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Spirale tome 0 sur 4
EAN : 9782759506620
664 pages
Tonkam (14/09/2011)
4.42/5   275 notes
Résumé :

De prime abord, Kurouzu ressemble à une banale petite ville de campagne. Mais, au-delà des apparences moroses, existe un mal profond, terrible et indicible qui plane au-dessus des habitants. Une pression hypnotique, un malaise poisseux qui corrompent les coeurs, les âmes et les esprits de victimes impuissantes.

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Critiques, Analyses et Avis (43) Voir plus Ajouter une critique
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C'est malin, maintenant lorsque je vais croiser une spirale, je vais penser à de monstrueux homme-escargots, des tourbillons meurtriers qui sortent de la bouche des enfants et des amas de chairs humaines s'entrelaçant jusqu'à devenir une même forme organique hallucinante, entre Society de Brian Yuzna ou The Thing de Carpenter...
Junji Ito a de plus cette faculté de rendre réaliste des émotions et des expressions du visage tout en nous plongeant dans cet univers cauchemardesque.
Le chapitre qui m'a le plus horrifié est La Boîte à surprises.
Ses idées sont incroyables et il sait bien les transcrire par le dessin.
Un génie.
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J'entends parler de Junji Ito depuis ses premières parutions chez nous au début des années 2000, mais étant une grande pétocharde, je n'avais jamais osé essayer de le lire. Il m'a donc fallu une certaine dose de courage pour me lancer, mais je ne pouvais plus passer à côté de cet auteur culte aux influences telles que Lovecraft ou Hitoshi Iwaaki (Parasite).

Contrairement à ce que je croyais, Junji Ito est un auteur assez jeune. C'est en 1987, qu'il publie son premier manga, Tomié, avec lequel il remporte une mention spéciale du prix Kazuo Umezu (L'école emportée). Il décide alors de se consacrer pleinement aux mangas, alors qu'avec il était dentiste, et c'est dans les histoires horrifiques qu'il va se faire une réputation. En 1998, il publie Spirale, ensuite Gyo et tout un tas d'autres titres plus effrayants les uns que les autres que nous avons pu lire en français pour la plupart grâce à Tonkam (liste). En 2019, il est même récompensé du prix Eisner de la meilleure adaptation pour l'édition américaine de son Frankenstein, excusez-moi du peu.

Spirale est donc ma première incursion dans son univers mais d'emblée, j'ai eu l'impression d'être en territoire connu tant j'y ai retrouvé des tropes horrifiques typiquement japonais. L'histoire débute dans la banale petite ville campagnarde de Kurouzu qui semble être la victime d'une drôle de malédiction : celle de la spirale. Ce motif se retrouve partout et devient peu à peu l'obsession du meilleur ami de l'héroïne et de son père, au point de nous faire ressentir un malaise de plus en plus grand et surtout de nous faire assister à des événements de plus en plus fous toujours autour de ce motif.

Spirale est vraiment un titre d'ambiance plus qu'une large aventure ou un récit horrifique qui se développerait autour d'une intrigue. C'est pendant la majeure partie du temps (la série est d'abord sortie en 3 tomes avant d'être regroupée en une grosse intégrale), une suite de chapitres presque indépendants les uns des autres où l'héroïne, Kirie, assiste à des événements complètement fous touchant sa ville : un père mourant en voyant son corps transformé en spirale, une élève cherchant à absorber les autres grâce à la spirale apparue sur son front, un couple maudit qui fini entrelacé à mort, des cheveux qui se transforment en spirales vivantes pour attirer l'attention, etc.

Quand on y regarde, c'est juste complètement barré et on y assiste de manière totalement incrédule tant c'est absurde et impossible. Pourtant la peur nous prend, l'angoisse monte et petit à petit, on se retrouve piégé à enchaîner les chapitres pour voir jusqu'où l'auteur va pousser la chose. C'est terrifiant. Dans les derniers chapitres, il pousse cette inéluctabilité jusqu'à ce que la ville entière soit prise dans une tempête géante de spirales dont elle ne sortira pas indemne mais qui bouclera la boucle du récit et proposera un semblant de réponse.

On lisant Spirale, je croyais au début lire le titre d'un très vieil auteur d'horreur japonais. Je pensais donc y voir la source de bien des titres un peu fantastiques que j'avais lus, mais je me trompais. C'est plutôt Junji Ito qui a été influencé par la prose d'Iwaaki dans Parasite, de Lovecraft dans ses mythes sur les Anciens ou encore de Kazuo Umezu dans l'Ecole emportée. On retrouve ces influences aussi bien dans le récit, la mise en scène que le dessin et c'est superbe.

