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EAN : 9782352884699
368 pages
City Editions (06/10/2010)
2.91/5   123 notes
Résumé :
L'auteure s'appelle Kate, pas Kathleen, voir la couverture du livre.
Elles sont sept. Sept femmes de 18 à 78 ans vivant à New York. Le vendredi soir, elles se retrouvent pour tricoter...et parler de leurs vies.
Il y a Catherine qui cherche l'amour après un divorce. Lucy, elle, doit élever seule sa fille tout en s'occupant de sa mère âgée. Darwin garde l'espoir de fonder une famille. Et puis il y a Anita qui, à 78 ans, reçoit une demande en mariage que ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
2,91

sur 123 notes
J'ai emprunté ce livre à la bibliothèque de m'a commune sans en avoir jamais entendu parler, ni n'avoir déjà lu d'autres écrits de cette autrice. le titre du livre et son résumé m'ont attirée.

Cette lecture a été pour moi une grosse déception. J'ai abandonné au 2/3 du roman car je n'en voyais pas le bout et que ma lecture était finalement déplaisante.

J'ai trouvé les personnages fades, sans relief et ce qui leur arrive n'a pas du tout résonné en moi. Je me suis beaucoup ennuyée, j'ai trouvé qu'il ne se passait pas grand-chose et que cela ne valait pas les presque 400 pages que le roman compte.

Je n'ai pas non plus accroché avec la plume de l'autrice car souvent je me suis perdue entre les personnages car les transitions n'étaient ni claires, ni logiques à mon sens. Je ne sais pas si le problème vient de l'écriture en elle-même ou bien de la traduction, mais ça ne l'a pas du tout fait, d'autant qu'il y a quand même beaucoup de personnages.

Je n'aime pas abandonner une lecture, mais je n'aime pas non plus perdre du temps à lire un roman qui ne me plaît pas alors qu'il y a tant d'autres belles découvertes qui m'attendent.
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Présent depuis quelques mois dans ma PAL, ce livre m'a été désigné par Roulae le mois passé. Voilà seulement que je le termine... Et mon impression est mitigée.

En effet, je n'avais pas d'attente particulière vis-à-vis de ce roman, si ce n'est de passer un bon moment aux côtés de 7 amies. Et ce n'est pas exactement ce que j'ai trouvé.

En effet, on nous annonce 7 personnages, mais il n'y en a qu'une partie qui a vraiment une place importante dans l'histoire. Les autres sont plus ou moins laissées pour compte.

Mais d'un autre côté, j'ai envie de dire : "heureusement que tous les personnages n'ont pas eu la même place". Parce que 7 protagonistes, c'est beaucoup et il faut que l'auteur parvienne à gérer cette difficulté, à faire en sorte que ses lecteurs ne s'y perdent pas. Et je ne trouve pas que Kate Jacobs ait passé cette épreuve haut la main car au début, j'ai éprouvé quelques difficultés à m'y retrouver dans tous ces noms, dans qui fait quoi et à qui il arrive quoi.

Dans les personnages, il y en a bien sûr qui m'ont plus plu que d'autres. C'est le cas d'Anita, de Dakota et de Darwin. Elles m'ont touchée et c'est d'elles que je me suis sentie la plus proche, pas forcément grâce à leur âge (trois générations sont représentées avec ces trois personnages), plutôt grâce à une sympathie que j'ai ressentie envers elles, pour certaines grâce à des ressemblances entre leurs vies et la mienne.

Par ailleurs, je pense qu'il aurait été plus judicieux de consacrer un tome à quelques personnages et un second pour les autres. Cela aurait sans doute permis que les personnalités soient plus travaillées et plus développées.

Là où j'ai eu plus de mal, c'est avec l'histoire que j'ai trouvée extrêmement banale au départ (et plus ou moins longue selon les moments) et finalement nettement moins ordinaire mais très improbable dans la seconde moitié du roman.

