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🦃🏞Cinquième tome de la série Jim Qwilleran.🏞🦃


Jim Qwilleran est FA-TI-GUE ! 😓Il n'en peut plus de pondre des chroniques sur des sujets qu'il ne maitrise pas ; de voir ses talents de reporter de guerre et spécialiste de faits divers jetés à la poubelle par son patron pour le propulser rédacteur d'un sujet sans queue ni tête. Non et non ! Pour Jim, il est tant de souffler et de prendre quelques semaines de congés loin de la ville et rien de mieux que d'avoir une tante qui vous propose un chalet onéreux dans une bourgade loin du bruit et des dangers de la ville.
Belle utopie... surtout lorsque Jim parti à la pèche attrape un cadavre, que son voisin ancien shérif est assassiné et que ses chats semblent être pris pour cible...
Il n'y a pas à dire... la campagne c'est le RÊVE !🙄


Ce nouvel opus dénote un peu par rapport aux précédents et annonce un virage déterminant dans la suite de la série. Jim Qwilleran n'a plus le rôle de chroniqueur du Daily Fluxion. Il est un simple vacancier parti se reposer dans un lieu "tranquille". Cette nouvelle aventure permet de faire la transition avec ce nouvel environnement, Pickax petit bourg financièrement appauvri qui possède des mines désaffectées, des restaurants miteux, un élevage de dinde, une prison... Ne parlons pas du temps qui oscille entre vent et brouillard, sur les relents nauséabonds sur la plage lorsque les poissons viennent s'y échouer... Ah non, plus idyllique, vous ne trouverez pas.


Le chat qui jouait Brahms est plutôt sympa en raison du fossé entre un Jim Qwilleran citadin catapulté dans un monde rural. L'auteure prend un malin plaisir à ridiculiser notre pauvre journaliste avec un réveil en pleine nuit où des pas sont entendus sur le toit ; un appel à la police après avoir entendu un cri dans la nuit... C'est drôle et très visuel. Heureusement, le personnage de Yom-Yom est là pour rehausser le niveau avec son mal du transport occasionnant des cris à fendre les oreilles. Quant à Koko, fidèle à lui-même, il rehausse le niveau en résolvant un meurtre et ... si en plus il peut éloigner son maître des femmes, c'est BONUS !😈


Pour conclure, une nouvelle aventure qui sonne le début de nouvelles aventures dans un nouveau cadre. Reste à découvrir si ce cadre sera aussi exaltant pour la suite... 😊
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Bizarrerie pour ce cinquième roman de la série : Qwilleran a toujours le même âge, l'histoire se situe dans la continuité de la précédente, le chat qui voyait rouge, et pourtant, nous voici catapultés des années soixante aux années 80 ! le fait est que l'auteur, après avoir écrit les trois premiers opus, s'était interrompue pendant une vingtaine d'années ; il était donc, j'imagine, plus simple pour elle d'utiliser l'époque contemporaine pour lui servir de décor. Nous passerons sur cette petite fantaisie que nous qualifierons de licence poétique, d'autant qu'Agatha Christie ne s'était pas gênée, en son temps, pour faire pire.

Ici, Qwilleran se rend dans le comté de Moose, qui deviendra fameux par la suite, pour prendre des vacances bien méritées auprès d'une vieille amie de sa mère. Mais bien entendu, comme par fait exprès, il sera confronté, même dans ce cadre apparemment idyllique, aux crimes les plus abjects.

Bon, on commence forcément à se dire que les ficelles sont un peu grossières : où que passe notre journaliste, des crimes ont lieu, et, comme d'habitude, il n'est pas fichu de démêler le vrai du faux sans l'intervention de ses chats. En revanche, la difficulté que va connaître l'homme de la ville à s'acclimater à la campagne donne lieu à quelques traits d'humour assez bien vus. Dommage, peut-être, que cette veine n'ait pas été davantage exploitée.

La particularité de ce roman, qui sera un tournant dans l'histoire de Qwilleran, c'est la tristesse qu'elle distille, à travers un personnage de criminel attachant et plus sympathique que sa victime. C'est un des rares moments de la série à l'atmosphère aussi mélancolique. Pour le reste, on retrouve ses petites habitudes : on n'est surpris ni dans un sens ni dans l'autre.
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Encore une jolie histoire de Qwilleran et de ses 2 siamois. Rien d'exceptionnel à dire sur cette série sauf que je la trouve sympathique et que j'aime en lire un tome de temps en temps. C'est rafraîchissant.
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Jim Qwilleram et un monsieur entre deux âges qui tient la critique gastronomique d'un journal de Chicago. Célibataire et corpulent, il élève un couple de chat siamois Koko et Yom Yom qui croit-il, l'aide dans ses enquêtes.
Car des enquêtes, il en pleut autour du cher homme il ne peut emménager où que ce soit sans que les meurtriers se déchaînent autour.
Mais heureusement les Siamois sont là. Une oreille dressée, un frémissement de moustache, une attitude inhabituelle de la jante féline finissent toujours par le mettre sur la piste de l'assassin.
Voici un roman charmant au ton un peu vieillot et un poil suranné qui donne tout son charme à ce récit que l'on lit avec amusement.
À noter aussi l'humour en demi-teinte qui nous enchante et donne un petit côté ludique aux enquêtes de notre critique gastronomique et de ses deux matous.
Lien : https://collectifpolar.com/
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Lorsqu'on lit assidûment les "Le chat qui...", on a l'impression qu'ils se ressemblent un peu tous : un crime est commis et, pendant que Qwilleran écrit des chroniques, dîne au restaurant, furète dans les brocantes et boit de l'eau de Seltz, son chat Koko fait tomber des objets, le regarde en louchant et sème des indices qui prendront tout leur sens, une fois l'affaire résolue. Peu importe : ce n'est pas pour le suspens qu'on lit les "Le chat qui..." mais pour leur atmosphère si particulière.
Ce volume est un peu à part dans la série et mérite le détour. En effet, il se situe à un moment charnière de l'histoire de Qwilleran et de ses deux compagnons félins : celui où le journaliste du Pays d'En Bas devient l'homme le plus riche du comté de Moose, à 600 kms au nord de partout. C'est donc un plaisir de découvrir comment cela s'est passé et ajoute un intérêt supplémentaire à la lecture. Si on lit la série dans le désordre, on ne peut s'empêcher de chercher à repérer les personnages ou les lieux qu'on a déjà croisés dans d'autres tomes.

