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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
1937.
La petite Rosy et sa maman ont quitté l'Allemagne pour atterrir en Moselle.
Anti curetons, juifs, fonctionnaires, ♪ social tu perds ton...♫, donc pacifiste convaincue, sa mère ne jure que par Hitler et son vibrant plaidoyer pour un monde idyllique où tout ne serait qu'amour, joie et félicité, Mein Kampf.

1944.
Une pluie d'obus s'abat sur le petit village annexé d'autorité par l'Allemagne, contraignant Rosy et sa Mutti à se terrer à la cave avant que cette dernière ne s'effondre sous les assauts répétés des alliés.
L'environnement s'avère dès lors succinct : quelques rares provisions, une poule qu'a eu du pot bien vivace, la bible Hitlérienne, une myriade de «  tic-tac » et des souvenirs pour uniques compagnons. Puis commence l'attente...

Lorsque l'on évoque Hug, l'on y associe très souvent Camut, son compagnon avec lequel elle s'est souvent brillamment essayée au thriller, cf l'ami Kurtz dans la mémorable quadrilogie Les Voies de l'Ombre. Ici, c'est du solo dans un registre complètement différent.

Rosy est touchante , son récit itou et pourtant il manque un je ne sais quoi qui aurait pu taper dans l'excellence.
Alternance de courts chapitres ( normal sur un bouquin de 160 p.) égrenant l'album familial puis successivement ses déboires et espoirs dans la pénombre, l'histoire se lit avec plaisir sans forcément susciter l'envie de la prendre dans ses petits bras musclés pour lui chanter Brüder Jacob.
D'Oma Chouchou la grand-mère acariâtre au regretté Oncle Eddy en passant par Andy, l'ami dévoué, Rosy se souvient en escomptant un hypothétique sauvetage.
L'écriture reste agréable sans véritablement soulever les foules.
L'histoire de cette gamine tristement formatée par sa mère s'inscrira comme un bon et court moment de lecture et c'est déjà pas si mal...
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La petite Rosy est née d'une mère allemande, Mutti, et d'un père français, Peter, violoniste de renom. Après leur divorce qui était très mal vu à cette époque, Mutti quitte l'Allemagne avec sa fille et se réfugie chez sa belle-mère, Oma Chouchou, en Moselle. Deux femmes que tout oppose: l'une est allemande, protestante, déteste les Juifs et vénère Hitler tandis que l'autre est française et catholique. Mutti élève sa fille à la dure, la prépare à devenir la secrétaire du Führer et l'oblige à lire Mein Kampf. C'est aussi ici qu'habitent le frère de Peter, Edy, et sa fille. Véritable figure paternelle, Edy ne cessera de s'occuper de sa nièce. Malheureusement, il est appelé sous les drapeaux en 1939. La Lorraine redevient allemande. La vie de Rosy et Mutti s'améliore un peu jusqu'à ce que les alliés s'emparent à nouveau de ce territoire en 1944. Les bombardements fusent de toutes parts, les Américains arrivent et les deux femmes se réfugient dans la cave. Mais la petite fille se retrouve seule, au milieu des gravats, dans la pénombre et lui reviennent alors en mémoire les bons souvenirs qui, l'espère-t-elle, lui permettront de tenir jusqu'à l'arrivée des secours...

Cette petite demoiselle des tic-tac est émouvante et raconte son histoire à la fois tragique, universelle et nous montre à quel point la guerre fait des ravages. Nathalie Hug rend ici un très bel hommage aux habitants de la Moselle, ballottés entre la France et l'Allemagne. Rosy subit de plein fouet la guerre, la bêtise humaine, aussi bien celle des adultes que des enfants. C'est tapie dans la cave que la petite fille nous raconte ses souvenirs, ses espoirs et son envie de vivre. L'auteur nous livre un roman touchant, pudique, sobre et empli d'espoir malgré la noirceur du contexte historique. Donnant la voix à cette demoiselle, l'on s'attache d'autant plus à cette histoire.

La demoiselle des tic-tac... tic tac, tic tac...
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La seconde guerre mondiale dans un village de Moselle, à travers les yeux d'une enfant née en 1930.

La frontière entre l'Allemagne et la France est mouvante depuis la fin du XIXe siècle en particulier, la Lorraine voit donc cohabiter Allemands protestants et Français catholiques, plus ou moins pacifiquement. Des familles sont mixtes, par alliance ou parce que certains de ses membres ont 'changé de camp'.

