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Jessica Holc (Autre)Ghislain de Rincquesen (Autre)Emiliano Tanzillo (Autre)
EAN : 9782344039359
80 pages
Vents d'Ouest (22/02/2023)
4.23/5   11 notes
Résumé :
Quand Gaby pousse la porte du cabinet, c’est la première fois qu’il va se confier à une psy. Ce milieu, il n’y connaît rien « Les psys c’est pour les bourges ou les fous ». Mais à 30 ans, épuisé par des cauchemars qui lui gâchent la vie, il a fini par se résoudre à consulter. « La thérapie, c’est un chemin vers vous-même, un processus de transformation » lui dit sa psy. Paula est en thérapie chez un autre psy, depuis plusieurs mois, à partir de la difficulté qu’elle... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Je ne dois pas être un patient très intéressant pour vous.
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Ce tome contient une histoire complète, indépendante de toute autre. Sa parution initiale date de 2023. le scénario a été écrit par Jessica Holc, psychologue-psychothérapeute, analyste psycho-organique, superviseuse, et par Ghislain de Rincquesen, analyste psycho-organique. Les dessins et la couleur ont été réalisés par Emiliano Tanzillo, avec l'assistance d'Angela Piacentini pour la couleur. Cet ouvrage compte soixante-dix pages de bande dessinée. Il se termine avec une postface de cinq pages, rédigée par Éric Champ, psychologue clinicien, psychothérapeute, superviseur et formateur d'analystes psycho-organiques, une méthode de psychothérapie qui associe le travail psychique et le vécu corporel. Viennent ensuite deux courts témoignages de patients d'une colonne chacun.

Gaby décrit son cauchemar : il est en jean, baskets et teeshirt, au milieu d'un champ de bataille médiéval où les combattants s'affrontent brutalement à l'épée. Il court éperdument jusqu'à atteindre un rivage en orée de forêt, où l'attend un petit radeau plat avec une voile. Il monte dessus et manie la pagaie. Mais bientôt un crocodile lui barre la navigation et ouvre grand sa gueule. C'est alors qu'il se réveille en nage, apeuré. Il indique à sa psychothérapeute qu'il s'agit de son cauchemar de cette nuit, que c'est pour cette raison qu'il s'est décidé à venir la voir. Il est épuisé, c'est insupportable, il est tout le temps fatigué et ses amis lui disent qu'il est déprimé. Son analyste lui demande si ça fait longtemps qu'il a ces cauchemars. Il répond : aussi loin qu'il se souvienne, il fait d'horribles cauchemars et il se réveille en hurlant. Ça fait longtemps qu'il y pensait, mais il lui a été difficile de venir consulter. Il continue : il est barman à Paris et il a trente-et-un ans. Il ne sait pas par où commencer. Elle lui propose : par les événements les plus marquants de sa vie.

Paula est allongée sur le divan de son psychothérapeute. Elle a la larme à l'oeil en expliquant ce qui l'amène : elle tourne en rond. Ça fait plus d'un an qu'elle vient et elle a toujours ces images d'Élise morte, son amie qui est décédée lors des attentats de Nice, le 14 juillet 2016. La boule au ventre revient, elle n'en sort pas, elle est découragée. En fait, c'est vrai qu'elle a toujours ces images, mais ça ne fait plus mal comme avant. Elle a pu reprendre son travail, conduire des TGV. Elle adore, et elle a beaucoup bossé pour y arriver. Elle continue : elle a fait un voyage en Italie avec son mec. Ça l'a sauvée de parler à son thérapeute. La vie a repris. Mais elle ne comprend pas. Elle a toujours comme un gouffre en elle, et des crises de larmes ; ça ne passe pas. de son côté, Gaby accomplit sa journée de travail, et en fin d'après-midi, il revient pour la séance suivante. Sa thérapeute lui demande comment il s'est senti après leur rencontre. Il explique : bousculé, il a même pris le métro dans le mauvais sens. Mais il s'est senti allégé d'avoir parlé. Il continue : il n'a pas trop l'habitude de ce genre de trucs. Il s'est senti accueilli ici, ce qu'elle lui a dit. Comment mettre des mots, mettre de l'ordre dans ses pensées peut libérer et l'aider à retrouver son élan vital.

