« Je cherchais un local pour poser ma plaque d’oculiste. Je savais qu’en général les gros bonnets du métier ne trouvent pas de temps pour s’occuper des réfractions, qui dans certains cas sont très longues à corriger. J’avais pour ce travail dispositions et goût. J’espérais par lui faire mon chemin. (...) Je louais une pièce en façade, avec participation à l’usage de la salle d’attente. Mais je n’allais pas tarder à m’apercevoir que mon cabinet était une salle d’attente, lui aussi. Je m’en félicite à l’heure actuelle. »
CONAN DOYLE, MA VIE AVENTUREUSE.
Face à une maladie trop avancée, lorsque les médicaments n’ont plus cours, écoute, accompagnement et dignité, valent souvent mieux qu’une ordonnance de faux espoir.