L'identité nationale, culturelle et religieuse de chacun devient d'autant plus importante lorsque la Lorraine se retrouve à nouveau dans une zone charnière à partir de 1939. Rosy est ainsi tiraillée entre une grand-mère paternelle farouchement française, et une mère attachée à la cause nazie - qui fait lire 'Mein Kampf' à sa fille et rêve qu'elle devienne secrétaire du Führer.

Le récit de la jeune narratrice exprime parfaitement cette atmosphère "schizophrène" : méfiance et hostilité entre voisins et membres d'une même famille, manichéisme changeant - les bons d'aujourd'hui sont les mauvais d'hier et de demain, et vice-versa. Sa voix sonne juste, c'est celle d'une enfant entière, avec ses excès, ses intransigeances, ses mesquineries, sa douceur, son grand besoin d'amour et de stabilité. Les allers-retours entre souvenirs heureux et chaos actuel sous les bombardements meurtriers soulignent à quel point cette jeune fille est perturbée par l'effondrement progressif de son univers et brisée par la perte brutale de ceux qu'elle aimait.

Un beau roman, donc. Mais... J'ai eu beau m'attacher à cette enfant et ressentir ses drames, je n'ai pas réussi à la suivre dans sa narration. Pourquoi ? Changement de style déroutant après une précédente lecture longue et marquante ? Atmosphère différente de celle qui m'avait séduite dans 'L'Enfant-Rien' de cette auteur, et que j'attendais à nouveau ici ? Difficulté à me repérer avec les va-et-vient de la narratrice dans le temps ?
La fin a ajouté à cette déception. La découverte de secrets de famille est un thème tellement rebattu dans la littérature française des dernières années... Ce rebondissement m'a semblé artificiel et superflu ici.
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Ce roman aborde deux sujets essentiels la Seconde Guerre mondiale et le poids des mots sur un enfant. Deux sujets ô combien différent et difficile.

Ici, l'auteure entremêle ces deux sujets telle une natte. Exercice un peu casse-gueule mais fait avec simplicité et sensibilité !

1937. Lorsque son père a abandonné le domicile conjugal, Rosy et sa mère quittent l'Allemagne pour aller vivre chez sa grand-mère en Moselle . Elle atterrit donc dans une région française pendant une période où il ne fait pas bon d'être allemand. Rejeté par les habitants de ce village, Rosy se retrouve isolée. Pendant ce temps-là, sa mère, femme aigrie, idolâtre Hitler et parfait l'éducation de sa fille.

Quand les rues étaient encore sûres, il m'arrivait de me poster sur un trottoir, au sommet de la rue, les yeux fermés, pour ne plus voir ce monde qui ne me convenait plus.
En 1944, une pluie de bombe s'abat sur le village. Rosy cachée dans la cave, se retrouve enfermé et apprend à survivre en espérant qu'on la sauve. Elle se raccroche aux souvenirs.

Les choses ne vont pas si mal, j'ai de quoi manger jusqu'au retour de Mutti. Je m'autorise un sourire, histoire de profiter de ce bonheur minuscule avant de le ranger dans mes autres jardins pour le revivre, quand le soleil de ma rue fera éclore les fleurs au lieu d'abîmer les morts et que les herbes folles combleront les cratères. Ca ne peut pas être la guerre tout le temps.
Un enfant a tendance à croire les paroles des adultes sans se poser de questions. Mais les enfants grandissent et découvrent parfois de sombres secrets. La guerre fait grandir les enfants, la folie fait parler les hommes. Et les non-dits sont criés à tous les vents ! Ici Rosy découvre le poids des mots de sa mère, les cachotteries de sa grand-mère et la folie d'une guerre. La haine qui en découle et malgré l'amour filial qui ne peut s'éteindre. Un paradoxe !

Un roman court, mais dense. On s'attache à cette fillette. On déteste les adultes qui ne peuvent faire la part des choses en cette période de guerre. Il est vrai qu'il est toujours plus facile de juger de son fauteuil . J'ai passé un agréable moment lecture ! J'ai apprécié ce regard sur cette région qui perd son identité à chaque guerre !

