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Vagabond tome 1 sur 37
EAN : 9782845800670
320 pages
Tonkam (01/01/2002)
3.93/5   167 notes
Résumé :
Japon, an 1600. La terrible bataille de Sékighara vient de s'achever. Tout n'est plus que ruine et désolation. Takezo Shinmen et son ami Matahachi Hon'iden s'en sont tout de même sortis indemnes. C'est un heureux hasard pour ces deux jeunes gens, tout droit sortis de leur campagne natale. Reste maintenant à survivre aux embûches mortelles qui ne vont pas tarder à se dresser devant eux en ces temps troublés. L'aide d'une femme troublante et de son énigmatique fille s... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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Il s'agit du premier tome d'une série indépendante de toute autre, et au long cours (37 tomes au début 2015). Elle est écrite, dessinée et encrée par Takehiko Inoué. Il s'agit d'un manga en noir & blanc, dans une édition avec un sens de lecture à la japonaise, de droite à gauche. Elle est prépubliée dans le magazine "Weekly morning" depuis 1998.

L'histoire débute juste après la bataille de Sékigahara (20 et 21 octobre 1600) qui marque la fin de l'époque Sengoku et le début de l'époque d'Edo. Sur le champ de bataille, 2 jeunes hommes (17 ans) recouvrent leur esprit, se relèvent et s'éloignent, en essayant d'échapper aux soldats qui patrouillent pour repérer les fuyards. Il s'agit de Takezo Shinmen (qui prendra plus tard le nom de Miyamoto Musashi) et Matahachi Hon'Iden (qui usurpera plus tard le nom de Kojiro Sasaki).

En essayant de regagner leur village, ils sont attaqués par des soldats qu'ils tuent avec force. Blessés eux-mêmes, ils sont recueillis par Oko (une femme) et Akemi, sa fille adoptive (15 ans). Ils passent quelques jours dans leur maison, en profitant de leur hospitalité. Puis Takezo Shinmen décide de rentrer dans son village.

Un lecteur non averti se demande bien dans quel genre de manga il est tombé. le dessin est de nature réaliste, très détaillé, parfois un peu chargé. Les personnages ne sont pas particulièrement sympathiques. Takezo et Matahachi se battent comme des adolescents enragés, sans rien craindre et sans égards pour leurs opposants. Les sabres tranchent, le sang gicle. Ce n'est pas gore, mais c'est violent, brutal et soudain. L'histoire avec Oko et Akemi ne va nulle part. le retour au village est déconcertant. On ne sait pas très bien pourquoi les soldats mettent un tel acharnement à poursuivre Takezo Shinmen. Les moments plus calmes sont très délassants, avec une attention particulière portée à la nature (par exemple, une très belle case d'un regard s'attardant sur un écureuil).

Pour pouvoir apprécier ce récit, il vaut mieux savoir de quoi il retourne. Takehiko Inoué adapte un roman très célèbre au Japon comprenant 2 tomes : La pierre et le sabre & La parfaite lumière d'Eiji Yoshikawa datant de 1935. Ce roman raconte la vie de Miyamoto Musashi, samourai, auteur du Traité des cinq roues - Gorin-no-sho. Il faut donc avoir conscience qu'il s'agit du premier tome d'une longue adaptation d'un roman lui-même conséquent en termes de pagination, et ayant accédé au rang d'oeuvre de référence.

Il vaut mieux savoir également avant de commencer sa lecture que Takezo Shinmen est le nom initial du futur Miyamoto Musashi. Ainsi averti, le lecteur peut alors mieux apprécier le récit. Il sait qu'il ne s'agit que du début d'une longue geste suivant Takezo au fil des années, dans son long apprentissage, dans son cheminement intérieur. L'enjeu pour l'auteur est de donner sa version, son interprétation du roman. Il lui faut commencer par présenter les personnages, et les caractéristiques principales de leur personnalité, ainsi que leur environnement.

Dès le départ, Takehiko Inoué se repose sur les connaissances préalables du lecteur, des évidences culturelles pour un japonais (pour un européen, un peu moins). En particulier, il faut avoir une vague idée de ce que fut la bataille de Sékigahara et de ce qu'elle représente (un petit détour par une encyclopédie en ligne fournit les informations nécessaires). Pour le reste, l'auteur fournit les informations nécessaires au fur et à mesure du récit, au compte-goutte. Il est donc difficile de se faire une idée des personnages principaux en si peu de pages (près de 300 pages quand même, tout est relatif) et il faut avoir à l'esprit qu'il ne s'agit que du tout début du récit.

