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sur 2607 notes
Ca y est ! J'ai réussi : 1344 pages très exactement. J'avais déjà lu Les misérables quand j'étais adolescente mais une édition « édulcorée ». Un jour dans une librairie, je me suis dit que c'était dommage alors sur un coup de tête j'ai acheté la version intégrale, laquelle ressemble plus à un parpaing qu'à un livre il faut bien le dire.

Pendant quatre mois ce fut ma lecture fil rouge. Pas question de me gaver, ou d'expédier. Et quelle lecture ! le mot description prend ici tout son sens. HUGO décortique, détaille, investigue, analyse, digresse avec gourmandise et générosité. Je n'ai pas lu Les Misérables, j'ai vécu avec eux. C'est un peu long parfois mais le rendu est spectaculaire. Ici pas d'ellipse pas de trous à combler tout, absolument tout est prévu, dit, raconté, expliqué. Signe d'une autre époque ou le temps s'écoulait différemment et où on ne pressait pas les écrivains d'écourter. Un temps ou les notifications ne nous harcelaient pas, où on vivait dans la vraie vie et pas dans le virtuel, où les écrans ne nous accaparaient pas.

HUGO ne décrit jamais ses personnages en une seule fois et pour cause les descriptions mises bout à bout font pour chacun d'entre eux une dizaine de pages. Ils sont d'abord ébauchés, puis on appréhende leur gestuelle, leur façon de se mouvoir, de se vêtir, leurs attitudes, leurs caractères, ils ont pris vie, on s'est apprivoisés, côtoyés, aimés, détestés, reconnus de loin, devinés ! Ils ont fait partie de mon monde. Et la magie a opéré de même pour les lieux j'ai frissonné dans l'auberge des Thénardier, me suis sentie à la maison chez monsieur Madeleine, ai respiré à plein poumons l'air frais en cheminant la campagne française aux côtés de Jean Valjean et de Cosette, j'ai hurlé sur les barricades, retenu mon souffle craignant de croiser Javert au détour d'une rue. Quelle aventure ! Avec en prime l'Histoire de France décortiquée.

Victor HUGO en bon narrateur, m'a tout expliqué, penché au-dessus de mon épaule de temps en temps il me rappelait que oui il pouvait bien revenir en arrière, remonter le temps car c'est le privilège du narrateur. D'accord Victor je te suis. Parfois il m'aidait à me souvenir : on se rappellera que … oui Victor, je me rappelle. D'autres fois il partait dans une direction qui me désarçonnait comme quand je me suis retrouvée sur le champ de bataille de Waterloo, mais il me prévenait toujours : c'est nécessaire à la compréhension de l'histoire. Patience… Alors je l'écoutais lui et son style suranné, ses tournures de phrases désuètes au charme incontestable, ses mots, maintenant disparus, ramenés à la vie pour quelques instants (merci mon dico d'étymologie) et ses jeux de mots attendrissants quand ils se voulaient sans doute spirituels et percutants à l'époque (filousophe) et puis l'argot qui donne du piquant au récit. Je ne me lassais pas de le lire et d'apprendre. le contexte historique et politique de l'époque, le mode de vie, les petits détails du quotidien, les habitudes, les moeurs, … passionnant ! Alors oui il est parfois un peu candide notre Victor, un peu trop confiant en la nature humaine, ses personnages sont parfois manichéens, mais il est aussi pertinent et visionnaire. Combien de ses idées, de ses prises de position, sont toujours d'actualité de nos jours ? « On dit que l'esclavage a disparu de la civilisation européenne. C'est une erreur. Il existe toujours, mais il ne pèse plus que sur la femme, il s'appelle prostitution ». Encore maintenant on pourrait débattre des heures sur ces mots.
C'est ça aussi Les Misérables : le témoignage d'une époque, d‘un combat, d'un engagement pour sortir de l'ombre ceux de l'ombre qu'aujourd'hui on appellerait « les sans » : sans dents, sans domicile fixe, sans-papiers, sans travail, sans revenus… les années ont passé mais il y a des Cosette plein les rues, des Thénardier, des Jean Valjean, des Gavroche…, et son combat contre le système pénitentiaire de l'époque et le droit à une seconde chance ? Pas certain que nous ayons beaucoup progressé là encore.