Quand on est né lorrain, comme nous, il est parfois bien compliqué d'expliquer qui on est et d'où on vient.
J'aime la plume de Nathalie Hug et surtout lorsqu'elle aborde ces thèmes de post ou pré-guerre !Mais j'ai tout de même une préférence pour son roman 1, rue des petits-pas qui parle de la condition des femmes (et sage femme) après la Première Guerre mondiale ! Un superbe roman !
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La petite Rosy et sa maman se sont installés dans un petit village de Moselle. Mais pendant la Seconde Guerre Mondiale, la rancune est tenace et la haine très forte entre Français et Allemands, les moqueries vont bon train pour la fillette, comme pour les insultes pour la mère. C'est Rosy qui nous raconte son histoire avec sa mère, sa grand-mère et les autres enfants, il y a beaucoup de non-dits, de secrets qui se dévoilent petit à petit…
Ce n'est pas un roman facile à lire, la jeune Rosy est souvent disputée par sa grand-mère ou moquée par les gamins du village. le seul moment où elle se sent bien, c'est quand elle est seule, avec ses araignées, ses « tic-tacs ». Mais il m'a manqué un petit quelque chose pour apprécier totalement cette histoire, je n'ai pas éprouvé d'empathie pour elle. J'ai eu aussi du mal à me situer dans le temps, ne m'attendant pas à ces allers-retours temporels. Nathalie Hug explore un sujet particulier qui m'a intéressée, c'est regrettable que le récit ne m'ait pas touché autant que je l'aurais voulue.

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Rosy et sa mère ont quitté l'Allemagne en 1937 après le départ de Peter, le père. Les deux femmes se réfugient dans la famille de Peter, en Lorraine, accueillies par son frère, sa nièce et sa mère. Mais elles sont considérées comme allemandes, et nous sommes à la veille de la guerre. Ballotées au gré des humeurs des Français, elles passent du mépris (la Lorraine est française) à l'acceptation (la Lorraine redevient allemande) pour finir par la haine (libération de la Lorraine, elle redevient française.)Finalement c'est l'histoire d'une petite fille touchée par des enjeux politiques, historiques et sociologiques qui la dépassent, qu'elle ne comprend pas : entre sa grand-mère qui déteste les Allemands, sa mère qui déteste tout le monde sauf le Führer, les garçons de sa classe qui la bizute sans cesse, il est difficile d'avoir 10 ans en Lorraine quand on a du sang allemand … « Je ne comprenais pas pourquoi nous devions être aussi sévères avec les Juifs. Ils ne faisaient pas de pires Allemands que ces Français qui nous haïssaient » ou encore « Nous étions l'envahisseur, puis les pestiférées, celles qu'on allait bientôt fusiller, juste parce qu'elles étaient nées allemandes. »

Lorsqu'elle commence son récit, elle se trouve dans la cave de sa maison bombardée, et tente de survivre en attendant une aide qui ne vient pas. Elle se remémore alors ce qui l'a conduit jusqu'ici pour oublier sa phobie des araignées, celles aux longues pattes que son oncle Edy appelait "les tic-tac", qui se rapprochent de plus en plus. Récit touchant mais terriblement dur, il a eu l'avantage de me faire prendre conscience de ce qu'ont vécu les Lorrains à cette époque, en particulier les enfants qui sont passés de "nos ancêtres les gaulois" à l'autobiographie du Führer, aux Jeunesses hitlériennes, et à l'obligation de parler allemand et de faire leurs devoirs en allemand, langue que souvent ils ne maîtrisent pas. Des enfants qui sont le jouet de luttes d'adultes …

Un petit roman poignant, sur le thème certes rebattu de la Seconde guerre mondiale, mais qui aborde un thème intéressant, finalement analysé à travers le regard d'un enfant, ce qui lui donne un plus gros impact.
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1944, la France est progressivement libérée de l'Occupation allemande.

7 ans plus tôt, Rosy et Mutti, sa mère, toutes deux de nationalité allemande, sont venues s'installer en Moselle, territoire annexé par le passé à l'Allemagne. L'animosité entre Français et Allemands est plus que palpable ; les deux femmes sont rejetées par la population, d'autant plus que Mutti idolâtre Hitler. En 1940, un an après le début de la guerre, la Moselle est envahie par les Allemands, leurs conditions de vie s'en trouvant ainsi améliorées.

Mais à cet instant, en 1944, Rosy et sa mère tentent d'échapper aux bombardements des Alliés. La jeune fille tente de survivre comme elle peut, en se plongeant dans ses souvenirs de famille, en pensant à son oncle Edy qu'elle aimait tant, avec sa poule et des araignées qu'Edy surnommaient les tic-tac pour seule compagnie.

Je porte un intérêt tout particulier pour les fictions se déroulant à l'époque de la Seconde Guerre mondiale. Quand celles-ci sont bien documentées, et même si cela reste des oeuvres de fiction, on peut toujours en apprendre un peu plus sur l'Histoire de cette époque. Avec ce livre, mon attention s'est portée sur des informations concernant la position de la région Lorraine pendant la Seconde Guerre mondiale, et comment les choses pouvaient être vécues dans cette partie de la France. Je n'ai pas oublié que ceci était une fiction, néanmoins, cela m'a poussée à aller glaner quelques informations à ce sujet. Je pense d'ailleurs que si mes connaissances avaient été un peu plus poussées sur la question, j'aurais encore davantage apprécié ce roman.

