Cassandra, tome 2 : Cassandra et ses soeurs

Le premier était pas trop mal..., le second bof bof.
J'ai vraiment un soucis l'écriture, que je trouve peu recherchée. C'est basique et ça manque cruede nuances et même de vocabulaire.
C'est très naïf, peut-être du à l'époque à laquelle ce roman se déroule.
Pas certaine de lire le 3ème tome.

Les quatre soeurs Blake sont de nouveau réunies, loin de l'infâme femme de leur oncle et de ses griffes. La hasard réunit Cassandra et son ancien amour Reece qui l'acceptera malgré sa condition précaire tandis que ses soeurs trouvent chacune une place de domestique dans un domaine de la colonie sans trop s'éloigner les unes des autres. Mais dans le Lancashire, les rebondissements ne s'arrêtent plus et l'Angleterre s'apprête à frapper de nouveau aux portes des soeurs Blake.
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Je reste peu souvent sur un échec, et je préfère essayer plusieurs fois quelque chose avant de décréter que je n'aime pas. C'est donc le deuxième livre que je lis d'Anna Jacobs pour lui laisser une chance de m'aider à comprendre comment elle a vendu des millions de livres à travers le monde. Malheureusement pour moi, je n'ai toujours pas compris. Je pensais vraiment que j'étais passée à côté de "Les pionnières" que je n'avais pas su apprécier du tout, mais non, le problème vient bien de l'écriture en elle-même. Anna Jacobs est née en 1941, et pourtant, j'ai l'impression de lire une adolescente. Il n'y a aucune recherche, un manque de vocabulaire consternant pour une autrice de plus de quarante romans. On lit les mêmes mots, voire mêmes phrases répétées à seulement quelques lignes parfois. le récit est empreint d'une naïveté adolescente déconcertante et en perd toute cohérence et crédibilité.
C'est dommage, je suis déçue car l'Australie du XIXe est un défi formidable pour les auteurs, époque du renouveau, avec un air d'American Dream version bush, il y a tant de possibilités.
Anna Jacobs et moi arrêtons là notre route, j'ai profité d'une place vacante chez @thebooktrotteuses en pensant y voir un signe, je sais désormais que si d'aventure je croise à nouveau l'autrice sur mon chemin, je la laisserai à un public qui saura mieux l'apprécier.