Personnellement, je préfère ne rien voir au ciel et rester sur terre le plus longtemps possible. Il faut sans doute avoir la foi pour y aller. Au temps des sacrifices humains, je pense que cela faisait sans doute recette.
Je n'ai pas aimé cette oeuvre dramatique car le graphisme est très anguleux au niveau des personnages si on veut prendre un exemple. Par ailleurs, cette descente dans les bas-fonds avec ce langage plus qu'argotique n'est pas ma tasse de thé.
Quant à la pseudo-poésie et les passages en langue étrangère non traduit, cela m'a très vite gavé. Ce n'est plus comme cela qu'il faut faire de la bd. C'est totalement un concept dépassé qui n'attire plus l'attention. Mais bon, chacun fait comme il veut. Il ne faudra pas s'étonner après du résultat sur les ventes.
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(LX971) Assez rebuté par les choix graphiques, pas réussi à entrer dans cette histoire qui se joue dans les bas-fonds de Séville, entre misère, violence et drogue. Non pour le prix.
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Entre BD européenne moderne et comics indé, son graphisme tranché et sa mise en couleurs très intelligente sont suffisamment bluffants pour tenir le coup jusqu’au bout de ce récit noir, très noir, presque trop. Alors, irez-vous au ciel pour voir ? Il faudra en tout cas être prêt à être bousculé.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Dans un contexte de misère et de violence, le drame couve... El Irra raconte dans "Aller au ciel pour voir", paru chez Presque Lune éditions, une histoire aussi sombre que le soleil d'Andalousie est éclatant.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Celui dont les narines sont tournées vers le ciel tombera dans une fosse à purin.