AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Giantjack


Roman reçu dans le cadre de la Masse Critique Mauvais genre ! Je tiens d'ailleurs à remercier Babelio ainsi que les éditions 10-18.

Alors cette enquête de notre musicien enquêteur Jeremy Nelson en plein pendant les années folles, qu'est-ce que cela dit ?
C'était principalement cette période qui me donnait envie de découvrir ce roman et le moins que l'on puisse dire, c'est que le dépaysement est total ! Que de références culturelles, artistiques, cinématographiques de cette époque (j'ai fortement apprécié ces petites notes en bas de pages sur les musiciens, cinéastes, artistes, lieux cités tout au long du roman). On ressent même cette ambiance dans le vocabulaire. Pour tout cela, je n'ai rien à dire !

Au-delà de ce cadre très plaisant, il m'a fallu du temps pour rentrer dans l'histoire. Les personnages sont nombreux et il nous faut quelque temps avant de s'habituer à cette bande de joyeux lurons qui habitent dans cet immeuble de la rue des hirondelles.

Idem pour l'intrigue. Cela ne démarre pas tout de suite après la disparition de la tyrannique propriétaire. On découvre divers petits éléments au fur et à mesure en même temps que l'on nous présente la vie des locataires. Bien évidemment ces éléments peuvent tous les rendre coupable…
Le récit et l'enquête passent la seconde à partir de la page 70 et j'ai trouvé un peu dommage pour un livre qui n'en compte que 300. Après cela n'est que mon avis personnel car j'aime être tout de suite happé dans une histoire surtout lorsqu'il s'agit d'une enquête ! Notons aussi quelques facilités scénaristiques pour l'avancement de l'enquête notamment lorsque

Au niveau des personnages, Jeremy Nelson ne fait pas figure de héros. Je le trouve très effacé pendant une bonne partie du roman (face aux habitants de l'immeuble) et j'ai eu du mal à me lier à lui pendant ma lecture Par contre, j'ai beaucoup aimé le personnage de Sammy : drôle, sympathique mais râleur. le bon Watson par excellence. Je citerai ce fameux passage très drôle chez le dératiseur où il va user de tout son talent pour obtenir les informations dont il a besoin. Je trouve que c'est d'ailleurs à partir de son arrivée dans l'histoire que le roman commence vraiment.

J'ai eu peur de rencontrer quelques difficultés comme il s'agissait de la 4ème enquête de Jeremy Nelson. Aucun souci à ce niveau-là. Les personnages de Sammy et Camille s'intègrent parfaitement alors qu'on sait qu'ils sont déjà présents dans les premiers romans.

Donc avis partagé sur cette lecture : Fond moyen. « Forme » excellente. A voir/confirmer lors d'une prochaine lecture des aventures de l'ami Nelson !
Commenter  J’apprécie          20



Ont apprécié cette critique (2)voir plus




{* *}