Pour moi, il fallait choisir : soit l'histoire reste très "simple" et on met l'accent sur des caractères très travaillé, soit on travaille un peu moins sur les personnages et on laisse la place à une histoire où il y a des rebondissements, des choses extraordinaires,... par lesquels les lecteurs seront transportés. Eventuellement, il peut bien sûr y avoir des personnages très développés avec une super histoire. Mais pas le contraire, sinon il reste quoi ? Et ça ne me convient pas non plus quand il y a un peu de tout et que l'ensemble forme quelque chose d'assez irrégulier. Mais ce n'est évidemment que mon avis.

Toutefois, je retiendrai l'optimisme qui se dégage de l'histoire et qui fait que mon impression globale n'est pas trop mauvaise.

En quelques mots :

Un roman sympa mais qui manque de régularité. L'histoire passe de banale à improbable, il y a beaucoup trop de personnages. J'ai toutefois apprécié trois d'entre eux qui ont fait écho en moi, d'une manière ou d'une autre. Malgré un avis général en demi-teinte, je retiens tout de même l'optimisme qui se dégage de cette jolie histoire.
Lien : http://books-all-around-etc...
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Elles sont sept. Sept femmes de 18 à 78 ans vivant à New-York. le vendredi soir, elles se retrouvent pour tricoter... et parler de leurs vies...

Ce n'est pas vraiment le tricot qui m'a attiré vers cette lecture mais plutôt la rencontre quotidienne de ces femmes autour d'une passion commune. Il y a plusieurs années, j'avais adoré un film qui s'appellait "Le patchwork de la vie" où des femmes discutaient de leurs vies respectives autour de la confection d'un patchwork. Kate Jacobs, ici, nous fait découvrir l'univers de sept femmes plus où moins passionnées par le tricot mais surtout soudées par une belle amitié. Chaque année, elles confectionnent des couvertures pour une association afin de rendre hommage à leur amie décédée, Giorgia, l'ancienne propriétaire de la boutique "Walker & Fille". Un petit club sans grandes prétentions mais qui a le mérite de leur apporter beaucoup. Au fil des rendez-vous, ces sept femmes sont devenues de vraies amies, une famille de coeur qui comble la solitude de certaines ou les doutes d'une autre sur son futur rôle de mère. Je trouve d'ailleurs dommage que l'auteure n'est pas conscacrée plus de pages à ces réunions du club des tricoteuses. Elle s'attarde plus sur la vie de cinq de ces femmes : Catherine, Anita, Darwin, Lucy et Dakota. Peri et KC, quant à elles, sont un peu plus en second plan. Cependant, je me suis attachée, petit à petit, à leurs histoires, à certaine personnalité et surtout à cette belle amitié qui les uni au-delà de ce fameux club. À la fin de ma lecture, j'avais un peu l'impression de faire partie de ce petit groupe bien sympathique ou chacune donne un peu de soi avec sincérité. Une lecture qui m'a fait du bien après une semaine tristounette.
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Elles sont sept. Sept femmes à se réunir le vendredi soir pour tricoter, dans la boutique de laine créée par Georgia Walker, décédée d'un cancer il y a cinq ans : sa fille Dakota, qui fête ses dix-huit ans et rêve d'indépendance, Darwin, enceinte de jumeaux, Lucy, mère célibataire débordée, Anita, soixante-dix-huit ans, qui rêve de retrouver sa petite soeur, Catherine et KC, célibataires endurcies, et Peri, jeune créatrice de sacs à mains.

Ne vous fiez pas au titre : de tricot, il n'est guère question dans ce roman touffu, un peu fourre-tout. le « Club » ne se réunit pratiquement jamais, et en tout cas pas pour tricoter, dans les près de cinq cent pages du livre. Ce n'est qu'un prétexte pour justifier les liens entre les sept personnages principaux de cette jolie histoire d'amitié, dans laquelle on se perd parfois un peu, tant l'auteure aime sauter d'un personnage à l'autre, et du coq à l'âne. Elle n'hésite pas à sacrifier un peu au passage ses héroïnes, qui demeurent trop superficielles, et son intrigue, où elle (ab)use de facilités. Mais elle crée une atmosphère très sympathique, pleine de rebondissements, d'humour et de vie.