En résumé : La lecture d'un "Le chat qui..." est toujours, pour moi, un petit moment de récréation, aussi agréable qu'une tasse de thé avec une pâtisserie. Celui-ci m'a particulièrement plu puisqu'il met en scène la découverte de Pickax et du comté de Moose par mon journaliste ailurophile préféré.
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Sur toute la série des chats qui…, ce volume joue en quelque sorte le rôle d'élément perturbateur.

En effet, les 4 premiers titres permettent aux lecteurs le personnage de Jim Qwilleran. Sa personnalité, son rapport à son travail, son côté fouineur, l'arrivée des chats dans sa vie, sa situation personnelle, ses liens avec les femmes…

Celui-ci nous présente le premier personnage atypique du comté de Moose, Tante Fanny, et place Qwill dans la situation d'héritier des milliards de sa tante, et l'obligation pour lui de vivre au moins cinq dans cette région du Pays d'en Haut. de là découleront tous les autres volumes de la série.
Mais reprenons ce titre. Qwill se sent d'humeur morose dans sa ville du Middle West, et décide de partir trois mois dans une cabane dans les bois près de sa ‘'tante'' pour écrire un livre. Mais rien ne se passe comme prévu. Il fait la connaissance d'un monde qui lui parait étrange. La devise semble être ‘'omnes sciunt''. Tout le monde savait, ‘'mais personne ne voulait secouer le cocotier. Il fallait un étranger comme [lui] pour mettre le pied sur la fourmilière''.

Mais tout le monde savait quoi ? Car l'air de rien, il se passe des choses pas très claires dans ce pays candide à la frontière canadienne : trafic de drogue, d'alcool, de prisonniers évadés….Qwill a du pain sur la planche.
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Comme d'habitude, retrouver Qwill, Koko et Yom Yom est un véritable plaisir et d'autant plus dans l'épisode qui va faire la fortune de Qwill et changer sa vie du tout au tout.
Comme je lis les épisodes dans le désordre, ce fut un vrai plaisir de lire celui-ci où Qwill renoue avec tante Fanny, l'amie de sa mère qu'il n'avait pas revue depuis des années.
Naturellement, comme à chaque fois qu'il va quelque part, le mystère et les embrouilles sont au rendez-vous, même dans un village où il n'y a, soit disant, jamais de crime…
Encore un épisode très agréable, plein de rebondissements et de suspens.
En bref : à lire !
Lien : http://voxpopuleek.fr/2014/0..
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Le roman de la série que j'ai préféré jusqu'à présent. le rôle des chats est toujours bien présent mais je trouve que la participation de Koko à l'enquête de Qwil est moins saugrenue que dans les romans précédants.
Qwil et ses chats sont attachants. Qwil voue un véritable amour à ses petites bêtes qui l'accompagnent dans tous ses déplacements. J'ai aussi apprécié l'humour qui parsème ce petit roman d'ici de là.
Lien : http://jenta3.blogs.dhnet.be..
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Premier livre que je découvre de cet auteur, il met en scène un journaliste et ses deux chats siamois, dont l'un semble pourvu d'un flair incroyable pour les enquêtes criminelles. Lorsque des mystères apparaissent, puis qu'un crime est commis, il suffit que Koko fasse tomber un objet particulier pour mettre son maître sur la bonne voie ! Très facile et rapide à lire, j'ai lu ce roman en une journée. J'ai trouvé l'intrigue un peu longue à être mise en place, mais les personnages sont plutôt attachants. Pas de gros coup de coeur pour ce roman, mais je pense que je lirai malgré tout un autre volume de cette "série" policière afin de m'en faire un avis plus tranché.
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Les personnages sont attachants mais l'auteur n'arrive pas à rendre véritablement crédible les talents d'inspecteur qu'elle attribue au chat du journaliste enquêteur. A lire les autres critiques qui semblent dire que c'est le meilleur de la série, je ne pense pas que je vais approfondir cet auteur malgré mon amour passionné pour la gent féline.
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Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

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