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EAN : 9780006480105
768 pages
Harper Collins (30/11/-1)
4.45/5   32 notes
Résumé :
Young Fitz, the illegitimate son of the noble Prince Chivalry, is ignored by all royalty except the devious King Shrewd, who has had him tutored him in the dark arts of the assassin. He has barely survived his first, soul-shattering mission, and returns to the court where he is thrown headfirst into the tumult of royal life. With the King near death, and Fitz's only ally off on a seemingly hopeless quest, the throne itself is threatened. Meanwhile, the treacherous R... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Une lecture un poil moins enthousiaste que ma première fois. Il y a beaucoup de vides et de remises en question dans cette histoire. On attend, on ne sait pas quoi mais on attend. L'intrigue avance par petits bouts et donne sans cesse l'impression de ne pas pouvoir avancer. Les personnages, dont les nouveaux (re)mis en scène, ont les mains liées par Royal. Seul Oeil-de-Nuit fait figure de personnage en dehors du temps, et pour cause il m'est apparu comme une extension des sentiments primaires de Fitz que comme un personnage à art entière. Son caractère n'est pas assez développé, mais il aide le héros à se recentrer et lui sauve toujours la mise. Car la tension et la trahison sont aux portes de Castelcerf, sinueuse et sifflante comme un serpent. Un simple fils d'un deuxième mariage arrive à rendre fou son père roi, devenu malade à cause d'une ancienne blessure, à coups de poisons et autres drogues odorantes et à faire tanguer le navire qu'est le royaume des Six-Duchés. Les souverains en devenir ne sont que des seconds qui ont besoin de confiance en eux et d'actes retentissants pour les revaloriser et faire pencher la balance. Avant cette relecture, les événements étaient un peu classés dans n'importe quel ordre. J'espère donc que la suite des aventures nous proposera un beau revirement de situation.
Du côté de Fitz, c'est devenu encore plus long : entre ses réflexions sur son véritable amour et son devenir en tant que bâtard ou que Fitz, on en oublierait presque qu'il est l'assassin du roi. Hobb justifie son titre Royal Assassin en traitant la part non active du métier : où est le bien et le mal ? Jusqu'où peut-on aller pour son roi ? Peut-on se faire justice si c'est pour la bonne cause du royaume ? Ce tome est un récit d'errance pour notre héros qui a des journées interminables et autant de métiers qu'un intérimaire de notre siècle.
[...]
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Ce tome 2 est un peu plus long que les autres ; il y a moins d'actions certes. Mais l''intrigue s'est mise en place dans le tome précédent et Robin Hobb avance doucement ses pions... Fitz a grandi, et il est en pleine période de doute et de remise en question, sur son métier et son rôle à la cour ; certains trouvent le tome ennuyeux, moi je pense qu'il est nécessaire.
De plus Robin Hobb parvient une fois de plus à décrire avec justesse la difficulté de la période de l'adolescence, où l'on s'interroge sur son avenir et où on est en proie à de nouveaux sentiments (ah l'amour ! :p). Elle place tranquillement ses jalons : la présence de plus en plus importante et menaçante des pirates rouges, le clan d'Art, la solitude de Kettricken...
Comme d'habitude, la galerie de personnages secondaires est un vrai plaisir à lire, qu'on les aiment ou les détestent. Fitz doit faire des choix, encore et encore, choisir entre loyauté et amour, vérité et mensonge, jusqu'aux derniers chapitres ; bouleversant comme d'habitude ! Robin Hobb est un maître dans l'art de jouer avec les émotions ; de trouver les mots justes, qui touchent le lecteur en plein coeur (mention spéciale pour la dernière phrase...). Bref, moi j'adore !
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Un second tome qui commence avec un FitzChivalry Farseer bien amoindri. Un comble pour l'assassin du roi d'avoir presque péri par le poison. Et il serait bien resté loin des intrigues de la cour si ça n'avait été pour Molly…

Je dois dire que cette histoire d'amour est de loin ce qui m'a le plus ennuyé dans ce tome. Tout est palpitant, tout donne envie de continuer l'aventure sauf cette relation impossible entre Fitz et Molly. La tension est déjà suffisamment à son comble dans les "Six Duchies" sans en rajouter avec le tiraillement incessant entre ces deux-là.

A part ce détail sans réelle conséquence sur mon appréciation, il me semble bien que je sois tout bonnement conquis par la saga de Robin Hobb. de nombreux tomes m'attendent encore et j'en suis comblé tant j'aime passer du temps dans cet univers fouillé.
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Suite totale du tome 1 puisqu'on retrouve Fitz exactement où on l'avait laissé (avec un léger bon dans le temps), Robin Hobb incorpore à son univers heroic fantasy des éléments presque dark fantasy, tant il semble impossible que le "bien" triomphe.

L'histoire est assez lente à se mettre en place, mais cela ne m'a pas dérangé. Je pense qu'il faut l'accepter chez Robin Hobb, elle apprécie particulièrement l'introspection, les interrogations, les considérations, au lieu d'un enchaînement d'actions en tout genre. Cela donne des personnages finement décrits, qui gagnent en complexité. Ainsi, en plus de l'attachant Fitz, on (re)découvre aussi Kettricken (entrevue dans le tome 1) et surtout Burrich, un des personnages les plus intéressants de la saga.

Finalement, The Farseer trilogy se pose peu à peu comme une valeur sûre, un univers que l'on a plaisir à retrouver malgré toutes les difficultés qu'on y vit.
Lien : https://lesmotsdemahault.wor..
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Even better in English, this is one of the best fantasy series I ever read.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
"Riddles, dear Fitzy-fitz, are supposed to make folk think. To find new truth in old saws. But, be that as it may... Your brain eludes me. How shall I reach it? Perhaps if I came to you, by dark of night, and sang under your window:

"Bastard Princeling, Fitz my sweet,
You waste your hours to your own defeat.
You work to stop, you strive to refrain,
When all your effort should go to a gain."

He had flung himself to one knee, and plucked nonexistent strings on his scepter. He sang quite lustily, and even well. The tune belonged to a popular love ballad. He looked at me, sighed theatrically, wet his lips, and continued mournfully:

"Why does a Farseer look never afar,
Why dwells he completely things as they are?
Your coasts are besieged, your people beset.
I warn and I urge, but they all say, "not yet !"
O Bastard Princeling, gentle Fitz,
Will you delay until chopped to bits?"
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Sometimes I tried to pretend I was laying a restless soul to peace, putting a family's anguish to a final end. I hoped I would not become too adept at lying to myself. It was a luxury an assassin could not afford. Chade had warned me that I must always remember what I truly was. Not an angel of mercy, but a killer who worked for the good of the King. Or the King-in-Waiting. It was ly duty to keep the throne secure. My duty.
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Wolves have no kings
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