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Trilogie des Ombres (Indridason) tome 2 sur 4
EAN : 978B078GV9ZFC
Audiolib (17/01/2018)
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3.7/5   454 notes
Résumé :
Une jeune femme attend son fiancé à Petsamo, une ville tout au nord de la Finlande. Tous deux doivent rentrer en Islande sur le paquebot Esja pour fuir la guerre qui vient d’éclater dans les pays nordiques, mais le jeune homme n’arrive pas.
Au printemps 1943, dans une Islande occupée par les troupes alliées, la découverte d’un corps rejeté par la mer sème l’émoi à Reykjavík. Au même moment, un jeune homme est victime d’une agression d’une sauvagerie inouïe no... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (89) Voir plus Ajouter une critique
3,7

sur 454 notes
Printemps 1943, les troupes alliées déployées en Islande, sur une île encore préservée des folies du monde moderne, loin des fureurs de la seconde guerre mondiale, profitent de leur isolement pour prendre du bon temps.
Les islandais, eux, vivent bon gré mal gré « la situation ».

En hiver 1942, ceux vivant en Europe du nord pour diverses raisons (travail, formation universitaire, santé ...) sont évacués par un convoi exceptionnel de Petsamo en Norvège à Reykjavik (via Trondheim et les Orcades) . Ce rapatriement est le résultat de l'invasion du Danemark par l'Allemagne nazie : si le régime du Troisième Reich tolère ce projet, reconnaissant ainsi la neutralité de l'Islande il n'en surveille pas moins le trajet.
De retour au pays à bord du paquebot Esja, ils vont découvrir de nouvelles donnes et vont devoir s'adapter à « la situation », aux changements irrémédiables qu'elle entraîne.

A Reykjavik, le commissariat de Posthustraeti ne désemplit pas, les troubles sur la voie publique, les affaires de moeurs, accrochages entres autochtones et soldats imbibés sont de plus en plus fréquents …
Notre binôme, formé de Flovent , la recrue locale et de Thorson, le canadien, va être mis à rude épreuve. La mort d'une victime décédée suite à une agression sauvage et, la découverte d'un noyé vont leur permettre d'affiner leur coopération. Si les deux années passées depuis Dans l'ombre ont amélioré leur complicité elles ne les ont pas encore assez aguerris aux méthodes d'investigation, parfois maladroits c'est surtout sur leur ténacité qu'il va falloir compter. Mais Baldur le médecin légiste leur apportera une aide précieuse.

Indrindason en explorant cette période mouvementée continue de nous immerger avec La femme de l'ombre dans une Islande occupée par les Alliés, et la confrontation de ces deux cultures qui apportent son lot de changement des mentalités. le lecteur assiste au développement d'activités lucratives propre à ces périodes troubles.

Le décor principal, une zone de no man's land avec son pré, le pré de Klambatrun, coincé entre le quartier pauvre des Polarnir et les baraquements militaires, le choc de deux univers où se retrouvent
en soirée, gens du pays et militaires et, où pullulent les gargotes dont la plus prisée est celle du Picadilly, rebaptisée par les américains le Pick-a-Dolly… tout un programme !

Dans ce deuxième volet de la trilogie des ombres, Arnaldur Indridason nous a fignolé une intrigue où l'apparente complexité temporelle permet de laisser mariner le lecteur dans un flou maîtrisé qui lui permet d'en apprécier tous les ressorts . Rempli d'anecdotes (bière made in iceland réservé aux alliés, …) , de clins d'oeil à la culture et l'histoire islandaise (nous croisons de célèbres poètes, le nom donné au paquebot, l'Esja), il nous sert un récit foisonnant, aux multiples rebondissements, agrémenté d'une palette de portraits de personnages, pris dans les affres et les échos de la Seconde guerre mondiale, les tourments de la vie et leur lot de conflits relationnels (conjugaux, amoureux).

Avec sensibilité et finesse , il traduit toute les couleurs des sentiments et des comportements que la population islandaise a pu adopté ainsi que celle des américains durant la situation.
Un voyage au coeur d'un épisode complexe de l'Histoire islandaise qui nous familiarise avec le quotidien de ses habitants.

