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sur 1008 notes
Une simple lettre ! L'une de celles qui fend les coeurs, même les plus endurcis, parce qu'elle est remplie d'amour. Une douce missive oubliée dans la poche d'un vieux veston qui va traverser les ans avant d'être retrouvée par une âme en pleine détresse. Un billet doux qui va raviver les coeurs meurtris, soigner les blessures, redonner foi en l'avenir... Un message exalté qui va sortir les fantômes de l'oubli.
Au début, je dois l'avouer, j'ai craint le pire ! Les personnages de ce livre me paraissaient tellement caricaturaux, les situations tellement outrées que l'histoire me semblait vide, dénuée de sens. Une femme battue, le mari ivrogne, le père tyrannique, l'ami de toujours secrètement amoureux, la mère qui refuse de voir… Pourquoi pas le pompier pyromane et la prostituée au grand coeur, pendant qu'on y est !!!
Et puis, soudainement, la magie s'opère quand celle par qui le scandale arrive est envoyée en Irlande chez sa tante, une paysanne à l'ancienne, une revêche dure à la peine et rigide sur les principes. L'histoire de nos deux belles héroïnes bafouées, aux rêves piétinés, liées par cette lettre jaunie pleine d'espérance, d'amour, de vitalité, devient alors de plus en plus émouvante, et vraie. Les personnages prennent de l'épaisseur ; on devine leurs fêlures ; on ressent le poids de leurs inconséquences et de leurs remords.
Elles se nomment Tina et Chrissie. L'amour qui rend aveugle, le sens du devoir, la moralité et sa chappe de plomb, les ont laissées au bord du chemin, esseulées, brisées, sans avenir ni perspectives. Jusqu'à l'arrivée miraculeuse de la lettre qui renoue les fils du destin.
Cette jolie lettre, pour moi, c'est un peu comme le sourire bienveillant de l'ange gardien…

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Je découvre cette auteure anglaise avec Il était une lettre et c'est avec beaucoup d'émotions que je referme la dernière page de cette très belle histoire qui nous rappelle que le hasard n'existe pas.

Deux femmes et deux époques dans ce livre. La première vit en Angleterre en 1973, elle est mariée à un homme impulsif, alcoolique et combien violent. À son travail, elle découvre une lettre écrite des décennies derrière.
La seconde c'est Chrissie, jeune fille à l'aube de la seconde guerre mondiale. Elle s'éprend de Billie à dix-neuf ans quand rien ni personne n'approuve cet amour naissant.

Oscillant sur deux époques, Kathryn Hugues nous offre une histoire dense et plus que touchante. Sur base d'une lettre, nos deux héroïnes vont essuyer une vie des plus tragiques. J'ai eu le coeur serré tout le long de cette lecture tant le destin de ces deux femmes m'a émue au plus haut point.

L'amour et encore lui est partout ici mais dans sa forme la plus égoïste et destructive. Aimer jusqu'à battre sa femme, aimer pour un père jusqu'à séparer ceux qui s'aiment.

Pourtant il y a comme une bonne étoile ici qui pousse la vie à réparer les erreurs, à panser les maux, il y a comme une envie de croire que la vie peut se montrer magicienne pour ceux et celles qui savent aller de l'avant.

