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EAN : 9782213706467
Fayard (07/03/2018)
4.06/5   27 notes
Résumé :
Le 8 mai 1945, les nazis capitulent. Hitler s’est suicidé une semaine plus tôt, dans son bunker berlinois. Les Alliés et les Soviétiques fêtent ensemble la victoire. Voilà pour la version officielle. Il en existe une autre, plus complexe, plus tortueuse, plus dérangeante. Celle dont les détails demeurent soigneusement enfermés dans les archives des services secrets de l’ex-URSS. Soixante-dix ans après, ces archives commencent à s’ouvrir et lèvent le voile sur l’ulti... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Un des Cold Case historiques des plus fameux… Mort, suicidé ou exilé en Amérique latine? Des rumeurs folles ont couru durant des décennies sur le suicide supposé d'Adolph Hitler.

J'ai été plus que ravie d'être sélectionnée dans la Masse Critique Non Fiction de Babelio avec ce titre car j'ai terminé récemment Au coeur du Kremlin de Vladimir Fédorovski. Je n'allais donc pas être dépaysée dans l'hiver russe. Et j'adore les mystères de l'Histoire!

Ce n'est qu'en recevant le livre que j'ai vu qu'un documentaire avait été produit pour la télévision. La tv est persona non grata en mon antre depuis des années mais je me suis tellement régalée avec cette lecture que j'ai voulu la compléter en le visionnant sur le net.

Alors juste un mot sur le docu tv… c'est une version largement expurgée du livre, basée essentiellement sur l'observation et l'étude scientifique des restes humains d'Hitler par Philippe Charlier, médecin légiste, anatomo-pathologiste, anthropologue et paléopathologiste français (connu pour ses travaux sur Richard Coeur de Lion, Diane de Poitiers et j'en passe!), alors que le livre est concentré pour une majeure partie sur la consultation et l'étude des archives au sein du GARF (Archives d'État), FSB (Services secrets) et les Archives de l'Armée (moins visuel et spectaculaire bien évidemment pour un docu tv!) et la reconstitution historique des événements des derniers jours au sein du bunker d'Hitler.

Je ne sais pas si les auteurs (tous deux journalistes) ont forcé le trait de l'ambiance austère et agressive des personnels des administrations russes, mais le lecteur a réellement l'impression que le rideau de fer est toujours baissé. L'antagonisme Est-Ouest a la vie dure et on ne jette pas comme ça aux orties des décennies de dictature soviétique pour faire ami-ami avec les capitalistes. La suspicion, la paranoïa, la concurrence et les manipulations au sein même de la société russe, a fortiori au coeur de leurs organismes administratifs et politiques, est intrinsèquement viscérale alors comment espérer que l'ouverture sur l'extérieur soit aisée…

Une enquête menée à bien malgré de nombreux séjours stériles, de rendez-vous avortés, d'accords annulés, de téléphones qui sonnent dans le vide, de contacts aux abonnés absents.
Mais avoir enfin son entrée dans des lieux longtemps interdits ou terrifiants par leur simple évocation est à ce prix…

La Loubianka est aux russes ce que la Prinz-Albrecht-Straße est aux allemands. Gestapo ou NKVD, blanc bonnet et bonnet blanc! Et pénétrer un lieu aussi sinistrement mythique, par exemple, c'est laisser les fantômes vous envahir et jeter une chape de plomb sur votre optimisme, vous glacer de respect au souvenir de tant de souffrances imprégnant les murs.

C'est accéder aux documents espérés mais c'est aussi lever le voile sur un état fascinant, son Histoire et son évolution jusqu'à aujourd'hui avec Poutine. Mais la vérité est-elle entièrement présente quand on connaît le mode de fonctionnement tortueux et mortifère du communisme soviétique qui n'a avancé dans le temps qu'à coups de purges arbitraires et d'exils?

Le sujet est Hitler, sa mort. Avoir la certitude qu'il est bien mort en lieux et place énoncés, à la date convenue.
Mais c'est une affaire d'État qui dépasse de loin les événements de la Seconde Guerre Mondiale de par l'enjeu géo-politique de la détention de son squelette. Ses restes ont été l'enjeu d'une guerre d'empoigne et d'une bataille intestine entre services russes (opération Mythe) mais aussi la reconnaissance de la gloire soviétique jetée à la face des occidentaux avec délectation par Staline.

Certains voulaient absolument accréditer la thèse du suicide par cyanure pour insister sur la lâcheté d'Hitler, d'autres ont soutenu qu'il avait choisi le suicide par balle, plus « digne », si tant est que ce terme puisse s'appliquer à ce bourreau. Mais tous ont oeuvré pour qu'il n'y ait aucune sépulture connue (opération secrète Archive dans les années 1970) pour empêcher toute glorification ultérieure par une extrême droite nostalgique.

