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Critique de Alfaric


Dans ce tome 2, c'est en visitant un chantier pharaonique que Chepsout découvre qu'il faut bien faire des choix entre le rôle de reine et la condition de simple humaine car chacun à sa place dans la grande marche du monde. Ce faisant elle rencontre autant d'amis que d'ennemis dans le clergé tout-puissant…
Après on s'attarde sur les intrigues de la favorite Sothis qui a pris le pouvoir dans le harem avant de le tyranniser... Ah ça, on nous montre bien qu'elle est méchant et vilaine puisqu'elle tue des femmes enceintes innocentes et des petites vieilles qui n'ont fait de mal à personne à part son ego surdimensionné de grosse pouffiasse narcissique… On se demande jusqu'à quel point on peut être un gros abruti quand le pharaon en quête d'un héritier pardonne à ladite grosse pouffiasse narcissique d'avoir assassiné ses futurs héritiers avant de lui prêter oreille quant aux ragots low cost qu'elle colporte sur la reine…
Senmout est accusé d'entretenir une liaison interdite avec la reine, et il préfère se retirer et laisser sa charge à son demi-frère Senmèn plutôt que de reconnaître qu'il n'est pas insensible au charme de la reine : shojo power !!! Quelle solution pour la reine dont la grandeur est d'avoir bon coeur pour mettre fin à ce merdier ? Prendre en main son destin en devenant Pharaonne des propres mains ???

J'ai beau ne pas lire de shojo j'ai tout de suite repéré les gimmicks du genre et force est de constater que j'ai déjà vu tout cela, mais pas forcément en mieux car les graphismes qui appartiennent clairement à la nouvelle génération sont aboutis et que l'univers égyptianisant est très plaisant à parcourir.
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