pas franchement gai, comme bouquin. J'y retrouve plein de ressemblances avec le dernier scandinave lu, publié en jeunesse aussi, "sur la touche" : il y a le thème de la maladie et de la mort, là il s'agit aussi d'une histoire d'amitié avec Simon, le voisin du narrateur; mais dans "sur la touche" le père a un accident de travail et se retrouve paralysé, là c'est la mère qui a un cancer et qui finit par mourir (enfin, je crois, la fin est un peu pourrie, il n'y a pas vraiment de chute)
Autre point négatif, la traduction, qui comporte pas mal d'erreurs (emploi des déterminants par exemple!) donc je suppose qu'il y a d'autres erreurs de traductions que je n'ai pas vues, dans un sens moins syntaxique et plus littéral?
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C'est un livre très bien, très marrant. Sa mère se trouve malade et doit alors aller à l' hôpital. Deux amis inséparables se lancent un défi : Bjornar doit monté sur un poteau (d'où vient le titre) mais ce défi ne sera pas sans conséquences...
TITOU2
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C'est un livre très bien, très marrant. Sa mère se trouve malade et doit alors aller à l' hôpital. Deux amis inséparables se lancent un défi : Bjornar doit monté sur un poteau (d'où vient le titre) mais ce défi ne sera pas sans conséquences...
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Lecture jeune, n°119 - A l’âge de onze ans, Bjornar vit au cours de la même année deux évènements tragiques qui vont bouleverser son existence : la maladie incurable de sa mère et la séparation d’avec son meilleur ami. Avec Simon, il passe des moments merveilleux à construire une cabane ou à faire les quatre cents coups. Une bêtise plus grave que les autres, l’escalade d’un poteau électrique qui tourne à la catastrophe, leur vaudra d’être définitivement éloignés l’un de l’autre. Deux mondes coexistent : le merveilleux et la cruelle réalité. Bjornar opte pour le premier. Refusant de voir que le cancer de sa mère évolue irrémédiablement, il se prend de compassion pour les petits qu’il côtoie à l’hôpital, venus comme lui au chevet de leur maman. Ecrit à la première personne, le récit restitue la naïveté et le déni de la mort. Si l’âge du héros et sa psychologie destinent davantage ce roman à un lectorat préadolescent, on peut néanmoins le proposer à des « lecteurs en panne » qu’il saura séduire par la simplicité de lecture et les thèmes abordés. Le procédé de flash-back accentue judicieusement le passage de l’enfance à la maturité et à l’adolescence. ? Cécile Robin-Lapeyre
Lire la critique sur le site : Lecturejeune