Pour autant, la narration est fluide et permet d'assimiler les informations progressivement en ce qui concerne les personnages : de Takezo Shinmen à Tenma Tjusikazé, en passant par la grand-mère Osugi Hon'Iden, sans oublier la jeune Otsu. Par contre le lecteur qui ne connaît par "La pierre et le sabre" n'a pas d'indication sur ce qu'il doit retenir ou non.

Dès la première page, le lecteur est saisi par la puissance d'évocation des images. Tazeko reprend connaissance sur le champ de bataille, sous la pluie, alors qu'une troupe de cavaliers foncent droit sur l'endroit où il git. La sensation est saisissante, l'empathie est totale envers ce jeune qui manque de se faire piétiner par des cavaliers qu'il ne peut pas voir. Il s'en suit une scène plus calme permettant d'apprécier l'herbe et les arbres. Puis un soldat arrive et c'est un carnage d'une sauvagerie indicible où le sang gicle des plaies béantes. L'encre noire figure admirablement bien la pression artérielle et la viscosité du sang. L'armure du soldat est d'une authenticité sans faille.

Tout au long de ce premier tome, le lecteur est placé à côté des personnages, dans leur environnement représenté de manière détaillée et vivante, dans une reconstitution historique de qualité. Il fait la connaissance de personnages à la personnalité plus ou moins affirmée, et il détecte déjà les bizarreries qui éloignent Takezo et Matahachi de héros traditionnels, la sauvagerie pour l'un, une propension à l'imposture pour l'autre. Dès ce début, le lecteur constate que le récit s'élève au-dessus d'un simple roman d'aventure, ou d'une dichotomie opposant le bien au mal, les gentils aux méchants.

Pour un lecteur qui découvre Miyamoto Musashi avec ce manga, il est possible qu'il soit déconcerté par le manque de repères narratifs évidents, tels que l'objectif des personnages, ou une dynamique basique. Il lui faut accorder sa confiance à l'auteur (et à la cohérence du roman), en essayant de déterminer ce qui dans cette suite chronologique de scènes doit être retenu pour la suite, et ce qui n'est que péripétie passagère. Il est alors difficile de hiérarchiser les informations, faute de connaître la suite.

Pour un lecteur ayant lu "La pierre et le sabre", il prend plaisir à découvrir cette interprétation qui refuse la facilité et qui contient déjà les germes des valeurs et des thèmes qui seront développés par la suite. La sauvagerie des affrontements n'a rien de gratuite, et la férocité de Takezo ne relève pas d'un artifice narratif facile. La volumineuse pagination permet à l'auteur de donner vie à chaque personnage, chaque endroit, de poser chaque situation au rythme voulu.

Dans les 2 cas, le lecteur plonge dans une évocation historique très réussie, découvre des personnages bien campés, et suit les tribulations brutales de Takezo Shinmen avec curiosité. Il peut penser que ce dernier deviendra un grand samouraï redoutable au combat du fait de sa férocité. En fait, ce voyage qui vient à peine de commencer relève d'une quête spirituelle essentielle, de grande ampleur.
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Un tome très introductif, de qualité certaine, mais la lecture est mitigée.

L'ambiance sombre, sanglante pose parfaitement l'univers historique du récit. le dessin, le trait sont très réalistes, cependant les personnages ne se montrent pas très attachants, trop énigmatiques, même si cela paraît assez logique pour un début de saga au long cours.

Le mystère pesant qui règne dans ces pages, le monde des samouraïs, la violence et la rage en toile de fond, justifient néanmoins l'intérêt de lire la suite.
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Le personnage qu'est Miyamoto Musashi peut sembler inconnu pour une majorité de la population occidentale, et pour cause : cette figure iconique de l'ère Edo est inscrite dans le marbre de l'histoire japonaise comme celle d'un être ayant vagabondé à travers le pays pendant près de quarante années, parti de son village avec pour seul objectif de devenir l'un des plus grands sabreurs de son temps, et étant rapidement devenu un modèle de vie. Sa philosophie, son apprentissage auprès des grands maîtres, sa quête de perfection au sabre... tout cela et plus encore auront été, vous le pensez bien, développé et romancé au fil des années par le biais de romans (le plus célèbre étant celui de Eijii Yoshikawa), de films, de pièces de théâtre... et bien sûr de mangas.

Celui dont je vais vous parler s'inspire librement de la vie de cet homme mais, vous le verrez vite, sait très bien canaliser et synthétiser toute l'aura spirituelle et les connaissances que cette légende aura su insuffler depuis cette période lointaine qu'est l'ère Edo. Ce manga, c'est Vagabond, de Takehiko Inoue. Long de 38 volumes et en pause depuis 2015, il narre donc l'ascension du plus grand sabreur de l'ère Edo, de ses origines modestes jusqu'à son affirmation parmi les plus forts, ainsi que les multiples rencontres qui parsèmeront son destin.