En débutant ce récit, le lecteur a conscience qu'il a été écrit par deux psychothérapeutes : il sait donc qu'ils vont évoquer leur pratique d'analyste psycho-organique au travers de deux personnages fictifs venant consulter. Il ne s'attend donc pas à un regard critique, plutôt à une exposition au travers de ces deux patients. La construction du récit s'avère très agréable et très douce, exprimant la bienveillance des deux thérapeutes. Les auteurs alternent les scènes consacrées à Paula et à Gaby. Chaque scène fait le plus souvent une ou deux pages, avec deux séquences qui montent à six pages, toutes les deux consacrées à Gaby. Chaque séance chez le psy est donc condensée en une, deux ou trois pages, avec des échanges brefs, sans explication technique, sans utilisation du langage d'analyste, juste la parole de l'une ou de l'autre patient, et les questions brèves du thérapeute, avec rarement une remarque ou une suggestion. La narration visuelle s'inscrit dans un registre réaliste et descriptif, avec un bon niveau de détails, et une mise en couleurs qui joue sur les nuances de brun voire sépia pour les pages consacrées à Gaby, et sur les nuances de bleu gris pour celles consacrées à Paula.

La mise en couleurs s'avère douce, apaisante, reflétant le havre de calme du cabinet, de l'attitude bienveillante du thérapeute, de l'absence de jugement. le jeu de nuances d'une même teinte permet d'évoquer l'ambiance plus ou moins lumineuse ou tamisée, de rehausser les reliefs de chaque surface, d'adoucir la noirceur des traits encrés, d'habiller les rares fonds de case vides. L'artiste donne l'impression de représenter les personnages avec gentillesse, comme s'il faisait preuve d'empathie pour eux, à la fois pour leur état de mal-être qui les amène à consulter, à la fois pour ne pas gêner leur parole, et pour prendre en compte que chaque séance remue des choses profondes nécessitant une période de repos entre chaque pour que le patient dispose du temps nécessaire pour se remettre de ses émotions. le lecteur fait donc connaissance avec les deux principaux personnages, jeunes trentenaires, bien de leur personne, sans exagération de leur physique. Les deux thérapeutes restent en retrait bien calé dans leur fauteuil, avec un physique banal également, dans une attitude d'écoute évidemment. Une ou deux fois, le lecteur peut éprouver la sensation qu'il lit l'ébauche d'une émotion sur leur visage, mais sans certitude.

L'artiste met en oeuvre la même approche pour les décors : naturaliste, sans se montrer ostentatoire, la mise en couleur sur le principe de nuances d'une couleur venant même atténuer l'impression première du lecteur en ce qui concerne la densité d'informations visuelles. Pour autant, il se rend compte, inconsciemment ou consciemment s'il y prête une attention particulière, de l'attention portée aux lieux, à la décoration intérieure, aux accessoires. Il commence par sourire en voyant les épées, les heaumes et les cottes de maile, ou encore le radeau basique et la gueule de crocodile. Il constate que le dessinateur ne s'est pas contenté de meubler à la va-vite le cabinet de la thérapeute de Gaby : il a choisi des meubles spécifiques, a déployé un tapis, a retenu un luminaire sur pied, et n'a pas oublié la bibliothèque ou le divan, même si Gaby préfère la position assise. Il effectue bien évidemment la comparaison avec le cabinet du thérapeute de Paula : c'est un autre modèle de fauteuil et de divan, une préférence pour un grand tableau et de petits rayonnages pour les livres, avec toutefois presque la même plante verte. Chacun des deux thérapeutes se rend une fois chez son superviseur, et là encore les meubles et la décoration intérieure sont différents.

Mine de rien, l'artiste est amené à représenter d'autres environnements : le bar où travaille Gaby, une soirée où il se rend, la chambre à coucher de Paula qu'elle partage avec Jean, la bouche de métro de la station Barbès-Rochechouart, la maison des grands-parents maternels de Gaby au Maroc, un restaurant où dîne un couple, une couveuse dans une maternité, une palissade sur laquelle un parachutiste manque de s'embrocher. La narration visuelle sait accommoder une douceur avec des éléments pragmatiques et concrets ancrant chaque séquence dans un monde réel, plausible et palpable. le lecteur est donc amené à considérer Paula, Gaby et leur thérapeute comme des êtres humains ordinaires, avec une vie quotidienne banale et normale. Dans le même temps, il sait bien qu'il ne s'agit pas d'une biographie, que ce que racontent les deux patients est inventé de toutes pièces et que les deux scénaristes prêchent pour leur paroisse… Ce qui ne l'empêche pas d'éprouver de l'empathie pour Gaby et pour Paula, même si une ou deux prises de conscience sur leur histoire personnelle semble surtout servir le scénario.