J'ai beaucoup aimé son trait sombre très très noir, qui m'a rappelé un certain courant pop américain jouant également sur ces noirs très profonds. L'auteur a vraiment poussé loin sa recherche autour de la spirale, cela donne des compositions effrayantes et psychédéliques, qui enivrent autant qu'elles font peur. Je me suis retrouvée fascinée par son trait pourtant daté. Je ne sais pas si c'est aussi le cas ou pas sur ses travaux plus récents. Il est extrêmement imaginatif et a un panel de situations horrifiques juste impressionnant avec des situations totalement inattendues prenant racine dans nos peurs les plus intimes.

Enfin au-delà du récit horrifique, j'ai été surprise par les thèmes que j'ai cru reconnaitre dans cette vaste fresque. Il m'a semblé voir une dénonciation d'Hiroshima et Nagazaki, un cri d'alarme contre la destruction de notre patrimoine même le plus invisible (avec ces vieilles maisons menacées de ruine), une critique des brimades scolaires et du phénomène des hikikomoris, une autre de notre société des apparences où on cherche toujours à attirer l'attention, et probablement bien d'autres qui m'ont échappé. Sans creuser, j'ai également été frappée par le chapitre sur les femmes enceintes.

Pour conclure, même si ce ne fut pas une lecture coup de coeur, mais plutôt une lecture instructive, j'ai été fascinée par le talent du monsieur pour mettre en scène des récits horrifiques. Je comprends mieux sa réputation. Je suis ravie pour cela d'avoir eu recours à l'édition américaine de l'intégrale, qui est non seulement un hardback, mais contient en plus les pages couleur originales ainsi que les pages bonus qu'il y avait à la fin de chaque tome. C'est une bien belle édition.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Je suis impressionnée par la qualité des dessins et le réalisme avec lequel l'auteur arrive à nous faire frissonner. Junji Ito mérite de loin son titre de maître de l'horreur, et ce manga ne peut qu'en attester. Ces créatures malsaines, ces humains déformés, ces histoires angoissantes, tout dans son style n'a cessé de m'impressionner. Alors attention à ne pas lire ce manga avant d'aller se coucher : cauchemar garantit !
Bien sûr, il faut faire attention de ne pas remettre ce manga dans les mains de n'importe qui, étant donné que certaines scènes peuvent être vraiment gores et choquantes. Un manga qui ravira les amateurs d'horreur et d'hémoglobine. Mélangeant le farfelu à l'horreur, le fantastique au psychologique, ce manga est vraiment excellent !

Kirié, notre héroïne est une habitante de la petite ville de Kurouzu. Une petite ville qui à première vue pourrait sembler banale, mais qui cache cependant une terrible malédiction. La malédiction de la spirale. Des évènements étranges commencent à se produire un peu partout dans la ville survenant de façons variées. Un homme est obsédé par les spirales et finit par en périr dans d'horribles circonstances ; après sa mort, sa femme devient phobique des spirales ; des hommes se transforment en escargots ; des femmes enceintes adoptent des comportements meurtriers… Tous semblent être sous l'emprise de la spirale. Celle-ci semble s'immiscer partout : la fumée du four crématoire s'échappe en spirale, le vent souffle en spirale, les champignons poussent en spirale, les moustiques volent en spirale, même les brins d'herbe sont pour la plupart en forme de spirale ! On suit donc la jeune Kirié qui va tenter d'échapper à cette malédiction.

Bref, Spirale fait indéniablement partie de mes coups de coeur ! Un huis-clos prenant qui nous plonge dans les ténèbres et les méandres d'une ville maudite. Les dessins sont vraiment morbides et déstabilisants mais magnifiquement réalisés. Une vraie merveille à dévorer sans modération !
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L'objet livre :

Un livre très beau regroupant l'intégrale de Spirale. La reliure de la couverture est très évocatrice du contenu. Les premières pages en couleurs sont agréables. Un très beau livre, mais qui n'est actuellement plus édité.

L'histoire :

L'histoire de spirale est clairement destiné à un public averti. Les images qu'il contient sont choquantes, dérangeantes, et en même temps dégagent une fascination morbide. Il n'est clairement pas idéal pour un public jeune.

Manga d'horreur et de frisson, il tient ses promesses quant à la trame de l'histoire que l'on peut décomposer en deux parties :

- une première partie de chapitres uniques, évoquant l'influence de la spirale et ses enjeux

- une seconde partie servant plus à dénouer l'intrigue.



Mais Spirale, qu'est ce que c'est? On se retrouve dans le village de Kurouzu, où plane une sorte de malédiction. En premier, c'est le père de Schuichi, petit ami de Kirié (narratrice) qui est exposé à cette addiction et fascination pour la spirale. Je ne spolierai pas en disant ce qu'il advient de lui, mais la spirale prend possession de lui. Au fur et à mesure des chapitres, on découvre que de plus en plus d'habitants sont touchés par cette obsession, on assiste donc à des évènements paranormaux, tous du point de vue d'une jeune lycéenne (Kirié), mais la prise de conscience d'une telle malédiction vient de Schuichi, qui voit son père sombrer peu à peu dedans.