Sans niaiserie aucune mais avec beaucoup d'émotions, Il était une lettre fait partie de ces livres qui se lisent la main sur le coeur et un mouchoir dans l'autre.
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Un grand homme, dont j'oublie le nom, a dit que "Le destin de l'homme est lié au destin des choses". Sans doute a-t-il raison, mais ce qui m'interpelle le plus, c'est de constater à quel point nos vies semblent, je ne sais par quelle volonté, connectées les unes aux autres. Par quel mystère un acte commis par un être peut retentir sur d'autres destins, que cet être soit encore vivant ou pas, et quelle que soit l'époque à laquelle il a vécu.
C'est cette pensée qui m'a occupé l'esprit alors que je lisais le parcours de Tina.
Tina est une jeune femme mariée à un homme porté sur la boisson et souvent violent. Pour l'éviter, le weekend elle se réfugie dans une boutique où elle travaille comme bénévole. Dès lors que, dans la poche d'un vieux costume, un jour elle trouvera une lettre écrite des décennies plus tôt, son existence prendra un tout autre cours.
Partant de ce fait a priori assez simple, l'auteure met en scène de nombreux protagonistes, et déroule avec doigté un récit qui oscille entre présent et passé, ce qui confère à l'ouvrage un rythme que j'ai pour ma part beaucoup apprécié.
Je dois par contre reconnaître que je n'ai guère été séduite par la plume, qui certes n'est pas mauvaise, mais quelques phrases m'ont quand-même paru plutôt mal formulées, ce qui surprend quand il est question de littérature. "Pour dire le moins" s'est maintes fois présenté, à charge au lecteur de déduire qu'il s'agissait bien sûr de "le moins que je puisse dire". Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres, et ces maladresses desservent forcément l'oeuvre, même si elles sont imputables au manque de rigueur du traducteur et non à celui de l'auteure.
Ce livre est toutefois remarquablement bien construit, et la diversité de protagonistes, de traits de caractère, ainsi que la cadence insufflé au récit, en font un roman fort agréable à lire. L'auteure nous parle d'amour, de haine, de tendresse et de violence, de séparations et de retrouvailles, de rêves inassouvis et de résilience, et évoque de très nombreux thèmes. Elle nous parle aussi d'un autre temps, avec tout ce qu'il comportait de préjugés et d'injustice, mais surtout, ce roman questionne sur cette "chose" que nous avons choisi de nommer "destin".
Sommes-nous vraiment
maitre de notre destin ? Notre vie, sans que nous le sachions bien sûr, ne serait- elle pas l'écho d'actes posés par d'autres que nous-mêmes. Qui sait si elle n'est pas la simple répartie de vies déjà menées et depuis longtemps terminées ? Encore un de ces mystères impénétrables...
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En 1973, à Manchester, Tina est une jeune femme mariée à Rick, un alcoolique violent qui la bat.
Pendant la semaine, elle travaille comme secrétaire et le samedi, elle s'occupe comme bénévole dans une boutique de vêtements d'occasion.
Dans un veston, elle trouve une lettre écrite en 1939 à une certaine Christina ( Chrissie) de la part de son amoureux Billy qui regrette son comportement d'homme fuyant devant l'annonce d'une grossesse non désirée.
Cette lettre n'a pas été postée.
A ce moment débute tout l'intérêt du livre.
Nous allons glisser dans le passé, au moment de la jeunesse de Chrissie et Billy.
Parallèlement, nous allons vivre le drame de Tina qui, malgré tout, essaie de les retrouver trente-quatre ans plus tard.
Va-t-elle réussir à retrouver Chrissie et pourquoi pas l'enfant qu'elle attendait ?
Tout ce beau roman à partir d'une lettre subtilement amenée.
Le récit se déguste à la manière d'une romance avec ses moments très durs parfois avec des personnages abjects ;
des instants très beaux aussi avec de l'amour et de l'amitié.
La grande qualité réside dans la construction de la narration qui, pour ma part m'a vraiment passionnée.
L'auteure a su traduire à merveille, avec intensité, deux vies de femmes.
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Premier coup de coeur de l'année pour ce premier roman de Kathryn Hugues.

Surprise totale car roman pioché dans une boîte à livres. J'avais envie d'une lecture légère, d'une romance soignée et j'ai en partie été exaucée.

En partie seulement parce que s'il est vrai que les pages de ce roman renferment beaucoup d'amour, il ne détient pas l'exclusivité ; d'autres émotions fortes peuplent ses lignes, douloureuses pour la plupart.

