Haute fidélité

Ce n'est pas mauvais, mais quelque chose m'a profondément agacé dans ce livre. J'ai du mal à croire que les hommes pensent ainsi, en tout cas le mien, et si je me trompe, j'ai du soucis à me faire...

Spirituel.Trop bavard. Attachant. Fastidieux.
Mixez tous ces adjectifs au blender et vous aurez mon opinion sur ce roman. Oui c'est très bien écrit (mais mon dieu que c'est mal traduit !!), oui on rit beaucoup, je me suis énormément attachée au personnage autant que je l'ai détesté.
Je me suis beaucoup retrouvée dans certaines situations, certaines m'ont beaucoup touchée et fait réfléchir.
Mais c'est aussi trop. Trop de digressions pour littéralement ne rien dire, trop de références musicales (je me targue d'avoir une bonne culture musicale, mais là si vous n'avez pas potassé l'anthologie de la musique des années 60-70 vous aurez l'impression de lire des hiéroglyphes) et puis trop antipathique cet anti-héros gamin de 35 ans qui refuse de grandir, d'avoir des relations saines avec les autres, d'évoluer...
C'est le deuxième roman que je lis de Hornby, j'en attendais beaucoup, et la déception a été grande. Tant pis !

Un livre plaisant mais sans plus. Certes les traits d'humour sont croustillants, le ton ironique bien équilibré mais les tribulations amoureuses de Rob m'ont pendant de longues pages laissée indifférente, au point de m'interroger sur la poursuite ou non de ma lecture. Les références permanentes à l'univers musical des années 1970 ne m'ont pas toujours interpellée non plus. Je me suis finalement laissée prendre au jeu car j'avoue avoir souris sur beaucoup de passages mais malgré tout ce roman ne restera pas pour moi comme un de mes préférés.

Est-ce que ce livre a mal vieilli ou est-ce moi qui suis trop jeune pour connaître toutes les références musicales de ce livre ? Sûrement un peu des deux.
En tout cas, j'ai lu ce livre jusqu'au bout mais cela me paraissait être une corvée ! L'histoire est plate, sans rebondissements donc j'ai été déçue de cette lecture qui pourtant me promettait de l'humour.

C'est l'histoire d'un homme qui est propriétaire de disques, de sa vie, ses amours ses emmerdes.
Pas trop mal écrit mais pas très easy en terme de références musicales, et non je ne suis pas fan d'Elvis Costello. Donc sympa oui, mais il manque clairement quelque chose pour en faire un vrai bon livre à mon sens.

Beaucoup trop de bavardages pseudo-existentialistes pour que ce roman me plaise vraiment.

Ayant adoré Juliet Naked il y a quelques années, j'étais très enthousiasmée à l'idée de lire ce livre du même auteur.

La déception n'en a été que plus grande... Dès les premières pages, j'ai su que cela ne marcherait pas avec moi. Certes, le roman est plutôt drôle, et on sourit assez régulièrement. Cependant, il manque pour moi la profondeur d'analyse nécessaire au traitement d'un tel thème. Les déboires de Rob sont plus pathétiques qu'attendrissants. Ce qui devait être une réflexion autour du couple monogame devient une suite de gags, parfois peu subtils et sans réel intérêt. J'ai fini le roman sans plaisir, malgré quelques passages meilleurs vers la fin.

Abandonné il y a quelque temps déjà , je n'avais pris le temps d'en faire la critique. L'humour est appréciable, mais n'a pas suffi à m'accrocher, j'ai abandonné à la page 70 environ: ennui, ne vois pas où tout cela mène, perte de temps... dommage , il est rare que je mette fin à une lecture (2 fois en fait) mais la j'ai dis STOP merci et au revoir!

C'est le premier roman que je lis de cet auteur. S'il n'y avait eu des difficultés d'approvisionnement auprès des libraires pendant le confinement, je l'aurai abandonné tant il me pesait de poursuivre.
De nombreuses critiques sont élogieuses. Peut-être s'agit-il d'un livre pour les femmes qui aiment à penser que tous les hommes sont détestables ou égoïstes puisque ce sont les traits caractéristiques du personnage principal. Mais pour moi, il n'y a rien d'intéressant à prendre connaissance d'une espèce d'introspection sur ses conquêtes féminines avortées par un ado attardé. On peut néanmoins penser que la fin presque prévisible, laisse entrevoir une possibilité de rédemption.
En quatrième de couverture il est indiqué qu'il s'agit d'un roman hilarant !! Peut-être ai je manqué de motivation pour quelques remarques du type «J'ai été affreusement déçu par les slips des filles quand j'ai commencé à vivre en concubinage. (...)» .
Parsemé avec abondance de références du répertoire musical, de titres «bateau, reconnaissable, parfaitement adapté à un public» nostalgique du rock, du blues... je n'ai pas goûté la musique peut-être «décapante» de ce roman.

Ce roman est le bilan de la vie sentimentale et général de Rob. Disquaire dans une ruelle de Londres, il a 36 ans et vient d'être larguer par son amie Laura. Malheureux, il va récapituler toutes ses conquêtes depuis la première jusqu'à la dernière, Marie, chanteuse américaine dans un groupe de Country. Mais il n'arrivera pas à oublier Laura malgré qu'elle l'a trompé avec le voisin du dessus de leur appartement.
Entrecoupé de tubes anglais, Nick Hornby nous narre une histoire qu'il pense hilarante d'un célibataire post quarantaine et de ses états d'âme.
personnellement, je trouve que ce récit manque un peu d'âme malgré quelques bon moments. Une histoire qui patine avec un dénouement sans surprise.
Une déception hormis quelques morceaux musicaux à (re)découvrir