Le dessin est réaliste, avec une intensité dans les détails et les yeux des personnages. Ce principe de réalisme permet au lecteur de rentrer dans l'histoire, comme "happé" par les éléments. le dessin met mal à l'aise, surtout pour les cadres les plus choquants où l'auteur met en oeuvre tous les talents de dessinateur pour ne négliger aucun détail sur la mort de certains personnages. La violence des images n'est pas sans raison, elle dérange parce qu'elle sert de façon fascinante l'histoire de Spirale

L'histoire m'a beaucoup plu, les dessins agréables, autant que faire se peut, et accompagnent de façon cohérente l'histoire. Cette dernière est "dingue", surréaliste et extravagante. Et j'ai fortement apprécié cette distance entre une histoire incroyable et le réalisme de certaines planches. On saute à pieds joints dans d'innombrables scènes absurdes, de corps qui ondulent ou disparaissant dans le néant de cette folie confuse, dérangeante.

Mais... Je reste sur ma fin! Celle ci est amenée sur un fil conducteur, mais je me serais attendu à une explication plus extravagante ou plus impressionnante. Celle présentée par Junji Ito ne reflétait pas la pression et l'obsession de cette spirale. Je l'ai trouvée même "facile", car elle n'utilisait pas tous les codes d'obsession et de malédiction présentés tout au long de l'histoire : on se retrouve uniquement sur un espèce de "sur place" qui fait cruellement défaut à cette histoire. Ou alors est ce la volonté même de Junji Ito de ne pas avoir fait une fin "incroyable ou extravagante", nous laissant dans un malaise et un questionnement? Je suis peut être passée à côté de quelque chose.

Les thèmes abordés reflètent parfaitement notre société de sur-consommation : désirer un objet contre toute raison alors que nous n'avons pas forcément besoin de cet objet jusqu'à devenir l'objet lui même. Mais plus encore, l'obsession de l'amour, et on pense directement à la plus belle des histoires d'amour : Roméo et Juliette de W. Shakespeare : l'envie et l'obsession de l'être aimé conduit à une solution radicale dans les deux cas.

Par contre, lecture fluide, rapide et facilité par une suffisance des dialogues : on en dit parfois peu car les images se suffisent à elle même et l'effet de la spirale est là : hypnotisé par l'histoire et les images, le lecteur ne lâche son livre qu'à la dernière page.



A la fin de l'intégrale, on retrouve un essai de l'écrivain Masaru Sato. Celui ci traite de la spirale mais d'un point de vue économique et n'est intéressante que par les comparatifs apportés par cet ancien diplomate.

Et si vous n'avez pas votre dose de frisson, l'intégrale propose en plus une histoire spéciale tout aussi déséquilibrée !

Lien : http://lecturedaydora.blogsp..
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J'ai lu pas mal d'ouvrages de Junji Ito, mais étrangement, Spirale manquait à mon tableau de lecture. J'avais bien lu une ou deux histoires dans ses anthologies, mais je n'avais pas encore sauté le pas de l'intégrale. Et si j'avais su, je l'aurais lu bien avant, car je l'ai littéralement dévoré.

J'ai retrouvé ce trait de crayon si caractéristique au maître de l'horreur japonais. C'est une nouvelle incursion dans son esprit tordu, si tordu qu'il en devient une spirale. La première publication de Spirale remonte à 1998 en une série de trois tomes, avant d'être rassemblés dans cette intégrale en 2011. J'aimerais que l'on s'arrête un instant sur cette couverture joliment colorée et tout en colimaçons qui tranche nettement avec l'ambiance sombre et glauque des récits qui composent l'ouvrage. Car les spirales que l'on va croiser dans la petite ville de Kurouzu n'ont rien de joli ni de coloré. Elles relèvent plutôt d'une terrible malédiction qui ronge la ville et zigouille ses habitants en s'immisçant au plus profond de leur esprit pour les faire tomber dans une folie dont la seule issue est la mort. Ou se transformer en escargot. Ou finir entortillé avec des dizaines d'autres personnes pour former un amas de corps entrelacés.

A Kurouzu vit Kirié avec ses parents et son jeune frère. La jeune fille est scolarisée dans le lycée de la ville et rejoint tous les matins son meilleur ami depuis que celui-ci a décidé d'aller étudier dans la ville voisine. Mais ces derniers temps, il est très préoccupé par son père, qui est littéralement obnubilé par les spirales, obsédé jusqu'à ce que cette manie l'entraîne dans la mort. Lors de sa crémation, la fumée qui se dégage du crématoire forme des volute de spirales noires avant de plonger dans les eaux du lac des libellules, qui semble abriter la cause de tous ces malheurs.

