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3,56

sur 448 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Première lecture de cet auteur. Troisième roman de cette série. Pas l'idéal semble t-il pour commencer mais comme je n'ai pas été gêné par ce qui s'est passé avant, mon ennuie pour cette lecture ne vient pas de là.

Plusieurs choses m'ont dérangées :
- Déjà, j'ai du mal avec les auteurs venant du froid notamment parce qu'ils utilisent des prénoms où il faut déterminer si c'est un prénom ou le nom d'une ville ! Et lorsque l'on sait que c'est un prénom, s'il est féminin ou masculin (et je ne parle pas, heureusement, du non genré !!!).
- Ensuite, c'est bien souvent des polars noirs, pas ce que je préfère.
- Tertio, ils sont assez tordus dans leur démarche d'enquête et là, c'est le pompon !
Pour résumer, une femme, Valborg c'est son prénom pas le nom de la ville 😜, demande à un flic en retraite de retrouver son enfant qu'elle a abandonné à la naissance, sans même connaître son sexe. Il refuse. Elle meurt assassinée. Il se met à enquêter sur l'enfant pendant que sa collègue en exercice enquête sur le meurtre. Et dans le même temps, il enquête aussi sur le meurtrier de son propre père, un escroc, qu'il ne porte pas dans son coeur et qui est mort avant qu'il ne rentre dans la police !
Un rapide le type !
On est bien loin de mon cher Hercule Poirot.

L'histoire est très lente en plus. Il y a beaucoup de personnages. Plusieurs narrateurs. On bascule sans arrêt du passé au présent. Et le tout, sans notification en début de chapitre.
La fin est, pour ma part, très décevante et appelle à une suite sur une partie de l'histoire.
Donc, ça sera sans moi, vous l'aurez deviné, et l'auteur continuera son bonhomme de chemin sans aucun remord de ma part.
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Je découvre Arnaldur Indridason avec ce roman et ce n'était peut-être pas une bonne idée. Sûrement même...
Déjà ce n'est pas le premier tome où apparaît l'inspecteur à la retraite Konrad, pas le meilleur moyen de faire sa rencontre.
J'ai eu beaucoup de mal à aller au bout de cette lecture car je n'ai pas vraiment réussi à rentrer dans l'enquête, ou plutôt les enquêtes car plusieurs intrigues et périodes se partagent la même trame.
Le rythme est très lent, les personnages également, l'enquête n'avance qu'uniquement grâce au plus grand des hasards (il paraît que, on m'a dit que, le voisin de la nièce du coiffeur a dit que) et c'est lassant.
Tout ce que je garde de cette lecture est une impression de grisaille et des interrogations toujours en suspens.
Je ne m'avoue pas vaincue pour autant et suis bien décidée à retenter une rencontre, mais avec Erlendur cette fois, cette série ayant énormément de bons retours.

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Une enquête banale sur le meurtre de Valvorg où Konrad interroge des témoins qui mènent à d'autres témoins, jusqu'au coupable. Avec une coïncidence totalement improbable à la fin. En parallèle Indridason ressort l'histoire du meurtre du père de Konrad. Comme il l'avait déjà exposé dans un roman précédent, je pensais connaître le fin mot de l'histoire.... mais toujours pas !!! Quelle frustration de lire une histoire qui nous rabâche la situation sans même donner d'explication à la fin ! Un livre qui sera vite oublié et qui fait durer le suspense pour qu'on achète le suivant : et bien je me fiche de qui a tué son père, et je ne lirai pas le prochain Nah !!!
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Décevant.
C'est le premier Indridason qui me laisse sur ma faim : multiplication des personnages secondaires, retour en arrière non justifiés, un travail d'enquête et un dénouement sur de seuls soupçons, une absence totale de suspense...
On est loin des premiers Indridason.
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Pas du tout emballé par cet opus d'Indridason, où l'on découvre Konrad, un flic à la retraite, et une -peut-être- nouvelle héroïne, Martha, chef de service, qui fume comme un pompier.
Si j'ai vraiment beaucoup aimé la série consacrée à son héros récurrent, Erlendur, la Trilogie des Ombres et cette "Pierre du remords" sont vraiment en-dessous du lot.
Tant dans la consistance de l'histoire, que de l'intérêt à lui porter, que du scénario, et peut-être la traduction y est-elle également pour quelque chose.
On démarre avec l'assassinat de Valborg (une dame d'un certain âge), on découvre son passé, et surtout qu'elle avait contacté Konrad, pour qu'il retrouve son fils, abandonné à la naissance. Plus de trois cents pages dans lesquelles l'auteur nous trimballe de personnage en personnage, ( à la longue c'est fatigant, on a l'impression que c'est sans fin) sous fond de spiritisme, charlatanisme et d'escroqueries en la matière, un Konrad dont le père - mêlé à ces escroqueries- était un flic pas très fréquentable et qui est mort assassiné. (occasionnel, son ex-femme, une embrouille? on n'aura pas la réponse).
Je n'ai pas vibré dans ma lecture, et la platitude de l'écriture (ou peut-être de la traduction), y est pour beaucoup.
Plat peut-être comme mon petit commentaire, dans lequel je reconnais ne pas être très inspiré...
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Lourd. c'est l'ami d'un ami d'un ami qui m'a dit qu'il connaissait un boulanger qui connaissait une infirmière qui.....c'est du n'importe quoi, de limprobable du lourd, lassant, inintéressant, oui j'arrête car comment peut-on proposer ce genre de livre ?
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Comme une cruche j'ai commencé par le 3e tome et j'ai préféré continuer et poursuivre avec les autres plus tard. C'est probablement pour cette raison que j'ai ressenti aussi peu d'empathie pour Konrad qui est le schéma typique du flic islandais ; un vieux con harceleur qui obtient gain de cause. Les autres PdV n'amènent rien de très concret au récit, si ce n'est qu'une vague empathie et des liens tirés par les cheveux. L'histoire en elle-même n'a pas réussie à suffisamment m'émouvoir pour que j'augmente la note.
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Un peu déçue par ce roman. L'histoire ou les histoires sont emberlificotées. Je peine à suivre le fil. Trop de personnages, trop d'anecdotes. C'est confus. La traduction laisse à désirer. J'apprécie la littérature islandaise généralement. Pourquoi l'auteur se complaît-il dans ces descriptions sinistres, sans jamais insérer dans son livre des moments de joie.? Il me reste quelque 50 pages à lire. Vivement la fin…
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