Et l'histoire? L'histoire vous la connaissez. C'est beau, c'est cruel, vous savez que c'est un crève-coeur. Tout le monde la connaît … dans les grandes lignes. Mais pour la vivre, la comprendre, la ressentir, et vous promener en tête à tête avec Victor, il vous faudra lire ces 1344 pages, arrêter le temps, savourer les mots.
Une fois la balade terminée et arrivé au mot fin il se peut que vous cherchiez cette voix au-dessus de votre épaule et que vous vous sentiez un peu orphelin. Parce que certaines lectures sont plus vivantes que d'autres. Parce qu'on n'abandonne pas des compagnons de route avec qui on a passé tant de temps sans un petit regard en arrière et un peu de vague à l'âme.
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C'est un thriller du XIXè siècle !
A Digne, Jean Valjean, galérien libéré aux idées embrouillées par le bagne avec son passeport de forçat qui l'exclut de la société, tuera t-il l'évêque Bienvenu pour lui voler ses chandeliers ?
A Montreuil-sur-Mer, Monsieur Madeleine, riche homme d'affaires altruiste, ira t-il se dénoncer à la place de Champmathieu, alors que Fantine a besoin qu'il extirpe sa fille Cosette des mains du cupide Thénardier, et que la ville de Montreuil, qu'il a fait prospérer, a besoin de lui ?
A Paris, l'implacable inspecteur Javert reprendra t-il le forçat reconnu Jean Valjean, alors que celui-ci a promis à Fantine mourante qu'il s'occupera de sa petite Cosette ?
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Victor Hugo fait de son oeuvre un immense procès à la Justice, qui ne sait pas s'adapter aux circonstances.
Mérite t-on 5 ans pour le vol d'un pain qui empêcherait une famille de mourir de faim par un rude hiver ?
Doit-on infliger 19 ans de galères abrutissantes à un forçat qui s'échappe, mais ne fait rien de mal ?
La "Justice" ne doit-elle pas tenir compte des bienfaits que Jean Valjean ( Monsieur Madeleine ) a apporté à la ville de Montreuil, et faire grâce de sa peine pour le "vol" de 40 sous à Petit-Gervais ?
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Au contraire du sens des lois de l'époque, Victor Hugo montre qu'un misérable, si on ne le rend pas à toute extrémité comme lui donner, une fois libéré, un passeport de forçat avec lequel il ne trouve aucun travail, ce misérable peut rester la bonne personne qu'il était.
En 1848, alors député, Victor Hugo a fait un discours en ce sens, mais les mentalités évoluent lentement.
Avec l'évêque Bienvenu et Monsieur Madeleine, Victor Hugo montre le chemin de l'altruisme et du partage que devraient prendre les gens qui "réussissent".
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Ce roman est toujours d'actualité : )
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Après quelques lectures décevantes, rien ne vaut un bon gros bouquin du patrimoine et hop! Cela faisait longtemps que j'avais envie de retrouver les misérables et voilà qui m'a bien rincé des vains opuscules que j'avais ouverts auparavant.
Alors oui, d'accord, y'a des trucs, c'est plus possible. Dans « Marius », j'ai souvent baillé et le roman total a vécu. Totor historien, Totor philosophe, Totor qui pense et explique la vie à ses lecteurs du haut de son génie, c'est quand même too much. Mais même dans cette logorrhée digressive, la pépite n'est jamais loin (oui, bon, faut la chercher, d'accord, elle se mérite). Et quand c'est le romanesque qui l'emporte, alors là, pardon, mais c'est inouï. Les personnages sont d'une humanité à pleurer et les grandes scènes nous cueillent: le grand-père et son petit-fils incapables d'exprimer leur amour, le maire devenu trop important pour se dénoncer, les grisettes applaudissant à leur propre humiliation, l'évêque qui renâcle devant le communard, Thenardier plein de haine rentrée faisant face au bourgeois plein d'onction charitable, Javert le pur sanglé par la loi... à part Cosette, tous sont nos proches. A moins que Cosette ne soit le délire de Valjean, poupée parfaite qu'il réussira à ne pas mettre dans son lit (Encore que j'ai des doutes: je trouve qu'elle n'est guère émue au matin de la nuit de noces, pas plus étonnée que ça de ce qui vient de lui arriver...) Car si certaines productions ont réduit ce roman à la gnangnantisation, malgré la mièvrerie des comédies musicales, il serait dommage d'oublier que la cruauté du monde, dans la version originale, n'est jamais édulcorée. La famille de Valjean dont on peut croire qu'elle n'a pas survécu à l'arrestation, les frère et soeur de Gavroche abandonnés à la rue, les sacrifiés des barricades aux morts inutiles... Pour une Cosette épargnée, combien de personnages fauchés par l'injustice et le malheur ? Pour un Gavroche entièrement altruiste, combien de fanatiques -fanatiques de la loi, fanatiques du sacrifice- ou d'égoïstes refusant de ne plus jouir? Ben oui, Hugo est subtil, c'est ce qui fait qu'il reste moderne et je parie qu'à ma prochaine lecture (dans 20 ans...) je ne changerai pas d'avis.
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3500 pages, un monument, des digressions qui m'ont lassé mais ont éveillé ma curiosité sur une période de l'histoire dont je n'avais qu'une idée confuse.

