pense que cette impression vient de mon manque de goût tout relatif pour certaines des intrigues. Notamment tout ce qui est centré autour du devenir du gouverneur, dont la situation à la suite du tremblement de terre m'est finalement assez indifférente, bien qu'il ait embarqué dans sa débâcle la plus jeune des Vestrit. Ledit gouverneur est (lui aussi) un personnage immature et fatigant. Cela en fait beaucoup…J'avoue n'avoir prêté que peu d'intérêt aux chapitres qui le suivait dans sa dérive avec Malta, guettant au contraire avec avidité les aventures maritimes de Paragon et Vivacia, les deux Vivenefs, et leurs équipages, tout comme les apparitions des serpents pourtant très épisodiques . A Terrilville, pendant ce temps-là, un personnage prend de l'épaisseur : celui de Sérille, compagne du gouverneur érudite et fascinée par les villes marchandes, qui tente de trouver sa place en cohérence avec ses ambitions, mais finalement très isolée face à de jeunes marchands un peu trop impétueux pour souhaiter rétablir la paix. La ville est devenue un terreau explosif pour tous : envahisseurs chalcédiens, partisans du gouverneur, ex-esclaves et marchands. de quoi justifier, finalement, de me jeter, le livre aussitôt refermé, sur le tome suivant…


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Encore un tome de transition où il ne se passe pas grand chose, mais pas grave ! L'ambiance est là et surtout... les dragons aussi ! Ca y est, ça se précise...
Une série toujours aussi prenante, avec un talent pour faire évoluer les personnages tout en restant crédible (le personnage de Malta par exemple évolue vite et bien).
Vite, la suite !
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Après une fin de tome 6 tonitruante, difficile pour ce 7ème tome de faire aussi bien et pour la première fois depuis le début de la saga, je me suis un peu ennuyée avec l'impression de faire du sur place. Ce tome est court et on ne passe que très peu de temps avec chacun des personnages. Seuls Ronica et Serille (qui prend désormais la place de personnage tête à claques) ont droit à un peu plus de développement. Étonnamment j'aurais bien aimé avoir plus de pages avec Malta, personnage qui devient de plus en plus intéressant au fil des tomes (pitié Robin Hobb, j'espère que tu ne lui réserve pas un destin funeste, j'ai fini par l'apprécier cette gamine). On sent que l'auteure met en place le grand affrontement final et que ce tome sert de transition. La fin de la saga reste pour l'instant bien mystérieuse. Impossible pour moi de savoir comment tout cela va se terminer. J'enchaine directement avec le tome 8 que j'espère plus animé.
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Un tome de transition, moins volumineux et moins passionnant que le tome 6. Nos héros se retrouvent tous en grande difficulté. Ronica Vestrit tente de contrer Sérille et de rallier les Marchands à sa cause. Malta est en grande difficulté, captive du gouverneur. Althéa est confrontée aux pirates de Kennit. Bref, tout va mal pour la famille Vestrit. Il me reste deux tomes et je me demande ce qu'il va se passer pour eux tous ainsi que pour Tintaglia et les Vivenefs, totalement perdues et de plus en plus violentes.
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Un dragon libérée, une vivenef qui se réveille, un gouverneur très, très agaçant (même Malta dans sa crise d'ado m'énervait moins), Terrilville en cendre et manipulée ... Les choses s'accélèrent et le lecteur commence à voir où veut aller l'auteure.
Ce tome se lit d'une traite, le huitième l'attend bien au chaud.

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La famille Vestrit continue de souffrir, que ce soit dans le désert des pluies ou l'on va continuer de découvrir les conséquences du tremblement de terre, qu'à Terrilville ou Ronica semble bien seule, ou encore sur Vivacia ou Hiemain est entre la vie et la mort.
Mais le plus important, un dragon sillonne désormais le ciel...
Un épisode sans beaucoup d'action, mais tout de même intéressant car pas mal de choses semblent se mettre en place, présageant d'un avenir incertain et passionnant.
Lien : http://www.amazon.fr/review/..
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