Quel humour sadique que celui de Staline de jeter toutes les puissances internationales dans une chasse à l'homme pendant des décennies après la fin de la Seconde Guerre Mondiale alors que la vérité était fixée et un secret bien gardé au final.
Parce que même si les détails du décès d'Hitler ont longtemps été sujets à suppositions et caution au sein même des services soviétiques, que les témoignages de sa garde rapprochée, obtenue à force de tortures et d'interrogatoires, sont parfois contradictoires, Staline a toujours eu une longueur d'avances sur ses éternels adversaires de l'ouest!

Il est étonnant de constater que les secrets si farouchement gardés par les soviétiques le soit encore aujourd'hui tant cette enquête a été laborieuse et la répugnance des employés russes à coopérer, vive.
Comme cela est cité dans l'ouvrage: « le drapeau a changé mais pas les mentalités. ».

Emportée par mon enthousiasme sur le sujet, j'en oublie de vous dire que j'ai adoré cette lecture riche. Je n'ai pas pu lâcher le bouquin. Tout autant qu'un super bon thriller, c'est dire!
Au-delà de son éclairage sur la légitimité des preuves détenues par les russes dans le dossier sur la mort d'Hitler, les reporters, au travers de la difficulté de leur enquête, nous donne des détails sur l'évolution politique de l'actuelle Russie, à l'intérieur et aussi dans leurs relations internationales depuis la Seconde Guerre Mondiale.
L'enquête est captivante, écrite comme un roman d'espionnage, avec des présomptions, des certitudes et pouf, revirements de situations et on retourne quasiment à la case « départ ». Et les faits historiques relatés dans le décompte des derniers jours d'Hitler apportent une touche de suspense (eh oui, même plus de 70 ans après!) très plaisante.

Cette enquête est passionnante, super bien ficelée entre recherches contemporaines et rappel des faits historiques, et accessible à tous, aux passionnés d'Histoire avec un bon bagage de connaissances comme au simple quidam avide de mystère!
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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73 ans après sa mort, Hitler fascine encore bon nombre de personnes. Alors qu'il avait mené le monde au bord du précipice, il s'est donné la mort en Avril 1945 afin de ne pas être capturé par les troupes soviétiques qui assiégeaient Berlin.
Quand est il vraiment de cette histoire ? En effet, beaucoup de zones d'ombre persistent : pas de cadavres, des témoignages souvent contradictoires et surtout le refus de la part de Staline d'apporter au monde les preuves irréfutables de la mort du dictateur Nazi.
Devant tant interrogations, les pires fantasmes se sont développés au fil des ans, pour certains Hitler aurait rejoint l'Amérique du Sud, pour d'autres le Japon, complotant dans l'ombre à une résurrection du IIIème Reich.
Tout le mérite du livre de Jean Christophe Brissard et Lana Parshina est d'essayer d'apporter une réponse à cette énigme : QU'EST DEVENU LE CORPS D'HITLER?
Après plusieurs années d'effort, ils ont obtenus des autorités Russes d'accéder aux archives secrètes et même aux supposés restes d'Hitler.
Alors, supercherie ou véritable découvertes historiques ?
L'histoire menée comme une enquête policière amène quelques éléments de réponses.
Je suis malgré tout resté sur ma faim. Peut être attendais je des révélations fracassantes qui ne sont jamais venues.
Ce qui ressort de cet ouvrage, c'est cette lutte autour du cadavre d'Hitler. Déjà en 1945, il était au centre d'une guerre interne entre les différents services Russes. Cette guerre n'a pas pris fin avec la chute du communisme. Il reste toujours un enjeu majeur, si bien que je suis tenté de dire, que même mort, Hitler empoisonne toujours autant les relations entre les alliés d'hier.
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J'ai eu l'occasion de lire La mort d'Hitler : Dans les dossiers secret du KGB de Jean-Christophe Brisard et Lana Parshina grâce à net galley et aux éditions Fayard.
Le 8 mai 1945, les nazis capitulent. Hitler s'est suicidé une semaine plus tôt, dans son bunker berlinois. Les Alliés et les Soviétiques fêtent ensemble la victoire.
Voilà pour la version officielle.
Il en existe une autre, plus complexe, plus tortueuse, plus dérangeante...
Alors, Hitler s'est t'il vraiment suicidé en 1945 ?
Pour le savoir, lisez cette passionnante enquête, que j'ai dévoré.
Je précise que j'ai plus l'habitude de lire des romans sur la seconde guerre mondiale que ce genre de document historique.
Mais à ma grande surprise La mort d'Hitler : Dans les dossiers secret du KGB est un ouvrage captivant, très bien ficelé, et tout à fait accessible même pour les personnes comme moi, peu habitué à ce genre.
Il y a quatre parties :
1- L'enquête
2 - Les derniers jours d'Hitler
3 - L'enquête (2)
4 - Conclusions ?
C'est très clair, bien écrit, facile à comprendre et réellement captivant.
Ce document a inspiré le documentaire le mystère de la mort d'Hitler diffusé sur France 2 et que j'ai malheureusement loupé ! Si j'ai l'occasion, il faudra que je le regarde car je pense que les deux doivent être complémentaires :)
Si comme moi vous apprécier les ouvrages sur la seconde guerre mondiale et que la mort d'Hitler vous intrigue, je vous recommande ce document, à qui je mets quatre étoiles.
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8 mai 1945 : les nazis capitulent face à l'armée des Alliés et des Soviétiques. Ils peuvent enfin fêter la victoire. Une semaine plus tôt, le dictateur de l'Allemagne s'est suicidé au sein de son bunker Berlinois. Voilà ce que l'on sait. Mais en réalité, dans l'ombre, sept jours avant, Staline, alors dirigeant de l'URSS, ordonne à ses hommes d'enquêter sur le mystérieux suicide du Führer. La mission ? Récupérer son corps. Chercher le plus de pièce à conviction.