Prête pour le passage des ombres, le dernier volet de la trilogie.
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Mon avis ne risque pas de changer, j'adore tout autant Indridason après la lecture de ce second opus de la trilogie des Ombres . D'abord , il y a toujours ce contexte de guerre contre les nazis qui nous replonge , si besoin était, dans cette période trouble et particulièrement anxiogène. Il y a ensuite tous ces hommes et toutes ces femmes dont les comportements relèvent parfois de la plus pure sauvagerie pour faire triompher des idées plus que violentes et inhumaines . Egalement en arriére et même en premier plan , les difficiles relations entre civils et militaires , avec les excès malheureusement souvent liés à la véritable nature des uns et des autres .Dans ce roman , la " parité hommes - femmes" semble bien respectée même s'il faut bien reconnaître que les comportements masculins les plus vils appellent des " réponses " adaptées, ce dont certaines dames ne se privent pas. Indridason sait donner corps à des intrigues sombres , il excelle dans l'art de détourner l'attention du lecteur , de lancer des " tests " , voire des fausses pistes plutôt intelligentes , il sait aussi parfaitement " adoucir " certaines situations ...difficiles . le récit ne manque pas d'alternance entre lenteur et accélération des faits et des dialogues subtils viennent illustrer à bon escient le récit pour le faire progresser .
Enfin , on retrouvera avec plaisir les deux enquêteurs Flovent et Thorson . Depuis leurs premières interventions , ils ont " pris de l'épaisseur " , du " coffre " , sont encore plus complémentaires et complices et , pour moi , de plus en plus sympathiques et ...téméraires car les coups " pleuvent " et leur vie est parfois en danger ...
Cette ambiance historique nous montre combien la guerre impacte durement les êtres humains au point de les " transformer " . La guerre avec des drames , des horreurs et de nouveaux " modes de justice " . Une guerre qui tolére beaucoup , au grand détriment des plus fragiles , souvent.
Un roman qui , je l'assume ( je sais que certains amis et amis ne seront pas du même avis et ils ont leurs légitimes arguments ) , ne pourra que m'inciter à lire le troisième tome de cette trilogie . de toute façon, il est bien en place dans ma PAL mais ...devra encore patienter un peu : le père Noël est passé ! Et une deuxième PAL vient de se constituer ....Toujours très sympa le père Noël...Et puis , la Covid est toujours là, le week-end s'annonce morose quant à la météo...Oui , mais seulement pour la météo, Parce que, pour la lecture....
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Je continue mon avancée dans la Trilogie des ombres. le premier tome ne m'avait pas entièrement convaincue, il en est de même pour le second pour lequel j'ai à peu près les mêmes reproches mais en l'ayant quand même préféré un chouia plus.

Les événements se déroulent deux ans après, en 1943, toujours à Reykjavík sous l'Occupation alliée. Deux meurtres ont été commis dont celui d'un soldat, ce qui amènera Flovent et Thorson à enquêter de nouveau ensemble.

Deux meurtres, donc deux enquêtes en parallèle qui surchargent Flovent de travail puisqu'il y est assigné aux deux. Mais s'il est tout seul pour la première, il bénéficie de l'aide de Thorson pour la seconde. Nous avons donc d'un côté la mort maquillée en suicide d'un homme retrouvé noyé, et de l'autre le meurtre d'un soldat homosexuel roué de coups. Et à côté de ces deux enquêtes, nous suivons également une jeune femme qui rentre au pays, seule, son fiancé ayant été arrêté par la Gestapo peu avant leur départ.

Le suspense est plutôt bien maintenu durant toute la première moitié du livre, il s'essouffle petit à petit après puisqu'on en comprend presque tous les aboutissants au fil des enquêtes. On se demande tout du long comment les deux affaires se rejoindront, et pour cause elles ne se rejoignent pas... En revanche, on a tôt fait de deviner qui est la jeune femme, une fois qu'on a compris que son histoire ne se déroule pas en même temps que les enquêtes de Flovent, donc assez vite en fait. Il y a quelques surprises tout au long de la lecture, maintenant notre intérêt de lecteur, mais sans pour autant nous tenir en haleine non plus.

On retrouve également des personnages insignifiants, fades. le duo Flovent/Thorson n'a que peu de saveur, parce que pas assez exploité à mon goût. Les dialogues répétitifs sont peu naturels, les personnages trop souvent récalcitrants et agressifs deviennent lassants.

Mêmes défauts que le premier tome donc et mêmes qualités aussi : un contexte historique islandais sous l'Occupation américaine et son atmosphère bien dépeints et prenants ; des intrigues intéressantes, touchant à des sujets tout aussi intéressants (relations entre militaires américains et population islandaise, homosexualité dans l'armée, nazisme et collaboration avec les Allemands, prostitution et pauvreté, adultère et vengeance). La lecture se veut dynamique, grâce à une plume qui sans être exceptionnelle n'est pas désagréable non plus, grâce aux chapitres courts et à l'alternance des points de vue.

