Le commissaire de ce roman, surnommé le Roi, a de bonnes chances de figurer parmi les plus grands de son espèce, par sa taille hors du commun. Pour sa bêtise il ne risque pas vraiment la concurrence, à part peut-être celle de Rantanplan, lequel est drôlement plus rigolo. Trop, c'est trop. J'ai renoncé à la lecture après 100 pages. Je comprends mieux pourquoi ce polar paru il y a plusieurs années n'a pas attiré les lecteurs (de Babélio) jusque-là.
Commenter  J’apprécie         140