Le lecteur peut avoir un peu de réticence à penser à cette histoire en termes de scénario : il suit bel et bien le travail sur soi-même que fournit Gaby de son côté, et Paula du sien. Après tout, les traumatismes qu'ils finissent par exprimer et par identifier comme tels, grâce au travail de leur thérapeute respectif, ne sont pas extravagants ou impossible au point d'en devenir romanesques, et il y a bien une raison pour laquelle ils ont pris la décision de consulter ; parce qu'ils ne s'en sortaient pas par eux-mêmes, parce qu'ils répétaient les mêmes schémas, avec des symptômes qui leur pourrissent la vie, entre les cauchemars à répétition de Gaby, et le mal-être profond éprouvé par Paula. L'enjeu de la bande dessinée réside bien sûr dans la mise en scène de l'accompagnement thérapeutique, dans la mise en scène du travail d'analyse, dans ce qu'apporte ce processus. le lecteur apprécie cette forme pour parler de la psychothérapie, sans terme technique, en douceur, sans prétendre arriver à une guérison miracle. Il n'éprouve pas de sensation de vente forcée, mais une présentation de la démarche, évidemment en faveur de ce type de thérapie, sans jamais réduire le champ des possibles à cette unique forme de soin. En outre les thérapeutes mis en scène agissent de sorte à provoquer des prises de conscience, essentiellement par le biais de la verbalisation, sans désigner de victime ou de coupable, juste révéler au patient qu'il est un être humain modelé par son histoire personnelle et, par voie de conséquence, par celle de ses parents. Les séances se suivent, brèves, et le lecteur sent de temps à autre une boule dans sa gorge, les larmes se former au bord de ses yeux, attestant de l'honnêteté de la sensibilité des auteurs.

Suivre la thérapie de deux personnages créés de toute pièce, avec la crainte a priori de subir le prosélytisme de deux praticiens ? Ces réserves font sens, et dans le même temps le lecteur sait où il met les pieds car les auteurs ne font pas mystère de leur métier d'analyste psycho-organique. L'un des personnages indique à sa thérapeute qu'il pense qu'elle doit estimer qu'il n'est pas un patient très intéressant pour elles, car il est un peu nul avec ses petits problèmes et ses petits raisonnements. C'est la normalité, ou au moins la banalité des deux patients, la narration visuelle pragmatique et douce qui rendent ces personnages très proches, plausibles et réels au point de générer un bon niveau d'empathie chez le lecteur. Ce dernier éprouve une forte commisération pour eux, voire il n'est pas loin de verser une larme en voyant comment la thérapie les amène progressivement à se découvrir eux-mêmes, à se révéler, à pouvoir regarder en face leurs traumatismes. Une belle évolution.
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Gaby, trente ans, barman, est toutes les nuits assailli par des cauchemars récurrents qui le décident à aller pour la première fois voir une psy. Paula, trentenaire elle aussi, a été traumatisée par les attentats de Nice et va également consulter un autre psy. le récit alterne les séances de Gaby et celles de Paula. ● J'ai rarement vu des séances de psychothérapie aussi bien racontées. On voit parfaitement le subtil mécanisme qui est à l'oeuvre à la fois lors de ces séances et dans leurs conséquences dans la vie quotidienne des analysants, peu à peu amenés à se redécouvrir. ● On assiste même aux séances de « supervision » des psychothérapeutes. ● Les deux scénaristes, Jessica Holc et Ghislain de Rincquesen, sont eux-mêmes psychothérapeutes ; il y a également une postface qui éclaire la bande dessinée de façon très pertinente. ● On ne peut pas ne pas penser à la belle série En thérapie d'Olivier Nakache et Éric Tolédano sur Arte. ● Les dessins sont très réussis, le jeu de couleurs aussi. le scénario est plein de finesse : c'est un album à la fois magnifique et passionnant.
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'ai lu cette BD chez Glénat qui retrace les thérapies de deux personnages amenés à se rencontrer un peu par hasard. On va suivre leurs rdv avec leurs psy respectifs et leur introspection 🖋

Le coup de dessin est mature, adulte. Les couleurs se partagent en deux teintes : orangées pour Gaby, bleutées pour Paula. le scénario est intéressant, mais la rencontre me semblait inévitable et ça a un peu cassé le truc pour moi 🫠