L'audace puérile dont fait d'abord preuve le personnage peut laisser songeur, tant la narration se pressent d'abord comme un poncif de tout bon shônen qui se respecte : une quête infinie de puissance pour devenir le meilleur, cela ne date pas d'hier comme objectif. Mais c'est là qu'intervient la subtilité de Vagabond par rapport à tout ce qui se fait en manga à l'heure actuelle sur les contes de cape et d'épée traditionnels : Inoue est un architecte.

Un architecte des émotions, dressant par exemple, avec un soin méticuleux, une personnification de la peur elle-même dans les instants les plus sombres d'un combat entre deux sabreurs.

Mais aussi un architecte du temps, arrivant à l'étirer avec un talent exceptionnel dans des moments de concentration intense avant le coup mortel. Les sentiments jouent un rôle clé dans l'immense oeuvre qu'est Vagabond, et chaque planche travaillée avec soin est une nouvelle preuve d'à quel point ils transparaissent dans chaque coup porté, chaque réplique lâchée, chaque geste esquissé... Car que serait une quête sans son lot de spiritualité et de questionnements divers ?

Ce talent à retranscrire avec un niveau de détail indécent l'aspérité des arbres environnant comme à produire des créations picturales coloriées qui donnent aisément le vertige, ne sont finalement qu'une bien faible représentation des capacités extraordinaires de Inoue à mettre en scène la vie d'un homme ainsi que ses questionnements. L'une des force du manga, c'est aussi de prendre son temps pour développer chacun des personnages évoqués, de leur donner corps et objectifs, et de dépasser le stade de rôle fonction. Si chacun rencontrera Musashi à un moment charnier de son existence, Inoue ne lésine pas sur l'usage des flashbacks ou de simples digressions (parfois longues de six volumes pour introduire un personnage), quitte à briser un arc narratif en deux.

Mais bien loin de briser le rythme, cela incorpore une épaisseur progressive à ce lot de samouraï en quête d'idéal, de paix intérieur, de but dans leur existence ou bien d'adversaires à vaincre. Musashi, à la manière de ces épéistes d'un autre temps et d'autres moeurs, fait partie de cette valse d'âmes esseulés à la recherche de ce qui fera le comble de leur vie passée à vaincre par le sabre, ou en périr.
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A l'occasion des 15 ans du manga de Inoue, Tonkam propose une édition "luxe", comprenant un set de cartes illustrées, et pour l'occasion une nouvelle couverture, plus " efficace" que la premiere je trouve.

Mais hormis les couvertures de plus en plus somptueuses au fil des tomes (celle du tome 30 et celle du tome 32 par exemple), l'autre raison qui fait que j'ai sauté sur l'occasion quand Babelio me l'a proposé, c'est qu'il s'agit d'une adaptation du roman de Yoshikawa, Musashi, que j'avais adoré l'an dernier.

Tout d'abord, précisons s'il en était besoin, qu'Inoue est l'un des mangaka les plus en vue de ces dernières années.Il a régulièrement les honneurs de grandes expos ( 2008 à Tokyo), d'invitations partout dans le monde...

Le premier volume reprend assez fidèlement la trame du roman, en élaguant par ci par là quand même - et donc, je suis contente d'avoir commencé par le livre de Yoshikawa, car il y a quelques ellipses pas évidentes a priori, et je peux plus facilement combler les lacunes narratives ( mais pour faire simple, le roman est un grand grand classique au Japon, que beaucoup de gens ont lu, il y a toutes les chances que le lecteur suive sans problème.) Dommage par exemple pour la scène du retour de Takezo au village, originalement pendant une fête, ou il retrouve Oko faisant de la calligraphie dans un temple, et non simplement au détour d'un chemin en forêt. C'est seulement qu'avec un graphisme pareil, j'aurais adoré voir une double page" fête de village". de même on ne voit pas encore apparaître le moine Takuan, qui va être un personnage essentiel.

le volume 1 du manga couvre donc à peu près le premier quart du premier livre (la terre), depuis la bataille de Sekigahara jusqu'au retour très peu triomphal de Takezo au village natal et à la guerre ouverte que lui déclare la vieille Osugi. Donc pour le scénario, aucun problème, le roman d'origine est suffisamment solide de ce côté là. C'est donc sur les illustrations que Inoue va devoir se distinguer. Mais vous aurez compris que de ce côté là, je suis conquise, absolument. Par contre, je conçois que le style puisse rebuter certains, on est dans un Seinen, donc le style est réaliste, et Inoue n'hésite pas à rendre une femme laide si son visage est censé être déformé par la peur. de même les détails un peu glauques de l'histoire ne nous sont pas forcément épargnés: ici une crise de gastro, là un bandit égorgé par le héros, un bras coupé d'un côté un nez casé de l'autre etc...

