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EAN : 9782820507037
157 pages
Milady (23/09/2016)
3.49/5   47 notes
Résumé :

Préface de Marcus Malte

La Maison : En robe blanche, son bouquet à la main, Martine sait qu'elle n'aimera jamais Jean, l'homme triste et violent qu'elle vient d'épouser. Mais en elle, une graine est en train de germer. Pendant des années, elle survit à son quotidien et élève leur enfant. En silence, avec une audace et une obstination extraordinaires, elle prépare son évasion.
La Robe : Entre eux, c'est devenu un rituel : pour leur anniv... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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Parue pour la première fois en 2013 aux éditions Rue du départ, est réédité cette année dans la collection Milady Thriller, agrémenté de deux autres nouvelles.

Les femmes plus âgées, celles qui ont la bague au doigt, ont gardé leurs distances. Elles ne gémissent pas, elles. Elles savent."
Tout tourne autour de Martine, infirmière, Jean, professeur de gymnastique et leur fils, qui raconte ce dont il se souvient et ce qu'il imagine. Notamment le mariage de sa mère, jeune fille enceinte de deux mois, avec cet homme qui devient querelleur et violent quand il a bu.

Martine réalise très vite qu'elle fait une erreur qu'elle va payer cher, des êtres qui se trompe de chemin de vie...

Martine est une battante qui ne veut pas se contenter d'une vie médiocre, malgré une atmosphère familiale lourde. le narrateur, enfant vit le quotidien de ce couple tellement mal assorti.

Ce père "un homme normal qui, quand on le mettait en colère..." et une mère victime résignée...

Même le père et le fils n'arrivent pas à communiquer, tout est fait pour éviter le pire.

Le père tellement insatisfait, irritable devient violent.

L'enfant va peu à peu se mettre à épier ses parents à guetter les signes qui précèdent la crise.

La mère passe pour une drôle de personne, elle stock tout ce qu'elle peut récupérer dans "sa pièce" dont elle est la seule à détenir la clé.

C'est cette pièce qui aide la mère à ne pas sombrer dans une folie douce, elle accepte tout sans jamais se rebeller... Avec indifférence ... Je me suis demandée si c'était pour se protéger ou protéger son fils. Cette pièce résonne comme le coeur de cette maison. La joie de cette femme.

Finalement on ne laisse voir que ce que l'on a envie de laisser voir ! On est jamais réellement ce que l'on est.

La mère ne déroge pas à cette règle, jusqu'au 16ème anniversaire de son fils...

Tout est sous-jacent dans ce livre, la tension est palpable ainsi que les blessures intériorisées, la peur est très présente une bonne partie de cette histoire terrible. Tous est suggéré avec distance.

A chaque instant tout peut exploser et nous avec et pourtant on ne sombre pas, rien ne sombre...

Les détails sont tellement bien construits, que le lecteur se trouve enfermé, piégé dans cette maison, dans chaque pièce, derrière chaque fenêtre, nous sommes logés à la même enseigne que ces personnages !

La Robe :

Une construction magistrale de la déchéance d'une vie de couple qui se vit à travers une robe. La flamme dans un couple doit s'entretenir et quoi de mieux pour le faire que de mettre tous les ans cette magnifique robe de mariée portée le plus beau jour de sa vie ?

Au début, c'était un jeu. Une suite d'événements qui se passait de commentaire et qui les avait séduit par son évidence. Les années suivantes ils avaient reproduit à peu près les mêmes gestes. D'anniversaire en anniversaire, le jeu était devenu un rite. Un rendez-vous d'amoureux. Un test. Un bilan."

Comment réagirais - je face à l'homme que je pense être celui de ma vie, si je constatais peu à peu la perte de son amour ?

Je ferais tout pour le reconquérir... Cette robe dans laquelle je suis toujours aussi belle est un symbole de notre amour... Elle est un symbole d'union à la vie à la mort...

Nicolas Jaillet manie avec art les sentiments les plus nobles comme les plus vils ! L'être humain est magistralement beau dans sa haine, sa cruauté, son amour qui peut devenir possessif donc destructeur.

Il explore les tréfonds de l'être humain dans ce qu'il a de plus vil et de plus manipulateur. L'homme est une machine aux sentiments complexes et parfois tordus et Nicolas Jaillet le prouve avec des mots simples directs et sans fioritures.

La Bague :

Parfois au gré de nos balades notre esprit divague et se plaît à se créer une histoire. Notre esprit en pleine digression se penche sur ce que pourrait être une vie, une personne. Comment cette personne vit ce qu'elle aime, qui elle aime ? Mais soyons réalistes sauf si nous avons un don de divination on passe à côté de la vérité qui est souvent tout autre...

