L'inspecteur Higgins est le personnage central de ces enquêtes policières, mais il est bravement secondé par le superintendant Scott Marlow de Scotland Yard ainsi que par sa gouvernante Mary, un sacré numéro elle aussi.
Le premier ne se sépare jamais de son carnet en cuir noir et d'un crayon de bois, la seconde ne vit que pour assurer le bien-être gastronomique d'Higgins, et le troisième a pour rêve ultime de rencontrer la reine.
Il aura fallu attendre le 29ème volume de cette série pour que l'intrigue soit entièrement consacrée à cette dernière, car justement, la reine va être l'objet d'une tentative de meurtre.
Le roman est donc véritablement haletant, Scott Marlow et Higgins vont devoir la jouer fine et tout faire pour sauver la reine Elisabeth II.
J'ai bien aimé ce volume qui nous entraîne dans le milieu des terroristes et nous permet de visiter Buckingham Palace.
La fin est originale et inattendue.
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Trouvé dans une boite à livres, le pire roman rencontré , écrit par un ordinateur à mon avis , plat , redondant , ridicule, s'écoutant écrire ..je crois aussi qu'aucun des journalistes prononçant des critiques dithyrambiques n'a lu cette très médiocre prose d'un auteur probablement acheté par XO pour son catalogue ...pour rendre service je le brûlerai tel pepe carvahlo un vrai détective issu d'un réel talent d'écrivain ...
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En Angleterre, et malgré le Brexit, l’investissement dans la pierre reste une valeur sûre. De la friche industrielle à l’immeuble de luxe, je ne m’interdis rien. Bien exploité, n’importe quel pouce de l’agglomération londonienne vaut de l’or.
Y a un âge où on raccroche. Moi, j’en ai eu marre d’entendre les balles siffler, de roupiller à la dure et de manger des saloperies. À la longue, on a mal partout et on se demande si on sert à quelque chose. C’est marrant, depuis gamin, mon trip, c’est le théâtre ! Pas les pièces, qui me cassent les oreilles, mais les costumes. Et l’opéra, c’est pareil. J’écoute pas, je regarde. Et souvent, c’est nul ! Moi, je veux du brillant, de l’éclatant, du somptueux ! Et j’ai les talents d’une couturière. J’ai appris sur le tas, dans le bled, où il faut repriser ses fringues.
Les gens s’encrassent et ne se drainent pas. Un drame planétaire… Et quel médecin s’en préoccupe ? On va droit dans le mur, inspecteur. Le capitalisme nous dévore, on nous tond la laine sur le dos, et personne ne se révolte. Des discours, du baratin, de la démocratie en trompe-l’œil… Et rien de concret ! Enfin, le bon peuple s’en moque. Son seul désir, c’est d’être connecté. Malheur aux retardataires, ils seront éliminés.
Un homme, un vrai, à l’époque des minets et des castrés ! Le type sans foi ni loi, tellement attirant, qui ne vous promettait pas une petite famille peinarde. Honnête, dans son genre, et je n’ai à m’en prendre qu’à moi-même. Côté sexe, le paradis. Ça m’a aveuglée. Je lui ai proposé de séjourner ici et de jouer au couple campagnard. Pas son truc. Il n’est resté qu’une nuit, s’est levé et a décampé avec mon Alfa Romeo.
D’après un ancien employé de la cour, pénétrer à Buckingham ne présente guère de difficultés. Un moyen parmi d’autres : s’habiller comme un domestique, emprunter l’une des nombreuses camionnettes assurant les livraisons de produits divers, traverser d’un air décontracté les pièces réservées aux gens de maison, utiliser un ascenseur de service et atteindre les appartements royaux.
De sa plume savante et enchanteresse, Christian Jacq fait revivre Ramsès III, le dernier grand pharaon, et nous raconte la conspiration criminelle la mieux documentée de toute l'histoire égyptienne.
En savoir plus https://bit.ly/ramsesIII