Un roman américain sans prétentions littéraires, mais pas sans charme.
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Dakota reprend le magasin de tricot de sa mère, récemment décédée. Malgré un don pour la cuisine, Dakota se sent forcé de reprendre le flambeau, surtout qu'il existe un groupe spécial lié à ce magasin : le club des tricoteuses du vendredi soir. Effectivement, Dakota et 6 autres femmes âgés de 18 à 78 ans viennent se réfugier dans la boutique pour papoter et bien sûr tricoter !

Bon alors je vous préviens tout de suite, j'ai lu ce livre au mois de mars, j'ai égaré mes notes et depuis j'ai beau faire des efforts de mémoire, il ne me reste que quelques détails ... Je me souviens avoir eu besoin d'une lecture détente et ce livre me semblait idéal... mais je me souviens aussi que j'ai passé du temps à le lire (plus d'une semaine c'est trop long pour moi...) et que l'histoire me semblait assez lente et longue !
J'avais aimé l'idée de club où des femmes se rassemblent pour raconter les derniers potins, mais ici on suit plus leur histoire individuellement, je trouve cela dommage de ne pas s'etre plus focalisé sur ce club...

Bon en point positif, j'aime beaucoup la couverture... c'est déjà pas mal ! ;)

Au final, je pense que j'attendais trop de cette lecture et j'en suis ressortie un peu déçue...

Lien : http://lespetitslivresdelizo..
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Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
Le simple fait de prononcer ce mot "soeur" impliquait une proximité, un lien inébranlable. Etait-ce vrai ? Suffit-il d'avoir les mêmes parents, par les liens du sang ou du mariage, pour avoir une personnalité complémentaire ? Apprécier les mêmes activités ? Avoir les mêmes idées politiques ?
Anita savait que les soeurs étaient des sortes d'étrangers familiers. Un simple regard suffisait à les informer sur l'humeur de l'autre; elles acceptaient toutes les petites manies qui constituent les habitudes d'une personne et, portant, même avec ce savoir secret, elles ne posaient jamais de questions sur les espoirs et les rêves de l'autre.
On part souvant du principe que ces liens familiaux annulent le besoin de devenir de véritable amis. Anita savait que cela avait été l'une de ses erreurs. Une erreur qu'elle voulait réparer. (231)
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La paternité avait certes de bons côtés, beaucoup de bons côtés, mais l’homme avait tendance à passer au second plan dans la réorganisation qu’impliquait l’arrivée d’un bébé. En tant que docteur, il comprenait parfaitement : c’est la femme qui subissait le stress physique, qui endurait les douleurs du travail. Mais, en tant que père, il aurait aimé un peu plus de compassion de la part du reste du monde en général. Moins de tapes chaleureuses sur les épaules et plus de propositions pour l’aider à nettoyer le sol.
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Le chagrin qu’ils partageaient à propos de l’amie et de l’amante qu’ils avaient perdue était toujours présent comme un petit caillou dans la chaussure, impossible à enlever. Ils sentaient constamment sa pression, son frottement, sa blessure. Et pourtant, cette gêne avait fini par devenir rassurante par sa familiarité. Ils la reconnaissaient en eux et l’acceptaient. Ce qui leur procurait au bout du compte un certain soulagement.
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Le pire chez ces enfants qui grandissaient et prenaient de l'âge, c'est qu'ils lui rappelaient qu'elle vieillissait...

...je ne crois pas que tu sois sénile. Mais je vais te donner un truc pour tester si quelqu'un le pense : fais quelque chose de vraiment outrancier, de grossier même, et regarde si les gens continuent à te traiter avec gentillesse. Si c'est le cas, tu es officiellement une vieille bique. (35)
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DEBUTANTE
...Qu'est-ce qui vous pousse à continuer alors ? La certitude qu'un jour vous serez comme elles : élégante, compétente, confiante, expérimentée. Et vous avez raison. Tout ce dont vous avez besoin, c'est d'une bonne dose d'enthousiasme. D'un peu de courage. Et, toujours, de beaucoup d'humour. (7)

FACILE
IL suffit juste d'apprendre. Allez-y doucement. Ne vous en faites pas. Vous finirez par y arriver. Mais, pour l'instant, essayez encore. Faites bien attention et résistez à la tentation de vous lancer dans un projet pour lequel vous n'êtes pas prête. Parlez moins. Ecoutez plus. (111)
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