Alors oui, "Il était une lettre" est moins léger que sa couverture peut le laisser supposer mais son auteure nous invite à découvrir un récit très humain et poignant, sans pathos dégoulinant pour autant.

Au-delà des personnages très attachants, du rythme impeccable, de la structure narrative maîtrisée et d'un style très plaisant, le roman aborde des thèmes durs comme la violence conjugale, l'alcoolisme, l'humiliation des filles-mères, le vol de leurs enfants par des institutions en vue d'adoption, et la quête douloureuse de la filiation pour les enfants adoptés.

Tout en évitant les clichés, Kathryn Hugues parvient à transmettre au lecteur beaucoup de l'émotion qui anime ses personnages et fait de son roman un page-turner redoutablement "efficace".

Sur la forme, la traductrice a abusé des conjugaisons fantaisistes mais à par ce petit défaut, c'est un sans faute. "Il était une lettre" est très beau roman qui appelle une adaptation ciné de qualité.


Challenge PLUMES FÉMININES 2019
Challenge des 50 Objets 208 / 2019
Challenge MULTI-DÉFIS 2019
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Il y a des livres qui sont de drôles de rencontres, presque le fruit du hasard. Alors que je m'accordais cinq minutes dans une librairie entre des heures exténuantes de boulot, le titre de ce roman m'a interpelée. Comme je suis quelqu'un de raisonnable (si, si, je vous assure), je suis passée devant sans trop m'attarder. Pour être honnête, je me suis quand même retournée, à plusieurs reprises, et ai même été tentée de faire demi-tour pour lire le résumé, mais le temps pressait... Et puis, je suis raisonnable (comment ça je me répète?)...

Ma journée intensive reprend après cette bouffée d'oxygène et le titre n'arrête pas de tourner en boucle. « Il était une lettre », « Il était une lettre ». Il sonne bien. Il est presque doux à mon oreille, comme une caresse. En plus, je ne sais pas pourquoi, il résonne un peu comme ces lettres du « Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates » qui me renvoient à tant de jolis souvenirs avec ma mère.

Mais, je suis raisonnable. (Nan, nan, je ne me répète pas, c'est mon mantra, nuance !), je rentre donc chez moi, sans l'objet du pêché.

La vie est faite de petites choses, de ces gestes anodins, de ces habitudes que vous avez pour vous changer les idées entre deux copies de concours ou deux rapports. Un petit tour sur la plateforme Netgalley, juste pour voir, pour faire une pause, ça ne dure pas longtemps, c'est l'idéal, et oh, un battement de coeur qui saute, il y est ! Une demande et quelques jours plus tard, une réponse positive. Me voilà avec « Il était une lettre », sans trahir ma raison !

Premier constat, ce roman est bien éloigné du « Cercle ». Deuxième constat, aucune importance, il a créé en moi de telles vagues d'émotions qu'il sera, lui aussi, une référence pour mon petit coeur.

Je m'attendais à une lecture plutôt légère (ne me demandez pas pourquoi, je n'avais pas lu le résumé je vous rappelle, « Moi être raisonnable! », oui, oui) et en fin de compte, ce roman qui alterne présent et passé pour nous plonger dans le destin de ces deux femmes, porte cette société qui l'habite. Chrissie m'a bouleversée, Tina m'a arrachée des larmes. Chacune plie sous le poids de sa condition de femme, même si des années les séparent, chacune aurait pu être l'héroïne de son propre roman si leur chemin ne s'était pas croisé.

L'auteur s'attaque à des thématiques lourdes : le fardeau du regard des autres dans une société où il fallait maintenir les apparences, le droit à l'amour, à épouser qui on voulait, ces vies que l'on brise même si on aime l'autre, la réalité d'une époque, cette religion qui juge et nettoie, la violence, morale, physique, l'emprise, et j'en passe. Tous sont traités sans ambages, tous s'imbriquent parfaitement parce que l'auteur ose les développer, ose nous interpeler, ose nous choquer.