Sobres, bouleversantes, ces 3 histoires ont en commun l'être humain et ses faiblesses, l'être humain et sa force, mais surtout nous démontre que Nicolas Jaillet est un sublime auteur qui sait manier avec art et grand savoir l'homme dans tout ce qu'il a de merveilleux.

Gros coup de coeur !
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120 petites pages et une histoire banale. 120 grandes pages et une histoire qui marque l'esprit.

Court récit sur la maltraitance psychologique qui peut faire le quotidien d'un couple, « La maison » n'est pas anodin dans son traitement. Plutôt que d'en faire des caisses, Nicolas Jaillet a décidé de faire sobre, d'éviter tout ornement artificiel, parfois jusqu'à l'épure.

Qu'on ne s'y trompe pas, c'est un exercice difficile, chaque mot est pesé, réfléchi, rien n'est de trop, tout est là, suggéré.

Cette histoire de fuite du foyer conjugal, par son traitement et grâce à la plume de l'auteur, touche au coeur et aux tripes. le malaise est latent et pourtant patent, les choses sont insinuées, presque aucune scène n'est frontalement violente. Oui, mais le malaise est là, bien là.


Jaillet a eu la très bonne idée de prendre comme narrateur le fils du couple qui, comme souvent, n'a rien vu, imagine et extrapole.

Un petit livre qui prouve qu'il n'est pas besoin de s'étaler pour nous plonger dans un drame psychologique, quand on a du talent comme Jaillet.

La preuve ultime de cette réussite ? Une préface dithyrambique de Marcus Malte qui pose de belles bases à la lecture qui suivra (ça tombe bien, on est, avec ce récit, assez proche de l'époustouflant « Cannisses » du même Malte).
Lien : http://gruznamur.wordpress.c..
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Un court roman mais d'une puissance incroyable, un thriller psychologique qui vous attrape et vous enferme dans ce huis-clos à l'ambiance pesante où la souffrance est muette comme toutes ces femmes qui vivent avec des tyrans, des gens qui n'ont pas d'humanité.
La maison, celle où vit Martine avec son époux et son jeune fils. Elle a épousé Jean, sans l'aimer, mais elle est enceinte de lui et à cette époque, c'est ce que l'on fait. Ils auraient pu vivre heureux malgré tout, seulement, Jean est un bourreau qui tyrannise Martine. Comme de nombreuses femmes, elle se tait, fait le dos rond et reste forte pour son fils. Sa seule liberté est un cagibi, la pièce à Martine, celle où l'on n'entre pas, mais dans laquelle, elle construit un avenir.
Nicolas Jaillet avec une plume très douce, nous décrit ce tableau, successions de scènes de vie d'une violence froide. Il nous fait réfléchir à ses femmes qui parfois peuvent être dans notre entourage et qui vivent une fois la porte fermée de leur logement un enfer que l'on n'imagine pas. Ce court roman, accompagné dans cette publication de Bragelonne de deux nouvelles, nous permet de découvrir à travers cette porte, le courage et la patience de Martine. Un roman qui vous marquera.

Lien : https://imaginoire.fr/2020/1..
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La réédition de la maison, de Nicolas Jaillet, chez Milady, a été agrémentée deux autres textes, La robe et La bague. le tout reste tout de même très court, cent cinquante pages à peu près, et se lit donc très vite...

En refermant ce recueil, je suis restée dubitative... les deux derniers textes sont trop brefs pour qu'une quelconque alchimie ait le temps de se créer. Reste "l'analyse" quelque peu distanciée qui s'effectue après coup... par contre le premier, et également le plus long, est captivant et angoissant!

3 textes: la maison, la robe, la bague...
En sens inverse du cours classique d'une rencontre amoureuse: on se fiance, on se marie, on achète une maison.
3 textes, 3 couples différents, 3 destins tout aussi différents...