C'est aussi l'histoire de Marius et Cosette, une manière un peu dégoulinante de jouer avec les sentiments qui ne me plait pas trop mais permet d'étayer la thèse assez légitime d'un républicain convaincu, qui tente d'analyser avec seulement un demi siècle de recul les bienfaits de la révolution.

Mais qu'écrirait-il si il revenait maintenant? Écrirait-il encore : 'La France n'a besoin d'aucune Corse pour être grande. La France est grande parce qu'elle est la France.'



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Remerciements à Cannetille, qui m'a mis sur la piste des classiques !

L'horreur... quelle horreur ! Les dernières paroles de Kurtz, ancien de la CIA, ancien mercenaire, devenu fou. Un ultime moment de lucidité - il revit ce qu'il a vu, ce qu'il a fait, ce qu'ils on fait. Avant que la balle du tueur ne vienne solder les comptes et clarifier la situation tactique. La guerre du Viêt-Nam, façon Coppola.

La misère, c'est aussi cette horreur, glaucque, froide, noire, qui vient se coller à votre vie, s'y introduit, la vide, et vous transforme en quelque chose plutôt qu'en quelqu'un. L'horreur du vide, intérieur cette fois, ou la colère, l'envie, le honte viennent remplacer la générosité, l'amour, la vie même. le misérable, pour Hugo, c'est celui dont l'existence a, en son coeur, ce manque, cette rage, ce désespoir, ce hurlement. le pauvre n'est pas toujours misérable, ni le misérable pauvre !

Alors on essaye d'y échapper, à ce cauchemar. Javert, né dans le ruisseau, y échappe en se retournant contre ceux qui y sont restés : devenu policier, il combat la misère en éliminant les misérables, un à un, sans pitié, sans rage non plus, avec la méthode, la détermination de celui qui sait faire le bien. Spartiate, zélote, inquisiteur, il n'hésite jamais. Même pas quand c'est lui qui faute. Procureur jury et juge, il se suicide, par principe. Echec et mat.

Fantine, bonne fille, coeur aimant, est bousculée, abusée, avilie.. Elle tente de faire face, mais n'a pas les ressources pour garder la tête hors de l'eau. Elle sombre au milieu des vagues qui l'accablent.

Thénardier et sa nichée - il n'est plus question de famille à ce niveau de corruption - Thénardier n'essaye même pas. L'avons nous connu trop tard, a t-il jamais été humain? Nous ne le saurons pas. C'est l'état adulte de l'horreur. Il n'y a plus que rage, envie, colère - même plus de honte. Toute trace de dignité humaine a été expurgée. L'horreur - cette chose obscure, informe qui n'est qu'hurlement - règne en son sein.

Et puis Jean Valjean. Né pauvre, victime du sort, lui aussi a connu la déscente aux enfers. le bagne, pour vol d'une miche de pain. La voie était toute tracée. mais il a rencontré la bonté. Un homme, qui lui avait fait du bien, et qu'il avait pourtant volé, a répondu à ce vol en lui donnant une seconde chance : de quoi commencer une nouvelle vie. Et il l'a saisie ! D'apprenti misérable, Jean Valjean deviendra bienfaiteur, grâce aux rencontres, grâce aux autres, quelques autres...

Un roman de 1700 pages ! Une oeuvre politique, dont le message est clair : " de la lumière à flots . Aucune chauve-souris ne résiste à l'aube. Eclairez la société en dessous ! "(p.824). Un plaidoyer pour l'éducation nationale. La connaissance bannirait l'horreur. C'est un peu court, diron nous. Voilà bien l'optimisme exagéré d'une certaine époque. Mais le désir de perfection, restant insatisfait, ne doit pas mépriser ce qui tend vers un mieux. Comme Jean Valjean, acceuillons le bien que nous trouvons sur notre chemin, défendons le et essayons d'y ajouter un peu de nous.
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Très belle histoire!
Normalement le livre "Les Misérable" aurait dû s'intituler "Miserere" c'est dans une note dans le texte.
Ce qui m'a le plus étonné, c'est la culture générale de Victor Hugo, quand il mentionne la bataille de Waterloo, l'émeute de Paris en juin 1832 ou encore l'argot de l'époque (J'avais même noté quelque mots d'argot pour ma culture personnelle).
Jean Valjean est un personnage attachant, qui le devient grâce à Mgr Myriel, évêque de Digne (un véritable saint dans le roman) qui sauve Cosette d'un destin misérable, elle sera élevé par l'ancien bagnard Jean Valjean.
Elle rencontrera aussi Marius...N'oublions pas aussi Gavroche! Personnage qui est aussi inspiré de l'enfant figurant sur le tableau d'Eugène Delacroix La Liberté guidant le peuple. Et aussi cette chanson qui chante lors de la scène des barricades, là où il trouvera la mort... :
Joie est mon caractère,
C'est la faute à Voltaire,
Misère est mon trousseau,
C'est la faute à Rousseau.
Je suis tombé par terre,
C'est la faute à Voltaire,
Le nez dans le ruisseau,
C'est la faute à... [Rousseau]
C'est un de mes livres préféré je le compare un peu avec "Le comte de Monte Cristo" de Alexandre Dumas.