Voici pour le début du livre La mort d'Hitler. Mais comme la suite de son titre l'indique, les deux enquêteurs, Jean-Christophe Brisard et Lana Parshina, ont eu l'immense honneur (surtout chance) d'avoir accès aux archives confidentiels sur la traque et l'enquête concernant les derniers jours du Führer. Ils vont aussi avoir le droit de voir et d'examiner les restes du dictateur. du moins, c'est ce que dit le Kremlin.

Car oui, la réside toute l'enquête des deux journalistes : le Kremlin a-t-il réellement une preuve de la mort d'Hitler ? Possède-t-il des restes humains ? Car si dans la foulée de la chute du régime Nazi, Staline n'a eu cesse d'exposer les restes de Goebbels (Ministre de la propagande), rien sur Hitler. Ainsi, le mystère plane toujours depuis plusieurs décennies, les preuves étant jugées par certains incomplètes.

Pendant les trois cents pages du livre, Brisard et Parshina vont ainsi lutter contre une administration russe réticente, austère, pour avoir accès aux archives. Dans un contexte ou les relations sont plus que tendus et où les blocs est/ouest ont tendance à ressurgir. Ils vont ainsi pouvoir examiner les pièces à conviction, mais surtout avoir accès à des éléments très précieux concernant les derniers jours d'Hitler, la capture par la suite des officiers nazis, mais aussi pour en apprendre plus sur les derniers instants du régime.

Car c'est là que réside la force de l'enquête. Car si (SPOILLLLLEEEERRRRR !!!!!!), malgré les analyses des restes d'Hitler (dents, crânes, … Rappelons que le scientifique français n'a pas pu les toucher, seulement observer) montrent qu'il s'agit très probablement de Hitler…. et bien cela n'est que probable ! Cette enquête n'apporte ainsi aucune preuve définitive sur si oui ou non Hitler est bien réellement mort en 1945.

On peut ainsi s'en faire une idée sur les archives que les journalistes ont pu consulter. On en vient à douter parfois de la véracité des papiers russes, on suit avec tension les journalistes qui parfois se font refouler des institutions, on espère avoir accès avec eux aux documents…. Bref, une enquête digne d'un polar et qui en apprend énormément sur les ce que fut la fin du Reich.

Cette enquête fascinante, digne d'un roman d'espionnage, met un point final aux ultimes questionnements sur la mort d'Hitler.