La maison... cocon de la famille, chaleureuse, gaie et vivante... mais qui peut être également juste une façade de convenances aux couleurs ternes, le réceptacle de douleurs et de violences, une coquille vide quand son pilier n'est pas: la mère.
Martine sait depuis le départ qu'elle n'aime pas Jean. Mais Martine attend un enfant, alors le jour de son mariage est le 1er jour de sa peine qui va durer 16 ans, le 1er jour pour nourrir sa "libération". 16 ans à donner vie à cette maison, à élever son fils, à être présente aux côtés de ce mari violent et aigri, 16 ans de silence et de peur.
Un mariage de raison qui tient la route dans un climat oppressant et menaçant, un mariage dénué d'amour, de joie et surtout de vie. Martine a accompli son devoir, elle s'est placée entre parenthèses pour n'être qu'une épouse et une mère, elle a tout subi sans broncher... Et un jour, elle existe enfin...
C'est un récit dur, doux-amer et triste, raconté par ce fils qui n'aura rien vu venir... Un récit dénué de passion qui percute d'autant plus violemment qu'il traduit une mort lente et silencieuse d'une femme sous le couvert d'un mariage banal, d'une prison socialement "acceptable".
J'ai admiré le courage de Martine dans ses 16 ans de patience, de devoir, d'abnégation mais j'ai déploré la distance et le manque d'affection entre elle et son fils... Car au final, elle n'a rien gagné de ses 16 ans de sacrifice... la liberté valait-elle autant si elle ne connaît même pas l'amour maternel?
La robe marque l'usure d'un couple dans une valse d'habitudes et de rituels devenus automatiques et sans surprise. La robe est celle que Sandra revêt, année après année, malgré les enfants, malgré l'alcool, pour célébrer leur anniversaire de mariage. Une soirée essentiellement pour Marc et Sandra, un cadeau, la robe, une nuit d'ébats... Mais les apparences sont trompeuses, l'image semble tout aussi idyllique qu'au premier jour aux yeux de tous... Mais Marc et Sandra, eux, savent bien que tout n'est plus qu'illusions et mensonges par omission... Ou quand le quotidien étouffe les sentiments jusqu'à ce que les coutures craquent...
Un récit sobre et un final... aveuglant!

La bague est un récit du souvenir que laissera un couple à une de ses filles, raconté en quelques mots à un inconnu dans un train. Un couple qui s'est aimé, réellement, a traversé les années dans le bonheur et a, a priori, transmis à cette femme, un de leurs cinq enfants, cette notion de l'amour vrai, profond et sain... suffisamment pour qu'elle le vive à son tour.
Leur bague de fiançailles est le symbole que le couple peut être quelque chose de beau et de durable...
Une histoire finale pour adoucir l'amertume d'une robe qui craque et d'une maison vide, certainement...

La plume de Nicolas Jaillet est simple, dépouillée, directe... et humaine. Il nous parle d'amour: de son absence, de son usure et de celui dont on rêve tous: l'éternel... Au final, l'amour, est-ce la règle... ou l'exception?

Trois textes qui suggèrent seulement et laissent le lecteur face à ses réflexions sur le couple, mais une certaine froideur de ton m'aura empêchée d'être totalement sous le charme.

Je remercie les Éditions Milady et Lilas Seewald pour leur confiance.
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Voilà un roman court, mais qui est pourtant lourd de sens, de peur et de volonté.

On retrouve Martine le jour de son mariage, enceinte, et qui réalise qu'elle n'aime pas l'homme avec qui elle vivre le reste de sa vie. Cet homme ivre qui veut se battre aujourd'hui avec son « meilleur » ami. Ce soir là, lors de sa nuit de noces, elle se promet d'accomplir une chose ! Une seule quelque soit le temps que cela lui prendra.

Elle sait qu'il ne va pas forcer la porte. Il ne va pas crier. Ici, on ne crie pas. Tout se fait à mi-voix.
Martine se tait, et attend. Elle attendra jusqu'à ce que la voix de Jean s'éteigne, et au-delà. Pour se calmer, elle pense à son projet. Elle le peaufine. Elle s'endormira sans s'en apercevoir, la tête appuyée sur le mur.
Oh dans ce livre vous ne trouverez pas de sang, de passage hard ou encore d'angoisse à vous faire sursauter et pourtant il y a une violence sourde, puissante, lancinante. Elle s'immisce dans le quotidien, elle est psychologique essentiellement, mais par moment dépassent ces barrières pour casser et faire mal. Comment pouvoir la vivre? Comment la supporter ?

L'auteur reste pourtant simple dans ses choix de mots, rien de torturé pour rajouter à cette douleur, cette maltraitance. Non il n'en a pas besoin, ce n'est pas du voyeurisme ou un étalage morbide. Tout est épuré, limite froid et cela rend à ce texte un réalisme et une détermination, dans le personnage de Martine, incroyable. Une fuite maîtrisée qui pourtant vous prend aux tripes.

A la fin de ce roman, vous retrouvez deux nouvelles : La robe et La bague ..Dans la même lignée que La maison, tout est subjectif dans ces histoires. Beaucoup de questions restent en suspens..Mais comme entendu dans une pièce de théâtre vu dernièrement : « Certains cherchent à savoir, certains savent et d'autres ne veulent pas savoir » ..Ici également, laissez vous emporter par la magie des mots de Nicolas Jaillet.
Lien : https://lesciblesdunelectric..
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Un peu après minuit, le bruit des conversations commence à s’estomper dans la salle de réception. Martine trompe son ennui à passer l’ongle sur la nappe, le long de la jointure entre les tables, pour y faire apparaître une petite crevasse. Son voisin lui parle, mais elle ne l’entend plus depuis un moment.