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Dans mon coeur, dans ma vie de lectrice, il y'aura un avant "Les misérables" et un après.
Ce roman est un éblouissement pour la beauté de sa prose et la force de ses idées.
Je connaissais Victor Hugo poète, grâce à ce roman je le découvre philosophe, humaniste grandiose.
Lisez "Les misérables" parce qu'il vous fera grandir, vous élèvera l'esprit par l'intelligence des mots et du propos, parce qu'il vous fera pleurer car l'émotion est immense et juste, parce qu'il vous enchantera par sa vision de l'amour: "L'amour c'est là l'unique extase. Tout le reste pleure. Aimer ou avoir aimé, cela suffit. Ne demandez rien ensuite. On n'a pas d'autres perles à trouver dans les plis ténébreux de la vie. Aimer est un accomplissement".
Et relire "Les misérables", pour les mêmes raisons, puis en trouver d'autres.
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Quel chef d'oeuvre ! Quel monument !
Difficile de donner un avis en quelques lignes par rapport à tout ce qui a déjà pu être écrit, commenté, analysé, disséqué sur ce roman.
A part souligner qu'il ne s'agit pas seulement d'un roman narrant l'histoire de Jean Valjean, Cosette, Javert, Marius, Gavroche, Thénardier, et tant d'autres personnages. Ce texte est également un livre d'histoire, une analyse sociologique, un texte philosophique et politique, un guide touristique du Paris des années 1830. Finalement ce qui est entré dans la culture commune, raconté dans des films, des comédies musicales, des dessins animés, n'est que la couche superficielle du roman, le fil narratif et tragique.
Certes, le style de Hugo semble parfois étrange et daté. Les envolées lyriques et larmoyantes peuvent faire sourire. Certes, la philosophie de Hugo, le positivisme, la foi dans l'éducation, la science, le progrès peut être entendue avec doute et un peu cynisme au vu de notre société et de l'histoire du monde et de l'humanité depuis la fin du XIX° siècle.
Néanmoins, il reste la description sociale de l'époque, les raisons des révoltes, des émeutes, qui ont un étrange écho avec la situation en France ces derniers mois.
Et puis la foi fondamentale en l'homme donne envie d'y croire encore et d'espérer.
Tout au long de ma lecture j'ai été également impressionné par le niveau de culture général des lecteurs de Hugo au moment de l'édition de ce roman. Les références à l'antiquité, à l'histoire, aux sciences, sont permanentes, les citations en latin pullulent et sans l'imposant appareil critique de l'édition La Pléiade je n'aurai pas apprécié autant ce magnifique texte.
Les Misérables fait partie des livres cultes, je l'inscrit dans mes Favoris et certainement l'un des livres à relire que j'emporterai dans une île déserte.
Chapeau bas Monsieur Hugo !
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Je l'avoue, j'ai lu cette version abrégée pour l'école en quatrième et non la "brique", comme l'appellent affectueusement les fans anglophones. Je ne suis pas sûre d'en avoir envie. Même si j'accorde à Victor Hugo que son oeuvre n'est comparable à nulle autre et que son talent est immense, cette version-là me suffit. J'admire les lecteurs du texte intégral, mais je me décourage devant la densité du livre. Rien qu'à l'idée de lire certains auteurs classiques, je crains les descriptions à rallonge, les tournures désuettes et le vocabulaire suranné. Voilà, c'est dit, Zola, Proust, Flaubert et consorts me font peur.

Une chose est sûre, j'aime cette histoire. J'éprouve une grande tendresse pour les personnages, et je les ai retrouvés avec plaisir dans la comédie musicale, qui est une de mes préférées bien qu'elle dénature un peu le roman, il faut bien l'admettre. Je garde de ma lecture un bon souvenir, mais le raccourcissement du texte y est probablement pour beaucoup.
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Cette oeuvre qu'on ne présente plus est un petit bijou.

J'ai tout de suite était prise dans le scénario de Victor Hugo. A travers ses personnages, il nous montre la nature humaine dans ces côtés les plus sombres mais également dans ce qu'elle a de plus délicat et de plus beau. Certains passages sur les guerres napoléoniennes m'ont un tantinet agacé par le fait qu'ils me coupaient de l'histoire centrale. Mais ces passages avaient également un intérêt sociologique et historique tout a fait pertinent.

Victor Hugo est définitivement un auteur que j'aime rencontrer au fil de mes lectures. Il a ce talent des belles phrases, celui de voir les multiples facettes de l'humanité.
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