Je n'ai pas spécialement été transcendée mais je pense que je n'ai pas réussi à me sentir proche des personnages. On entre dans leur intimité et j'ai pris énormément de recul, ce qui a sans doute contribué à ce sentiment. D'un autre côté, le fait de tout analyser comme le font les perso m'a un peu étouffé 😅

C'est un très bon livre, je n'en doute pas, et je sais qu'il propose des messages derrière tout ça. Il parlera à beaucoup de lecteurs, qui pourront s'y retrouver ou avoir un déclic. C'est pourquoi je le conseille tout en étant convaincue qu'il trouvera sa cible 💪🏻
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en (psycho)thérapie

Jessica Holc et Ghislain de Rincquesen nous invitent à suivre deux patients, Gaby et Paula qui se sont décidé à consulter pour des raisons très différentes… L'un est tourmenté par des cauchemars récurrents qui l'empêche de dormir, l'autre toujours hantée par les attentats de Nice…

S'inscrivant dans la lignée d'en thérapie d'Olivier Nakache et Éric Toledano, Psychothérapie nous éclaire sur le déroulement des séances et le rôle déterminant du psychothérapeute dans la guérison. Pédagogique et didactique, l'album est mis en image par le talentueux Emiliano Tanzillo qui parvient à retranscrire avec finesse le ressentit des deux patients et de leurs psychothérapeutes respectifs…
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
C’est cela le traumatisme. Une succession de situations nocives demeurant sous forme d’éléments dissociés de tout souvenir, comme des charges émotionnelles, des images, des pensées constituant un inconscient traumatique, non relié au fonctionnement psychique. Cet inconscient traumatique, sorte de crypte, est clivé de la psyché qui ne peut agir sur lui. La personne est alors impuissante face aux phénomènes morbides, actes, émotions, pensées qui la contraignent par leur incessante répétition et l’épuisent. Le passé traumatique contamine le présent.
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Ça fait longtemps que ‘y pense. Mais venir ici… C’était très difficile. J’ai eu votre numéro par une amie, ça fait déjà plusieurs mois. Mais bon, voir un psy, c’est la première fois ! Je vis seul. Et puis même…J’ai pas mal d’amis. Mais j’ai personne à qui raconter tout ça.Sinon, je suis barman depuis que je suis arrivé à Paris. Ça fait déjà quelques années. J’ai… J’ai 31 ans. Bon… C’est pas évident, je ne sais pas par où commencer. […] Ce qui m’a marqué dans vie ? Mon chien. Un setter. Un peu métis… Enfin bâtard comme moi. C’est-à-dire… Mon père est un titi parisien. Ma mère est arrivée de Rabat après ses études. Bref… Tout ça pour divorcer quand j’avais onze ans. Ça a été aussi un coup dur. Et on chien, je lui confiais tout. On a dû le faire piquer quand j’avais huit ans.
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La séance de la semaine dernière m’a bouleversée… Mais ça m’a fait un bien fou de pleure. La nuit suivante, j’ai fait plein de rêves.je ne me souviens pas bien… Les seules choses qui me restent sont des images de mon enfance. Dans ma petite chambre… Mon frère dort et mon père veille sur moi. Il est assis à côté de moi et enfin je suis apaisée. Ici aussi je me sens apaisée. J’ai le sentiment d’avoir ma place. Un peu comme dans mon rêve, rassurée, comme si j’avais mon père à côté de moi. Et bien voilà, bingo, le transfert.
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Vous aider à vous aider vous-même. La thérapie, c’est un chemin vers vous-même, c’est un processus de transformation, et moi, à a place de thérapeute, je vous accompagne. Je vous soutiens en vous écoutant sans jugement, dans la bienveillance. J’écoute ce que vous dites te ce que vous ne dites pas, ou ce que vous dites sans les mots comme avec ces cauchemars épouvantables qui vous gâchent la vie. Ici, c’est un espace à nul autre pareils où vous explorez vitre monde intérieur. En laissant venir et dire ce qui est là pour vous, images, sensations, émotions, pensées. Ici, votre parole est protégée par le secret professionnel auquel je suis tenue.
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Dès que je m’allonge ici, je sens que je passe dans une autre dimension. De l’extérieur à l’intérieur de moi-même. Dans un autre monde. Je suis plus à l’écoute de ce que je sens dedans.
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Vidéo de Jessica Holc
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+ Lire la suite
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