Dans ces mémoires publiées dans les années 1990,
John Irving se fait plus concis que dans ses romans-fleuves. Il axe la majorité de ses ruminations autour de la lutte, ses entrainements, ses tournois et la relève assurée par ses fils. de son enfance et sa vie intime, on ne saura rien. Par contre, il parle un peu d'écriture et de cours d'écriture, de ses rencontres avec
Nelson Algren ou
Kurt Vonnegut et c'est ces parties-là que l'on aurait été aimé voir développées par l'auteur de
L'oeuvre de Dieu, la part du Diable, pas ces pages soporifiques sur son amour de la lutte. Dommage.
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