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Critique de FMK
Une voiture sur une route déserte au milieu des étendues sauvages d'Islande et de ses landes battues par le vent, ainsi s'ouvre le premier tome de la nouvelle série de Aki Irie. Dans le véhicule, un jeune homme qui semble lui parler, réagissant aux bruits du moteur comme si la voiture lui répondait, et roulant vers un but et une destination inconnus du lecteur, voici une bien étrange introduction !
On apprend par la suite que Ken Miyama, 18 ans, a quitté son pays pour vivre en Islande avec son grand-père. Il exerce en amateur une sorte de profession de détective, et retrouve les objets ou personnes disparues pour ceux qui lui en font la demande. Il s'agit plus d'un hobby que d'un vrai métier, mais cela lui permet de profiter de la vie comme il l'entend, libre et sans attaches. Son quotidien en apparence tranquille va cependant changer lorsqu'il apprend le décès au pays de son oncle et de sa tante, ainsi que la disparition de son petit frère Michitaka, encore lycéen, qui vivait chez eux depuis la mort de leurs parents…
Ce premier tome permet à la mangaka de poser les toutes premières pierres de l'intrigue, qui reste encore très intrigante. Les personnages ont des personnalités intéressantes qui se situent assez loin des archétypes du manga, et cela fait du bien. Pour le moment, on ne sait pas encore grand chose sur eux, on peut s'attendre à des surprises dans les tomes à venir, c'est certain !
Quant au dessin, il est tout simplement magnifique, à l'image de la couverture du tome. le trait est si fin et le niveau de détails si élevé que chaque planche pourrait constituer un tableau, et on plonge avec bonheur dans ces décors qui semblent se prolonger à l'infini, dans un univers à la fois hyper-réaliste et onirique.
En résumé, je suis très agréablement surpris par cette nouvelle série dont j'ignorais l'existence. Ayant vu des dessins du Monde de Ran, je connaissais le style graphique de la mangaka, mais je n'ai malheureusement jamais eu la possibilité de lire cette précédente série. Maintenant que Kei a commencé sa quête de réponses sur le passé, le présent et l'avenir, je vais pouvoir le suivre sur les routes d'Islande avec plaisir !
On apprend par la suite que Ken Miyama, 18 ans, a quitté son pays pour vivre en Islande avec son grand-père. Il exerce en amateur une sorte de profession de détective, et retrouve les objets ou personnes disparues pour ceux qui lui en font la demande. Il s'agit plus d'un hobby que d'un vrai métier, mais cela lui permet de profiter de la vie comme il l'entend, libre et sans attaches. Son quotidien en apparence tranquille va cependant changer lorsqu'il apprend le décès au pays de son oncle et de sa tante, ainsi que la disparition de son petit frère Michitaka, encore lycéen, qui vivait chez eux depuis la mort de leurs parents…
Ce premier tome permet à la mangaka de poser les toutes premières pierres de l'intrigue, qui reste encore très intrigante. Les personnages ont des personnalités intéressantes qui se situent assez loin des archétypes du manga, et cela fait du bien. Pour le moment, on ne sait pas encore grand chose sur eux, on peut s'attendre à des surprises dans les tomes à venir, c'est certain !
Quant au dessin, il est tout simplement magnifique, à l'image de la couverture du tome. le trait est si fin et le niveau de détails si élevé que chaque planche pourrait constituer un tableau, et on plonge avec bonheur dans ces décors qui semblent se prolonger à l'infini, dans un univers à la fois hyper-réaliste et onirique.
En résumé, je suis très agréablement surpris par cette nouvelle série dont j'ignorais l'existence. Ayant vu des dessins du Monde de Ran, je connaissais le style graphique de la mangaka, mais je n'ai malheureusement jamais eu la possibilité de lire cette précédente série. Maintenant que Kei a commencé sa quête de réponses sur le passé, le présent et l'avenir, je vais pouvoir le suivre sur les routes d'Islande avec plaisir !
