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Critique de verobleue
J'ai déjà remarqué ce genre de roman aux Etats-Unis sur des groupes de femmes exerçant une passion commune, que ce soit le tricot, la couture, le patchwork.
En découvrant ce petit livre dans le bac des livres voyageurs de ma gare, j'étais assez contente d'avoir l'occasion d'en découvrir un exemplaire. Je suis fan de tricot aussi.
« D'une vie à l'autre » est le deuxième tome de la série du Club des Tricoteuses. le livre en lui-même est très sympathique, un bel exemple de littérature féminine, sympa, léger et qui se lit rapidement.
Malgré un don pour la cuisine, Dakota se sent obligée de reprendre le magasin de tricot de sa maman, récemment décédée. Et surtout, parce qu'il existe un groupe lié à ce magasin : le club des tricoteuses du vendredi soir. Effectivement, Dakota et 6 autres femmes âgées de 18 à 78 ans viennent se réfugier dans la boutique pour papoter et bien sûr tricoter !
J'ai aimé l'idée du club où des femmes se rassemblent pour raconter les derniers potins, mais dans ce livre, on suit plus volontiers leur histoire personnelle individuelle. Il est dommage que les réunions du club soient si rares et ne soient pas mieux présentées et commentées.
J'ai eu quelques difficultés à me repérer dans les personnages : les prénoms ne me sont pas familiers. J'ai eu tendance à mélanger Dakota et Darwin, Cecilia et Catherine. Sans parler des conjoints. Dommage que cela ne m'ai pas donné des envies de tricot. Parce il n'y a aucun modèle de tricot, ni de point, on en parle à peine à vrai dire.
Par contre, pour les gourmandes il y a des recettes à la fin.
Au final, j'attendais trop de cette lecture et j'en suis ressortie déçue...
En découvrant ce petit livre dans le bac des livres voyageurs de ma gare, j'étais assez contente d'avoir l'occasion d'en découvrir un exemplaire. Je suis fan de tricot aussi.
« D'une vie à l'autre » est le deuxième tome de la série du Club des Tricoteuses. le livre en lui-même est très sympathique, un bel exemple de littérature féminine, sympa, léger et qui se lit rapidement.
Malgré un don pour la cuisine, Dakota se sent obligée de reprendre le magasin de tricot de sa maman, récemment décédée. Et surtout, parce qu'il existe un groupe lié à ce magasin : le club des tricoteuses du vendredi soir. Effectivement, Dakota et 6 autres femmes âgées de 18 à 78 ans viennent se réfugier dans la boutique pour papoter et bien sûr tricoter !
J'ai aimé l'idée du club où des femmes se rassemblent pour raconter les derniers potins, mais dans ce livre, on suit plus volontiers leur histoire personnelle individuelle. Il est dommage que les réunions du club soient si rares et ne soient pas mieux présentées et commentées.
J'ai eu quelques difficultés à me repérer dans les personnages : les prénoms ne me sont pas familiers. J'ai eu tendance à mélanger Dakota et Darwin, Cecilia et Catherine. Sans parler des conjoints. Dommage que cela ne m'ai pas donné des envies de tricot. Parce il n'y a aucun modèle de tricot, ni de point, on en parle à peine à vrai dire.
Par contre, pour les gourmandes il y a des recettes à la fin.
Au final, j'attendais trop de cette lecture et j'en suis ressortie déçue...
