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Critique de florencem
Plus j'avance dans l'histoire, plus je me dis que je devrais m'acheter plusieurs tomes en même temps pour ne pas subir la frustration classique "du fin de tome". Parce que pour l'instant, j'ai vingt volumes de "retard" et que je peux largement combler ce dernier pour m'éviter le "quoi, comment ça il y a plus de pages ?". Je devrais être habituée maintenant, mais non, toujours pas !
Cependant, je me dis que ressentir ce genre de frustration est une bonne chose. Cela prouve au moins que l'auteur a su me captiver et que j'ai envie d'en savoir plus et donc de continuer l'aventure avec lui. C'est le cas depuis le début avec D.Gray Man. Je n'ai jamais regretté d'avoir commencé cette série et au fur et à mesure où j'avance, malgré la noirceur de la série, je suis toujours aussi enchantée de m'être décidée. Et pourtant, entre le tome six et le tome sept... il faut avoir le coeur bien accroché. Il y a beau avoir quelques scènes "comiques", le tout est tout de même assez triste. La fatalité et l'acharnement du compte millénaire s'accentue. Je ne sais pas, mais c'est comme si on sentait une menace planer continuellement sur nos héros depuis deux tomes. C'est oppressant. On ne sait pas si l'un deux va finir par se faire tuer ou pas. Et je me dis que si c'est comme cela dès les premiers tomes qu'est-ce que cela va être quand j'arriverai au vingtième...
La fin du tome six nous laissait avec Allen à l'article de la mort... Bien entendu, étant le héros, on se doutait fortement que l'auteur n'allait pas le laisser ainsi. Cependant, j'apprécie aussi qu'elle ne se montre pas si tendre que cela avec lui, non pas que je sois sadique, mais si un héros se relève trop vite d'une épreuve, je ne vois pas forcément l'intérêt, en premier lieu, de lui faire subir la dite épreuve. Sans compter que le tome sept, nous permet aussi de voir Allen sous un autre angle. On prend de plus en plus conscience que son existence même à quelque chose de spécial. J'ai hâte de voir comment cela va évoluer par la suite, notamment en ce qui concerne son innocence.
Nous rencontrons aussi pas mal de nouveaux personnages. Je ne suis pas du tout fan de Miranda... Son côté défaitiste/pas sûr d'elle/j'assure est vrai trop bizarre. On dirait qu'elle a une double personnalité, si bien que son personnage en fait quelqu'un de peu stable, un peu le bouche trou de seconde zone qui ne restera pas longtemps... J'ai largement préféré les membres de la confrérie du continent asiatique. Et pourtant, à leur façon, ils sont assez étranges eux aussi, mais beaucoup plus crédibles dans leurs rôles respectifs.
Lavi et Lenalee restent encore dans mes personnages préférés, quant à eux. Ils ont l'étoffe des héros que j'apprécie, avec leurs défauts, leurs faiblesses, mais aussi ce courage et cette façon de penser aux autres que j'affectionne beaucoup. Séparés d'Allen, on sent que le groupe est un peu bancal, mais je garde confiance en eux, même si il faut l'avouer leur situation est assez difficile. L'auteur enchaine les scènes d'actions et les moments "émotions" qui pour l'instant sont un très bon équilibre à l'histoire.
Ce tome sept est un peu un entre deux à mon goût, si bien qu'on ne peut pas vraiment dire qu'il se passe quelque chose de significatif, et en même temps, on sent que l'auteur nous met sur la voie d'une grande révélation. A voir donc très rapidement la suite.
Cependant, je me dis que ressentir ce genre de frustration est une bonne chose. Cela prouve au moins que l'auteur a su me captiver et que j'ai envie d'en savoir plus et donc de continuer l'aventure avec lui. C'est le cas depuis le début avec D.Gray Man. Je n'ai jamais regretté d'avoir commencé cette série et au fur et à mesure où j'avance, malgré la noirceur de la série, je suis toujours aussi enchantée de m'être décidée. Et pourtant, entre le tome six et le tome sept... il faut avoir le coeur bien accroché. Il y a beau avoir quelques scènes "comiques", le tout est tout de même assez triste. La fatalité et l'acharnement du compte millénaire s'accentue. Je ne sais pas, mais c'est comme si on sentait une menace planer continuellement sur nos héros depuis deux tomes. C'est oppressant. On ne sait pas si l'un deux va finir par se faire tuer ou pas. Et je me dis que si c'est comme cela dès les premiers tomes qu'est-ce que cela va être quand j'arriverai au vingtième...
La fin du tome six nous laissait avec Allen à l'article de la mort... Bien entendu, étant le héros, on se doutait fortement que l'auteur n'allait pas le laisser ainsi. Cependant, j'apprécie aussi qu'elle ne se montre pas si tendre que cela avec lui, non pas que je sois sadique, mais si un héros se relève trop vite d'une épreuve, je ne vois pas forcément l'intérêt, en premier lieu, de lui faire subir la dite épreuve. Sans compter que le tome sept, nous permet aussi de voir Allen sous un autre angle. On prend de plus en plus conscience que son existence même à quelque chose de spécial. J'ai hâte de voir comment cela va évoluer par la suite, notamment en ce qui concerne son innocence.
Nous rencontrons aussi pas mal de nouveaux personnages. Je ne suis pas du tout fan de Miranda... Son côté défaitiste/pas sûr d'elle/j'assure est vrai trop bizarre. On dirait qu'elle a une double personnalité, si bien que son personnage en fait quelqu'un de peu stable, un peu le bouche trou de seconde zone qui ne restera pas longtemps... J'ai largement préféré les membres de la confrérie du continent asiatique. Et pourtant, à leur façon, ils sont assez étranges eux aussi, mais beaucoup plus crédibles dans leurs rôles respectifs.
Lavi et Lenalee restent encore dans mes personnages préférés, quant à eux. Ils ont l'étoffe des héros que j'apprécie, avec leurs défauts, leurs faiblesses, mais aussi ce courage et cette façon de penser aux autres que j'affectionne beaucoup. Séparés d'Allen, on sent que le groupe est un peu bancal, mais je garde confiance en eux, même si il faut l'avouer leur situation est assez difficile. L'auteur enchaine les scènes d'actions et les moments "émotions" qui pour l'instant sont un très bon équilibre à l'histoire.
Ce tome sept est un peu un entre deux à mon goût, si bien qu'on ne peut pas vraiment dire qu'il se passe quelque chose de significatif, et en même temps, on sent que l'auteur nous met sur la voie d'une grande révélation. A voir donc très rapidement la suite.