Conclusion
Au final, le livre porte bien son nom ! La mort d'Hitler, dans les dossiers secrets du KGB est bien plus une plongée dans les archives soviétiques qu'une résolution totale du mystère Hitler. A chacun de se faire son avis avec les documents qu'ont récolté les journalistes. Ce livre a surtout le mérite de poser une question plus qu'intéressante : pourquoi, encore maintenant, les Russes font-ils tant de mystère sur la fin d'Hitler ? Pourquoi ne montrent-ils pas tout ? Pourquoi ne décalcifient-ils pas les dossiers pour montrer la vérité ? Et si, contrairement à ce que peut dire le Kremlin, les Russes possédait le corps d'Hitler ? Tant de questions qui restent, certainement pour des dizaines d'années encore, sans réponse…
Lien : http://leschamoureuxdeslivre..
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La mort d'Hitler suscite toutes les interrogations: est-il mort dans le bunker de la Chancellerie ?? Dans quelles circonstances ? Où sont les restes ??Ou sont les preuves ???
C'est cette énigme que les journalistes J.CBrisard, un Français et sa collègue Russo-américaine Lana Parshina ont essayé de résoudre en allant à la pêche aux preuves dans les caves à secrets russes....
Il fallait du courage ..et de la patience !!!
Pourquoi chez les Russes ? Parce qu'ils ont mis la main en 1944 sr deux cadavres carbonisés dans les jardins de la Chancellerie, qu'ils les ont escamotés, fait disparaître (sauf des dents et un morceau de calotte crânienne) .Non contents de ça, ils se sont également emparés du valet de chambre d'Hitler, de son pilote personnel, et de son aide de camp. Interrogés, torturés, condamnés à 25 dans les oubliettes soviétiques, ils ont dû témoigner sur la mort du tyran nazi, Staline n'ayant qu'une crainte: qu'il soit vivant et se soit échappé par une des filières d'évasion des nazis.
Et tout ceci sans jamais tenir les Alliés au courant...
A ce tableau compliqué s'ajoute la guerre interne entre services de renseignements soviétiques, chacun détenant une partie de la vérité et tirant allègrement dans les pattes du voisin !!!
Résultat: des preuves que personne n'a vues (théoriquement), des témoins qui se contredisent, et un pan de silence jeté sur cette affaire, soigneusement enfouie dans les méandres du pouvoir.
Nos journalistes nous comptent par le menu comment ils ont réussi la performance d'être plus têtus que les fonctionnaires russes, ce qui leur a permis de fouiller dans les archives secrètes de deux services (secrets) , et de contempler la présumée calotte crânienne d'Hitler, ses dents ainsi que celles de sa femme, Eva Braun.
Enfin, ils réussiront à faire analyser, enfin, visuellement (officiellement) ces reliques par le célèbre légiste J.M Charlier.
Je ne donnerai pas la conclusion finale...
Ce livre nous fait revivre avec talent les derniers jours du Reich et surtout la quête impossible des deux auteurs. C'est un vrai roman et on n'a aucune peine non plus à se plonger dans l'atmosphère glaciale des alentours du Kremlin .
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critiques presse (2)
Lexpress
04 avril 2018
Une passionnante enquête sur la mort du tyran, basée sur les archives secrètes des services secrets soviétiques.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LePoint
22 mars 2018
Deux historiens français et russe ont poussé les portes des archives soviétiques pour retrouver et interroger ce qu'il reste d'un embarrassant cadavre.
Lire la critique sur le site : LePoint
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Celui qui contrôle les archives peut réécrire l'histoire, l'officielle, et briser d'un claquement de doigts les légendes qui l'ont façonnée. Comment s'étonner que, contrairement à de nombreux Etats, la Russie continue de verrouiller son passé ? Aujourd'hui, les conditions pour une consultation de ses archives restent basiques : d'un côté, il y a les documents ouverts et, de l'autre, ceux qui peuvent porter atteinte aux intérêts supérieurs de l'Etat. Ces derniers rentrent dans la catégorie "sensibles" et ne peuvent être consultés sans une autorisation expresse du plus haut sommet du régime. Autant dire quasiment jamais.
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Comme le dit l'adage que l'on attribue au médecin et philosophe suisse Paracelse, "toute chose est un toxique et rien n'existe sans toxicité, seul le dosage fait qu'une chose n'est pas un poison".
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Du jamais vu. En tout, cent trente-cinq documents inédits sont dévoilés au grand public. Autant de pièces que les historiens de la Seconde Guerre mondiale rêvent de consulter depuis un demi-siècle. Des rapports des services secrets soviétiques classés "top secret", des photos, des objets...
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Le vocabulaire met en valeur l'action, la volonté, la force. Comme un roulement de tambour, les mots sont répétés, martelés avec emphase et agressivité. Des mots qui permettent de banaliser les pires actes de cruauté. Ainsi, on ne tue pas, on "purifie". Dans les camps de concentration, on n'élimine pas des êtres vivants mais des "unités" Quant au génocide juif, il devient juste une "solution finale".
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Lana Peters était une vieille dame sans le sou, oubliée de tous dans un hospice pour nécessiteux au fin fond des États-Unis. Elle se cachait et refusait de parler aux journalistes. Encore moins d'évoquer la mémoire de son père, un certain Joseph Vissarionovitch Djougachvili, dit Staline. Lana Peters s'appelait en fait Svetlana Staline, et était la fille préférée du dictateur.
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