Le bonheur n'a pas de rides

Rides de tristesses
Pauvre Paulette on ne peut pas dire qu'elle a rut une fin de vie heureuse, entre sa belle-fille, son fils l'auberge et sa maladie plus les problèmes de ses nouveaux amis. Ils vivent tous avec une épée de Damoclès sur la tête surtout Paulette, Nour, et monsieur Yvon
A aucun moment j'ai eu envie de rire en lisant cette histoire. Si je devais donner un titre a ce roman sa serai Une bien triste fin de vie. Après chacun est libre de voir le bonheur comme il le souhaite.

Encore un livre que j'ai vu passer bien des fois avant de l'ajouter à ma PAL et encore une fois, j'aurais dû m'abstenir.
Je me suis ennuyée ferme.
Le personnage de Paulette est froid et autoritaire. Je pensais qu'elle montrerai son côté mamie cool et drôle sur la suite, que nenni.
Les autres personnages semblent tous avoir des secrets et ça fait clairement trop et ils ne sont pas assez mis en avant dans un genre de fil rouge pour que ça soit intéressant. Lorsqu'on les découvre, on se dit tout ça pour ça !
Le bonheur n'a pas une ride et je ne m'en serais pas fait une en riant. Peut-être une, à force d'essayer de comprendre pourquoi l'engouement pour ce roman n'a pas pris sur moi ?
A noter l'allusion à "La femme du boulanger" où le chat Pompon est remplacé ici par le hérisson Séverin, dans la scène où Nour fini par rentrer à l'auberge.
Mon chemin se termine ici avec cette auteure et je lui souhaite bonne route.

une histoire qui vous rends plus triste que joyeux Si pour certains le bonheur c'est ça tend mieux pour eux un livre a fuir

J'en ai abordé la lecture pour un éventuel achat destiné à la bibliothèque d'un EHPAD.
Le roman commence comme le film "Tatie Danielle", une grand-mère roublarde et cynique. On s'attend alors à un roman drolatique qui devrait réjouir les résidents.
Mais rapidement tout se dilue dans des intrigues secondaires et des épisodes sans relief. J'ai tenu jusqu'à la page 300 par acquis de conscience, et le désintérêt a été le plus fort...
Ce ne sera pas un achat pour cette bibliothèque de l'EHPAD !

Dans ce style de feel-good, j'apprécie davantage les romans de Virginie Grimaldi.
Pour celui-ci, j'ai eu du mal à me laisser porter par cette mamie parfois redoutable, dure, manipulatrice et très souvent touchante, drôle et attachante.
Certains personnages sont un peu caricaturaux à mon goût, notamment la belle-mère, qui a tous les attributs de la méchante et hypocrite marâtre moderne.
De même, à mon goût, certains événements sont un peu trop attendus ou trop tirés par les cheveux, pour paraître réels.
Ce sont ces deux aspects qui m'ont empêchés d'apprécier davantage le roman de Anne-Gaëlle HUGON.

Je decouvre cette auteure grâce à ce roman. J'avoue que je n'ai pas été transportée par cette lecture. J'ai l'impression de relire toujours un peu la même chose quand il s'agit de raconter l'envie de rébellion des personnes âgées. Mais je souhaite souligner la sincérité de @annegaelle_huon que l'on ressent tout le long de ce livre. On sent qu'elle aime ses personnages. Une tendresse est palpable dans son style.

Pour ma part sans grand intérêt.