Son Takezo correspond assez bien à l'idée que je m'étais faite de Takezo au début de l'histoire, parfois jeune fou possédé par la folie meurtrière, parfois adolescent complètement désemparé lorsqu'une femme lui fait du charme.

Lorsque je l'ai reçu, je pensais ne pas continuer la série, car elle est toujours en cours avec 33 volumes à ce jour, et je manque sérieusement de place chez moi. Mais je pense qu'au vu de l'excellente impression que m'a donnée le premier volume, je vais avoir du mal à résister. Car je veux voir Takuan!
Lien : http://chezpurple.blogspot.c..
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J'avais lu un article élogieux sur cette série et comme j'avais bien aimé Real du même auteur, je me suis lancée.
C'est une histoire violente et le graphisme y est différent des mangas que je lis habituellement, moins net et lisse, moins "propre", un peu comme passer du Reour à la Terre de Manu Larcenet à Blast.
J'ai retrouvé au début de l'histoire un contexte qui m'a fait penser à Averses turquoises. Une guerre et des batailles dans lesquelles les jeunes gens des villages s'engagent pensant trouver la gloire.
Ce premier volume s'ouvre à la fin d'une bataille sur deux jeunes garçons, dans la boue, ensanglantés, blessés, mais vivants. Devenus des fuyards, Takezo et MataHachi n'ont pourtant pas renoncé à leurs rêves de samouraïs et de sabres. Ils se veulent les plus forts.
Ils sont recueillis et soignés par une femme et sa fille qui pillent les cadavres.
Leurs routes vont se séparer sur des choix de vie différents.
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critiques presse (1)
Lecturejeune
01 juin 2006
Lecture jeune, n°118 - Classiques de la littérature japonaise, La pierre et le sabre et La parfaite lumière racontent l’itinéraire du jeune Miyamato Musashi depuis la bataille de Sékigahara en 1600 jusqu’à son affrontement avec Sasaki Kojiro. Avec Vagabond, l’adaptation de ces romans d’Eiji Yoshikawa, Takehiko Inoue (Slam Dunk, Real) revient sur la genèse du plus fameux escrimeur japonais. Relativement proche du roman d’aventures, entre l’action de L’arbre au soleil de Tezuka et le réalisme d’Au temps de Botchan de Taniguchi, le manga ne fait pas que retracer le parcours initiatique et spirituel d’un rônin, il peint aussi un tableau particulièrement vivant de cette époque de transition vers le Japon moderne. Dessinés en noir et blanc dans un souci de réalisme et de détail, les superbes paysages du manga sont mis en valeur par le trait, relativement fin. Allié à l’utilisation judicieuse du pinceau, à la manière des calligraphes traditionnels, il permet d’accélérer l’action et de donner un étonnant effet de modernité. Remarquons la belle facture du manga : les premières planches sont entièrement à l’aquarelle et en couleurs. Tout en constituant un excellent divertissement, cette série peut introduire à la culture japonaise classique et amener à la lecture des romans dont elle s’inspire. Rappelant les récits de cape et d’épée, ceux-ci traitent de développement personnel sur fond de culture zen. _ Léopold Romain
Lire la critique sur le site : Lecturejeune
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Ne pleure de joie à la victoire que celui qui connait l'amertume de la défaire. Ne peut jouir pleinement de la vie que celui qui a regardé la mort en face. Le bonheur, est-ce de se satisfaire du moment présent, quel qu'il soit ? Cela semble tout à la fois simple et difficile.
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Ne pleure de joie à la victoire que celui qui connaît l’amertume de la défaite.
Ne peut jouir pleinement de la vie que celui qui a regardé la mort en face.
Le bonheur, est-ce de se satisfaire du moment présent, quel qu’il soit ? Cela semble tout à la fois simple et difficile.

Takehiko Inoué.
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- Tu ne mènerais pas la vie que tu mènes aujourd'hui... Si tu m'épousais...
- Parce que tu me crois capable d'épouser celui qui a tué mon époux ... ?
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Il y a dans la vie du vagabond un besoin essentiel qui vient immédiatement après la faim, c'est celui des chaussures.
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Même chef d'une bande de pillards... un chef est toujours un chef... avec une tête qu'on peut faire sauter.
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