...
aux stèles précaires
soient la mémoire le vent
la branche le signe
le passage
http://wp.me/p5DYAB-1hy
il demeure le souffle
même qui a cessé
http://wp.me/p5DYAB-2v8
(en tableau)
c’est chercher encore
l’évidence claire
de ce qui se tait
il n’y a pas d’aube sans
ce qui creuse la nuit crie
et finit par consteller
ce qui sans cela est vide
vois cet amont désert
plus rien ne sourd
si ce n’est la ténèbre
d’où tu reviens