Le plateau des tables est en forme de trapèze. On peut, suivant la façon de les placer l’une contre l’autre, tracer des lignes ou des angles droits. La nappe a de faux airs de tissu ; si on n’y fait pas attention, on pourrait croire à du coton. Mais si on en déchire un bout, elle révèle sa nature de papier.

Attirée par des éclats de voix, Martine se redresse. Il se passe quelque chose au-dehors. Elle se lève machinalement. Elle ne sait pas encore ce qui l’attend. Elle n’a peut-être pas remarqué que Jean n’est plus dans la salle. Elle prend son bouquet avant de partir.
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Il y a des souvenirs imaginaires. Nous en avons tous ; parfois sans le savoir. Des images que nous gardons gravées dans notre esprit. Par leur précision, elles dépassent souvent nos vrais souvenirs.

Et pourtant, ces souvenirs-là sont faux.

Ces scènes que nous avons en tête, nous ne les avons jamais vues. Par exemple, je possède une image mentale de mon grand-père Charles, debout dans le jardin de mes parents. Je le vois. C’est l’été. Un soleil oblique étire l’ombre de la haie sur ses pieds, tandis que son visage est baigné de soleil. Il rit, parce qu’on m’a toujours dit que mon grand-père était un homme gai. Je suis sûr que c’est lui. Je suis sûr de l’avoir vu, là, dans ce jardin. Pourtant, c’est impossible. Ce jardin, c’est celui d’une maison que mes parents ont habitée à la fin de ma première année. Et mon grand-père est mort deux jours avant ma naissance.
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Il y a des souvenirs imaginaires. Nous en avons tous ; parfois sans le savoir. Des images que nous gardons gravées dans notre esprit. Par leur précision, elles dépassent souvent nos vrais souvenirs.
Et pourtant, ces souvenirs-là sont faux.
Ces scènes que nous avons en tête, nous ne les avons jamais vues. Par exemple, je possède une image mentale de mon grand-père Charles, debout dans le jardin de mes parents. Je le vois. C’est l’été. Un soleil oblique étire l’ombre de la haie sur ses pieds, tandis que son visage est baigné de soleil. Il rit, parce qu'on m'a toujours dit que mon grand-père était un homme gai. Je suis sûr que c’est lui. Je suis sûr de l'avoir vu là, dans ce jardin. Pourtant, c’est impossible. Ce jardin, c'est celui d'une maison que mes parents ont habitée à la fin de ma première année. Et mon grand-père est mort deux jours avant ma naissance.
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Jean et son ami continuent de s’insulter pendant qu’on les sépare. Mais leurs gestes et le ton de leurs voix se font moins durs. Ils sombrent dans un marmonnement déçu, amorti par l’alcool. Chacun se laisse entraîner dans un coin de la cour, et refait le récit de cette rencontre épique, en ressassant le sort qu’il aurait réservé à son adversaire, si on ne l’avait pas empêché de le mettre en pièces. Ceux qui l’accompagnent approuvent le gladiateur, tout en essayant de détourner son attention. Ils l’invitent à boire un coup.

Pour l’instant, le guerrier refuse avec hauteur, mais il se laissera bientôt convaincre.
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Je sais que je ne peux pas avoir assisté à cette scène, car je n’ai pas encore d’yeux. Je ne suis qu’un début de vie dans le ventre de cette jeune femme. Je suis, en grande partie, la cause de la robe blanche et du bouquet. Et de l’ivresse excessive des deux hommes.
Je sais pourtant que cette scène a eu lieu. j’en ressens les moindres détails. Je sais par exemple qu’à cet instant, une autre graine est en train de germer dans le ventre de ma mère. Une graine qui lui permettra de tenir ; de résister à la vie qui l’attend.
Cette graine, c’est sa décision.
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Reprendre corps
Réécrire l'Histoire et les histoires, se réapproprier le corps du texte. Si le langage forme notre façon de penser, les légendes et mythes fondateurs façonnent notre perception du monde. Et si nous avons les mythes en commun, c'est bien pour les questionner, les interpréter et faire un lieu où l'imaginaire peut influencer le réel.
Animé par Willy Richert.
Avec les auteur·rice·s Estelle Faye (La Dernière Amazone, Rageot), Murielle Szac (L'Odyssée des femmes, L'Iconoclaste et L'Odyssée d'Homère, RMN), Stéphane Bientz (Le Goût du sel, Espaces 34) et Nicolas Jaillet (Frater, In8).
Avec la participation de Faustine Aynié-Yvinec et des élèves de 3eA du collège Valmy - Paris (75). Un grand merci à Eva Mouillaud, professeure.
Et la voix de Cécile Ribault Caillol pour Kibookin.fr
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