Un septième tome qui tourne largement autour du sexe et de la drogue et s'empâte dans l'action. D'autant plus étonnant que la fin du livre est particulièrement passionnante par les événements qui s'enchaînent très rapidement.
C'est un peu la caractéristique de cette collection, des chapitres entiers oû l'histoire générale n'avance pas, mais où on ne s'ennuie pas trop malgré tout, grâce au côté loufoque des scènes et à son personnage principal particulièrement intéressant dans sa nullité. Et puis des accélérations dans l'histoire qui avance vite, presque en nous disant : ça y est ça sent la fin !
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Grand fan de science-fiction, j'ai adoré cette dékalogie. Il faut passer outre le cursus de l'auteur pour s'attacher à une histoire qui nous tient en haleine d'un bout à l'autre.
On ne s'ennuie jamais avec cette série.
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Le Destin, c’est quelquefois comme un bourreau qui ne se hâterait pas. Il reçoit le supplicié sur la plate-forme, il lui prépare le coup méticuleusement, il affûte artistiquement sa hache et envoie son assistant lui quérir une chope de bière afin de mieux savourer la scène et de se délecter un peu plus longtemps avant l’ultime sifflement de la lame qui, à jamais, séparera le crâne du torse.
INA 1972
Présentation de l'origine de cette "association" et témoignages d'adeptes.