Donc voilà, même ressenti que précédemment avec une légère préférence pour celui-ci parce que peut-être légèrement moins redondant. Mais j'attendais bien mieux. Je n'attends donc plus rien du troisième...
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Deuxième volet de la trilogie ombrageuse islandaise « Lu en audio ». On comprend que les points communs de celle-ci sont géographiques : l'Islande, temporels : la seconde guerre mondiale et policiers : on retrouve nos deux enquêteurs Flovent et Thornson qui tentent de résoudre simultanément trois crimes : le meurtre d'un voyageur de commerce, l'agression sauvage d'un jeune homme et la disparition d'une femme physiquement proche des militaires alliés qui occupent quasiment l'île.
C'est beaucoup pour un seul opus mais il n'y a pas trop de difficulté à démêler l'écheveau des enquêtes qui, bien sûr, s'imbriquent et éclairent chacune la scène de crime d'un éclairage particulier. C'est l'intérêt principal de ce polar qui réside avant tout dans l'arrière-plan historique et la description peu amène de l'Islande et d'une bonne partie des troupes que je qualifierais d'occupation si l'on considère le mépris, que dis-je le racisme dont font preuve les tommies et les GI's envers les insulaires dans cette trilogie.
On s'habitue aux deux enquêteurs qui n'ont rien d'exceptionnel si ce n'est qu'ils font leur travail méticuleusement et qu'ils ont toujours la chance de mener des interrogatoires avec des gens qui refusent de parler mais qui finissent toujours par le faire en disant qu'ils ne le feront pas.
C'est le point faible trop visible de ces romans, même si c'est moins marqué dans ce volume que dans le précédent, peut-être parce que les protagonistes de celui-ci sont moins germanophiles donc bénéficient d'un meilleur traitement par l'auteur. Il n'en demeure pas moins que A. Indridason a du mal avec certaines séquences dialoguées et que cela nuit au jugement global de ce polar thriller.
Mais soyons justes, celui-ci est de bien meilleure facture que le précédent et se laisse écouter sans déplaisir.
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Présentation de l'éditeur :
Une jeune femme attend son fiancé à Petsamo, une ville tout au nord de la Finlande. Tous deux doivent rentrer en Islande sur le paquebot Esja pour fuir la guerre qui vient d'éclater dans les pays nordiques, mais le jeune homme n'arrive pas.

Au printemps 1943, dans une Islande occupée par les troupes alliées, la découverte d'un corps rejeté par la mer sème l'émoi à Reykjavík.

Au même moment, un jeune homme est victime d'une agression d'une sauvagerie inouïe non loin d'un bar à soldats, et une femme qui fréquente avec assiduité les militaires disparaît brusquement.

Les jeunes enquêteurs Flovent et Thorson suivent des pistes contradictoires et dangereuses : officiers corrompus, Gestapo, vulgaires voyous...

A mon avis :

Non, non et non ! Trop c'est trop !

Pour ceux qui ont eu l'occasion de lire mon avis sur le premier volet de cette série (Dans l'ombre), je m'interrogeais sur le manifeste manque de dynamisme de l'écriture d'Arnaldur Indridason et sur l'utilité des circonvolutions littéraires avant d'en arriver à l'essentiel.

J'envisageais alors de persévérer en abordant la lecture du deuxième volet, histoire de ne pas passer à côté d'une série brillante telle qu'elle est souvent présentée dans nombre de critiques.

Quel consternation de constater que l'on retrouve dans ce roman policier, les mêmes travers que dans le premier : lenteur de l'action, fausses pistes suivies jusqu'au bout sans intérêt, événements étrangers à l'action sur lesquels l'auteur s'arrête sans raison (enfin, au moins ça remplit la page...), faux suspense (dès les premières pages, il y décrit un jeune homme sans le nommer pendant des pages, comme s'il s'agissait d'un secret à ne pas dévoiler et que cela participait de l'intrigue, alors qu'au final son nom est donné plus tard, sans enjeu aucun... à quoi cela a-t-il servit, si ce n'est à rendre le récit plus confus ?).

Bref, d'agacement en agacement, on finit par ne plus supporter ces flics militaires mous comme des chiffes, ces noms à coucher dehors (mais qui peut bien s'appeler Ingimar ou Osvaldur plus de 5 minutes en vrai ?), ces gens qui passent des pages à attendre qu'il se passe quelque chose. Bref, j'exagère (à peine) mais on finit par ne plus avoir de patience pour rien et on s'ennuie à mourir.

Deux étoiles ? Franchement, je ne suis pas sûr que ça en vaille autant...