L'histoire est racontée du point de vue de Rosy. C'est une jeune fille tiraillée entre les espoirs que place sa mère en elle, entre ce qu'il convient de dire, penser et faire et les questions qu'elle se pose. C'est avec ce regard d'enfant, parfois tellement lucide, qu'on s'interroge avec elle sur ce qu'elle découvre, vit, subit… Une histoire narrée du point de vue d'un enfant, un personnage qui oscille entre innocence et questionnements, renforce (de mon point de vue) l'impact qu'aura le récit sur son lecteur.

Merci au Livre de Poche pour cet envoi, je suis réellement contente d'avoir pu faire cette découverte, même s'il m'aurait probablement fallu davantage de connaissances sur ce point précis de l'Histoire (notamment sur la situation de la Lorraine durant les différents conflits qui se sont succédés) pour mieux cerner et savourer ce roman.
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Premier roman de cette auteure que je lis et j'ai été troublée.
Abordée un sujet t-elle que la seconde Guerre mondiale, il fallait oser.
Ce roman d'une réflexion de Rosy petite fille se déroulant de 1937/1945, assez déroutant je ne saurais décrire les sentiments.
J'ai un avis assez mitigée sur ce sur cette histoire cependant je vous le conseille, si vous aimez le sujet.
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Dès le début, on sait que Rosy va finir sous les décombres de sa maison, piégée dans la cave. Elle est vivante et on alterne les chapitres dans la cave avec les souvenirs de la petite fille. Il ne faut donc pas être claustrophobe car en lisant ce livre, c'est assez horrible de l'imaginer coincée dans les décombres de sa maison et qui survit grâce au peu qu'elle trouve. On ne sait pas combien de temps elle y reste, car sans lumière du jour, le temps passe lentement… Et puis il y a ces tic-tac, d'horribles araignées avec de fines pattes qui sont là et se faufilent partout. J'avoue que je n'avais pas lu la quatrième de couverture donc je pensais que par "tic-tac" on allait parler d'horloge. Et bien pas du tout! Mais au temps pour moi, j'aurais au moins appris ce que sont les tic-tac.

Le livre est très court et on suit donc les pensées de Rosy, elle raconte son histoire et notamment comment elle et sa mère sont arrivées dans ce petit village de Moselle où elles n'étaient pas les bienvenues. Elles sont allemandes et même si ce département de Lorraine a été allemand un jour, les villageois les regardent d'un mauvais oeil. J'ai trouvé ça intéressant d'aborder ce sujet de l'intégration d'étranger dans un endroit qui a souffert de la guerre et qui pourtant a cette double-culture. C'est vrai que je ne réalise pas forcément que l'Alsace et la Lorraine sont deux régions qui ont beaucoup changé de pays et que ça n'a pas dû être facile. Et Rosy vit un moment charnier de l'Histoire où elle passe d'une sale Boche conspuée à une allemande qui rentre dans le moule.

Les personnages principaux sont peu nombreux et vus à travers les yeux de Rosy. Malheureusement, j'ai eu un peu de mal à m'attacher à Rosy même si j'ai eu plusieurs fois de la peine pour elle. Elle vit avec sa mère, sa grand-mère et sa cousine. Ce sont des personnes qui peuplent le quotidien de Rosy mais j'ai ressenti comme une froideur et une certaine distance vis-à-vis d'elles. Je ne les ai pas spécialement aimées car rien ne les rendait attachantes et ce n'était sûrement pas le but de l'auteure. Puis il y a Andy, le meilleur ami de Rosy qui finit mal. Pourtant, je n'ai pas réussi à le pleurer. Je me suis sentie complètement détachée des personnages, ce que j'ai trouvé dommage.

Donc bien que la plume soit assez agréable à lire, j'ai manqué d'empathie pour les personnages et je ne me suis pas laissée emporter par l'histoire ni ressenti de tristesse alors qu'il y avait de quoi. Pourtant, ce n'est pas du tout un mauvais livre et je pense qu'il pourrait vraiment plaire à d'autres qui compatiraient plus avec le sort de Rosy. Donc je ne vous le déconseille pas car le sujet n'est pas inintéressant, c'est plutôt moi qui n'ai pas réussi à rentrer dedans!
Lien : http://latetedansleslivres.w..
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Autant je suis fan des romans sur la Seconde Guerre Mondiale, autant celui-ci m'a profondément ennuyée. J'ai trouvé l'histoire un peu plate et sans intérêt, malheureusement.... C'était peut-être pas le bon moment pour le lire.... à retenter au cas où....
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