L'écriture de Kathryn Hugues est très réaliste, je garde encore en mémoire certaines scènes qui vibrent en moi. Ma gorge se noue en y repensant, ma poitrine se comprime... Chrissie, Billy, Tina et les autres ont un visage, je vois ce regard méprisant du père, ces lèvres de la mère qui se froncent, cette main qui s'abat. le mot est juste, fort, sans fioritures mais n'a pas la sécheresse à laquelle peuvent recourir certains romans contemporains pour faire passer leur message. Il traduit parfaitement les deux époques, comme s'il ne faisait qu'un avec elles.

Point de faux sentimentalisme dans ce roman, point d'exagération, point de dramatisme décuplé. Juste le verbe qui dit, la lettre qui donne un but et unit, et ces femmes qui veulent vivre.

J'ai adoré... littéralement adoré...
Lien : http://lelivrevie.blogspot.f..
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J'ai lu Il était une lettre grâce à la critique qu'en a faite mon amie babeliote jeunejane, qui s'est justement trouvée, étrange coïncidence, à l'honneur sur la page Facebook de Babelio au moment même où je lisais ce livre ! Une lectrice à suivre, décidément... bravo jeunejane !

Il était une lettre est la parfaite lecture de vacances. D'abord, c'est un roman qui se dévore, qu'on ne peut pas lâcher : une fois qu'il est commencé, on a absolument besoin de savoir comment il continue et comment il se termine. Il y a des drames, de l'amour, de l'amitié, des trahisons, des larmes et des renaissances : tous les ingrédients d'un bon livre, plus, pour que ce soit réellement un bon livre, cette petite pincée d'indéfinissable magie qui m'a valu un début de nuit blanche.

Ensuite, et c'est ce qui avait attiré mon attention dans la chronique de jeunejane, c'est un livre qui mêle habilement passé et présent, avec des histoires qui se répondent et même plus, qui interagissent l'une sur l'autre.

Que le passé influe sur l'époque suivante, c'est après tout bien normal ; et dans Il était une lettre, c'est très habilement fait. La lettre dont il est question dans le titre a été écrite dans le passé et elle est au coeur des drames du passé, avant de s'immiscer aussi dans ceux du présent.

Mais ce fil conducteur fait qu'on a aussi le sentiment que le présent influe sur le passé : étrange, dépaysante, délicieuse impression ! Et c'est possible sans une once de surnaturel, rassurez-vous : on a cette impression car on se demande quels sont les autres liens que l'on va découvrir, si les drames qui sont relatés dans le présent préfigurent la relation d'autres drames dont on pressent l'existence dans le passé... et puis finalement on se trompe, on se laisse emporter par les histoires d'amour, et on passe un très bon moment.

Dernière chose... à la recherche de plus de renseignements sur cette auteure que je ne connaissais pas, qu'ai-je découvert ? Il était une lettre a été d'abord auto-édité en Grande-Bretagne, début 2015, a rencontré le succès par ce moyen avant d'être repéré par un éditeur, traduit, et de continuer son chemin de best-seller. Pour l'auteure auto-éditée que je suis depuis quelques mois, cela ne fait que confirmer ce que pressentais : aujourd'hui, un contrat d'éditeur n'est plus la première marche à gravir pour les apprentis écrivains, mais la dernière. Avant elle, ce sont les lecteurs, et seulement eux, qui peuvent faire le succès d'un livre. Pour cette confirmation aussi, je remercie Kathryn Hughes, dont je souhaite qu'elle puisse maintenant écrire de nombreux autres livres !
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Pour être honnête, je ne m'attendais pas dutout à être happée à ce point par ce livre...
Un récit simple sans grande recherche de style et qui est pourtant parvenu à me tenir en haleine du début à la fin.