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critiques presse (2)
Actualitte
02 avril 2021
Bref, je ne vous ai rien dit et vous ne saurez rien de plus mais plongez dans ce tome 2 de cette Trilogie : l'intrigue devrait combler même les plus accros du genre.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Actualitte
05 décembre 2017
Une fois encore, le lecteur s’enthousiasme. Et si le suspense, peut-être moins intense ici, ne motive pas fondamentalement la lecture, il se déploie dans une atmosphère socio-historique surprenante.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Une douce odeur de malt, de houblon et de fermentation flottait dans la brasserie installée àThorshusin, un groupe de bâtiments situé rue Raudararstigur qui avait autrefois hébergé une usine de boissons gazeuses fabriquant divers types de sodas. L'entreprise avait déménagé depuis longtemps, mais les lieux avaient été remis en fonction. Les autorités locales avaient en effet accordé une dérogation aux troupes britanniques qui, fatiguées de boire du brennivin islandais, avaient exigé de pouvoir acheter de la bière comme tout le monde. Les Britanniques n'avaient pas imaginé que la fabrication et la consommation de bière puissent être strictement interdite sur l'île qu'ils venaient défendre. Ils ne comprenaient pas pourquoi les Islandais avaient le droit de se soûler avec cet infâme brennivin jusqu'à tomber ivres morts et provoquer des tas de problèmes alors qu'on leur interdisait cette boisson légèrement alcoolisée qui procurait une douce ivresse.Apparemment, le Conseil de prévention de l'alcoolisme et les ligues de tempérance à l'origine de cette ineptie étaient un peu trop influents au sein du gouvernement. Les dirigeants s'étaient montrés compréhensifs et, même s'ils trouvaient que le brennivin convenait très bien aux soldats, ils avaient accepté qu'on fabrique de la bière dont la vente était exclusivement réservée aux troupes.
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Ses collègues étant en service, Thorson mit à profit ce moment de solitude pour se préparer un skyr à la crème et relire une fois encore quelques poèmes de Fagra Veröld, La beauté du monde, le recueil de Tomas Gudmundsson. Il fréquentait la bibliothèque municipale où il avait aperçu l'écrivain plongé dans les livres. Il connaissait également de vue Thorbegur Thordarson pour l'avoir croisé en ville. Un jour qu'il était chez le coiffeur, Halldor Laxness était entré dans le salon. Thorson savait que les Islandais avaient toujours été une nation de littéraires, mais il avait très peu lu dans cette langue quand il vivait au Canada. Il s'employait à combler son ignorance en empruntant ces livres. Il appréciait particulièrement la poésie islandaise, écrite dans une langue limpide et porteuse de messages qui lui parlaient intimement.
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— J’essaie de ne pas trop m’inquiéter. Un jour la mort viendra, c’est comme ça.
— C’est un point de vue qui se défend.
— Mieux vaut ne pas s’en soucier tant qu’elle ne frappe pas à la porte…

(Metaillé, p. 284)
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Les autocars arrivaient les uns derrière les autres et descendaient jusqu'au port, légèrement à l'écart de la ville. La plupart des passagers avaient fait un long voyage. Partis du Danemark, ils avaient rejoint la Suède en bateau avant de la traverser pour atteindre la frontière finlandaise. Sur la dernière portion du trajet jusqu'à Petsamo, les véhicules avaient emprunté des routes défoncées, traversant les territoires où les Russes et les Finlandais s'étaient affrontés. Partout, on ne voyait que destruction, maisons éventrées et cratères d'obus dans les champs...

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-Vous connaissiez Manfred ? s'enquit Flovent
-oui
- et vous aviez une liaison avec lui ?
- Une liaison répéta-t'-elle absente, concentrée sur les chants des oiseaux qui emplissaient le jardin. Je ne sais vraiment pas comment appeler cela.
Elle garda le silence un long moment.
- Je pense souvent à Petsamo finit t-elle par dire enfin consciente de l'impatience du policier.
je pense à ce moment où j'ai été envahie par le sentiment terrible que je ne le reverrais peut-être jamais, que je ne pourrais lui dire la vérité et lui demander pardon. Oui, je pense souvent à Petsamo. J'ai l'impression que je suis encore là bas. Voyez vous, il faut que vous sachiez ....Osvaldur était en réalité le seul amour de ma vie....
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Extrait du livre audio « le Roi et l'Horloger » d'Arnaldur Indridason, traduit par Éric Boury, lu par Jérémy Bardeau. Parution numérique le 15 mars et CD le 12 avril 2023.
https://www.audiolib.fr/livre/le-roi-et-lhorloger-9791035413408/
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