Bien écrite, et certainement bien traduite, cette autobiographie est irritante. En premier lieu car l'écrivain, qui ne parle que de lui, emploie la troisième personne du singulier. Ensuite, car sur le fond, il n'y a rien de bien passionnant, d'extraordinaire et encore moins de considérations philosophiques ou existentielles. La première partie parle de l'enfance jusqu'à treize ans, où il faut savoir par coeur le Coran. Quel intérêt? Il semble qu'
André Gide et l'auteur se soient servis la soupe. L'un traduisant l'autre en arabe et l'autre encensant l'un dans les milieux français." Just business" !
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