Tout tourne autour d'une lettre trouvée dans la poche d'un vieux costume déposé à la friperie.
Deux destins de femme, à des époques différentes, vont se rencontrer sur fond de violence physique et morale.
Une violence d'autant plus grande qu'elle leur est infligée par des hommes qu'elles aiment..un mari pour l'une, un père pour l'autre.
Une violence qui va leur arracher le fruit de leurs entrailles, les privant du même coup de leur unique raison de vivre.
Elles survivront pourtant, portées chacune par une amitié fidèle et discrète jusqu'à ce que leurs pas se rejoignent.

De nombreux thèmes de société sont abordés dans cette histoire sans prétention, qui sont le reflet de toute une époque où les apparences étaient encore le maître mot.
Kathryn Hughes parvient à rendre ses personnages attachants par empathie.
On ne peut qu'être en colère face aux injustices dont elles sont victimes même si l'on voudrait les voir plus combatives.
Malgré quelques maladresses de traduction, c'est un roman agréable à lire et qui ne laisse pas de marbre.

Mon coeur balance entre ⭐⭐⭐ et ⭐⭐⭐⭐
Je vais laisser mon plaisir de lecture l'emporter sur la richesse de l'écriture et je vais opter pour ⭐⭐⭐⭐.

Merci Magali de m'avoir prêté ce livre qui, je le sais, t'a beaucoup plu et de m'avoir ainsi fait partager tes émotions.
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Ce livre se lit très bien et il est difficil de le lâcher. On suit ici deux femmes tout d'abord Tina jeune femme dans les années 70 qui découvre une lettre dans un costume dans la boutique caritative ou elle travaille.

Cette lettre est celle d'un jeune homme Billy ou il déclare à son amour à une certaine Chrissie et cette lettre date de 1939.

Dès lors nous alternons d'époque et de personnages entre la vie de Tina dans les années 70 et celle de la vie de Chrissie et Billy dans les années 39.

Aucune des deux ne va avoir une vie facile, le passage d'une à l'autre époque est fluide cela est dû à la recherche de Tina de savoir pourquoi cette lettre n'a pas été posté par Billy alors que celle-ci est timbrée.

Il m'a tout de même manqué quelque chose pour être ému ou bouleversée par cette lecture, peut-être les personnages n'étaient pas assez creusés pour ma part.
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Deux héroïnes, deux époques, deux lieux (Londres et l'Irlande) et une lettre jamais expédiée.
La première, Chrissie (1939) aura un amour contrarié par un père rigide. Il l'expédiera en Irlande où elle devra mettre au monde son enfant dans un de ces couvents qui "accueillaient" les filles-mères et proposaient (vendaient) leurs enfants à l'adoption. Si le thème vous intéresse ne vous jetez pas sur ce livre... ce sujet-là n'est pas vraiment exploité.
La seconde, Tina (1973) subit des violences conjugales (sujet beaucoup plus présent). Elle tient une boutique de vêtements d'occasion. Ainsi, dans un manteau, elle trouve une lettre fermée et timbrée, mais jamais expédiée. Elle essayera d'en retrouver la destinataire.

Très souvent je fais de belles découvertes grâce à notre site préféré... mais cette lecture m'a beaucoup déçue, un peu à cause de Babelio.
Les étiquettes "roman épistolaire" ou "épistolaire" n'ont pas lieu d'être ici... l'histoire tourne autour d'une seule lettre jamais expédiée, il n'y a pas de courrier échangé.
Ensuite, j'attendais plus d'un livre aussi bien noté. Les avis enchantés ne m'avertissaient pas d'un style que, personnellement, je juge assez pauvre ; Je ne me suis pas attachée aux personnages et je trouve l'histoire plutôt convenue...
je n'en jette plus... sans rancune, je passe à autre chose.
Devez-vous le lire ? Je suis peut-être passée à coté de ce livre et il y a beaucoup d'avis positifs, alors... à vous de voir !
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