Les 18 chapitres qui composent cette intégrale sont des récits qui pourraient être lus indépendamment les uns des autres. Mais lus à la suite, ils tissent une intrigue particulièrement macabre et glauque. Junji Ito rivalise d'idées pour ses spirales, que les personnages retrouvent partout dans leur environnement, donnant lieu à des tableaux dignes d'hallucinations psychédéliques. le final quant à lui est digne des oeuvres lovecraftiennes et de ses cités cyclopéennes aux architectures non euclidiennes.

Mais en poussant plus loin la réflexion, au delà des dessins morbides et des récits horrifiques, Junji Ito parvient à faire passer des messages sur la société japonaise et ses dérives. Il dénonce dans ses histoires la société du paraître et les gens qui ne pensent qu'à attirer l'attention sur eux, il critique le système scolaire et le harcèlement sur lequel la société ferme les yeux, il va jusque mettre en avant, dans un passage assez malsain, le phénomène de matahara, qui pousse les femmes à démissionner de leur travail lorsqu'elles tombent enceinte et les laisse seules et démunies. Junji Ito leur permet de se venger d'une manière aussi violente que terrible.

Si les dessins de du mangaka sont très expressifs et vivants, c'est grâce à ce trait noir qui se décline aussi bien dans des pleines pages horrifiques que dans des situations tout à fait banales de la vie quotidienne. Les scènes les plus effrayantes donnent des dessins très sombres avec un noir profond quand d'autres semblent avoir le trait plus léger pour renforcer l'impression de réel. le malaise est toujours présents avec des personnages qui subissent les événements sans pouvoir rien y faire, ils sont parfois même passifs face aux terribles circonstances. L'angoisse et le dégoût montent en intensité à mesure que l'on progresse dans les récits, Junji Ito joue avec nos peurs les plus profondes, comme s'il s'était immiscé dans nos cauchemars pour les retranscrire sous ses coups de crayon.

Spirale est une série mythique de Junji Ito que vous devez lire si vous êtes fan du mangaka. Il signe ici un véritable chef d'oeuvre dans l'horreur et le sordide, qui, comme moi, vous fera voir des spirales partout une fois la lecture achevée.
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critiques presse (2)
Syfantasy
28 juillet 2023
Spirale ne quitte pas son lecteur, et ce malgré ces quelques défauts, et il l'emportera sûrement bien plus loin, s'il ne prend pas garde à l'influence hypnotique de cette forme géométrique venue d'ailleurs.
Lire la critique sur le site : Syfantasy
BDGest
30 mars 2021
La réédition de cette intégrale, accompagnée par la lecture éclairante de l'interview du diplomate et écrivain Masaru Satô, est une occasion idéale pour tout fan du neuvième Art de se faire sa propre opinion. Et il y a fort à parier qu'elle rejoindra celle des convaincus.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
– qu'est que ça veut dire ?! Comment le visage de ces gens s'est-il retrouvé sur tes œuvres [de céramique] ?!
– eh bien je n'ai aucune explication... Moi je m'occupe juste d'unir la terre au feu... C'est mère nature qui fait le reste... Après tout, les connaissances humaines sont limitées... Qu'y a-t-il de si étonnant à ce que le résultat nous échappe parfois ?
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The spiral... with the manga Uzumaki, I, Junji Ito, attempted to find an answer to the secrets of this enigmatic shape. To understand the spiral, one must carefully observe it. To begin my studies, I spent hours staring into its depths. I just ended up feeling dizzy...

Afterword
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"Jusqu'à la forme même de la ville... on dirait que tout ici cherche à nous entourer et à nous étouffer. Nous entourer et nous étouffer... comme une spirale... oui, c'est ça... comme une spirale infernale qui nous entraîneraient peu à peu vers les ténèbres." # Shuishi
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Les problèmes non réglés font les comportements qui font les nouveaux problèmes, une spirale à laquelle il faut mettre fin.
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Kirié... Regarde ces ruines, on dirait qu'elles sont vivantes, on dirait qu'elles vivent, on dirait qu'elles ont une conscience... Une conscience égocentrique, tournées vers leur centre, on dirait que ces spirales sont folles d'elles-mêmes...
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Videos de Junji Ito (20) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Junji Ito
Uki Sataka revient sur sa jeune carrière de comédienne de doublage en nous parlant de son rôle dans Uzumaki (Spirale) de Junji Ito et de Space Dandy !
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Dans la petite ville de Kurouzu, une lycéenne tout à fait normale voit les habitant soudains obsédés par les objets en forme de spirale. Cette oeuvre maîtresse de ITO s'intitule :

Tourbillon
Spirale
Escargot

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