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Après avoir beaucoup aimé le tome 1 de la saga Il était une fois, j'étais impatiente de découvrir ce second tome, d'autant que les critiques sont encore meilleures. Je dois avoir des goûts littéraires très différents car pour ma part j'ai trouvais ce tome très mauvais !

On est bien loin du célèbre conte La belle et la bête et ici les personnages sont absolument détestables. Linnet est agaçante et sans aucune personnalité quand a Piers, pour reprendre le terme d'une critique que j'ai pu lire sur le net, il est une pale copie de Dr House. Les personnages secondaires sont sans intérêt.

L'intrigue quand a elle est cousue de fil blanc. Bref passez vite votre chemin, quand a moi, j'espère que les tomes suivants seront bien meilleurs.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Peut-on qualifier ce roman de romance historique ? J'ai un gros doute. Je ne suis pas adepte du genre mais pour en avoir lu quelques uns je le trouve particulièrement soft et un côté chick lit.

Un lectrice a attisé ma curiosité avec cette histoire de Duc impuissant qui devait faire frétiller ma petite culotte. Soyons réaliste. Quand on lit ce genre littéraire, c'est pour le côté fantasme du XVIIème siècle. J'aime bien de temps en temps à condition qu'ils cochent les cases attendues.

J'ai trouvé une ambiance bizarre dés les premières lignes. Une impression de lire un genre « absurde ». La situation de Linnet est illogique et engendre une séquence loufoque et surréaliste.  Vu que l'auteure crée une sorte de remake du conte original, on se demande si on n'est pas dans la 4ème dimension.

Passons cette bizarrerie... je me suis laissée prendre au jeu. Cette romance loin d'être érotique propose des joutes verbales dont je fus bon public. Les punchlines, je suis preneuse. J'en ai eu pour mon argent.

Un roman sympa qui m'a fait passer un bon moment détente. Les héros m'ont bien fait rire. L'auteure a survolé le côté conventionnel de l'époque. Une héroïne très chick lit qui ne cadre pas trop avec l'historique. Un huis clos qui méritait d'être plus sensuel. Par contre, mention spéciale pour la partie médecine….
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Ce deuxième tome de la série "Il était une fois…" m'a moins plu que le premier, Cendrillon. Je n'ai pas retrouvé l'atmosphère de conte qui donnait l'impression que l'histoire se déroulait un peu en dehors du temps et que j'avais beaucoup aimé. D'un autre côté, le roman ne sonne pas vraiment non plus comme une romance historique classique parce que les conventions du genre ne sont pas vraiment respectées (les personnages sont très modernes, ils prennent beaucoup de libertés avec les règles sociales et la moralité sans s'en inquiéter, etc). D'ailleurs le roman démarre en fanfare dans un style des plus absurdes, le seul moyen de faire passer l'exil de la Belle chez la Bête...

Une fois nos deux héros réunis dans le même château, l'intrigue est assez classique : eux qui ne semblent rien avoir à faire ensemble et qui ont du mal à se supporter finissent pas tomber éperdument amoureux, non sans avoir d'abord à surmonter de terribles épreuves (peut-être même un peu trop à mon goût...).

L'auteur s'éloigne vraiment beaucoup de l'intrigue originale du conte La Belle et la Bête. En dehors d'une héroïne extraordinairement belle et d'un héros qui a reçu le surnom de la "Bête" à cause d'un fort boitement et plus encore d'un effroyable caractère, je ne crois pas avoir rien repéré qui fasse partie du conte dont je connais pourtant plusieurs versions (le conte de Madame Leprince de Beaumont, différentes adaptations en dessins animés ou en films ou d'autres réécritures comme Mes nuits ne sont pas les Vôtres, de Dominique Marny). D'ailleurs l'auteur explique dans la postface qu'elle n'a "pas conservé la plupart des détails" et qu'elle s'est beaucoup inspirée de Dr House pour construire son personnage principal.

La Belle et la Bête reste une lecture agréable, même si le récit ne colle ni avec un conte, ni avec une romance historique. J'espère que le prochain tome me plaira davantage : La Princesse au Petit Pois, un conte que je connais beaucoup moins...
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Dans ce tome, on espère une histoire avec les grandes caractéristiques de l'histoire de la Belle et la bête. Personnellement, j'ai de grosses lacunes dans ce domaine, et je ne connais que ceux repris par les studios Disney!

Enfin bref, je m'attendais donc à retrouver une très belle jeune femme, indépendante et qui rêve tout de même du grand amour, qui aime lire, d'un homme malheureux à cause d'un physique difforme, d'un beau palais avec une magnifique bibliothèque, de neige, de bal, d'un petit garçon attachant, et de serviteurs au top, et de jolies roses maudites!

Mais non, en fait, les références sont très éloignées!

Pies est un personnage atypique : un physique désavantagé par un handicap, de l'humour.... On apprend dans les premières pages que cet homme est impuissant, qu'il a une grosse défaillance au niveau d'une jambe. Il est maître d'un château, dans lequel il héberge de nombreux malades puisque c'est un docteur.

Ce personnage est très appréciable! Il tourne son handicap à la dérision, et nous permet de le découvrir à travers des dialogues avec son cousin ou son serviteur plein d'humour!

En parallèle, on découvre Linett, la belle, pulpeuse, et complètement "barrée" héroïne de l'histoire! Elle est fofolle! J'ai explosé de rire dans les dialogues notamment ceux avec son père, ou sa belle mère !

Du coup, son père l'envoie au pays de Galle pour épouser Piers, cette bête! Elle se porte au jeu puisqu'elle sait que sa réputation serait salie si elle restait à Londres! Et quand les deux se rencontrent, une alchimie se fait, mais les deux gardent leur distance et refuse d'accepter ce qui saute aux yeux des autres! Les échanges sont succulents, j'ai vraiment beaucoup rigolé avec ces deux protagonnistes :

L'ensemble des personnages est amusant, l'auteur a vraiment misé sur l'humour pour sortir cette histoire du lot de romance!

Elle ose aussi casser les conventions, en intégrant des pratiques modernes dans un récit "historique"! Ainsi, Linett va se mettre à faire des choses qu'elle ne soupconnait pas avant sa rencontre avec Piers!
Cependant, j'ai trouvé qu'il y avait plusieurs longueurs au récit, et qu'au final, il n'y a quasiment aucun point commun avec le conte d'origine, si ce n'est la "structure" : une belle femme, un homme portant un handicap, un chateau, un petit garçon attendrissant.... et voilà je crois!

En conclusion, j'ai donc passé un bon moment grace à des personnages hilarants, mais je n'ai pas eu de papillons lors de ma lecture, à mon grand regret!
J'hésitais à lire la suite à cause du fait de ne pas trouver beaucoup de points communs avec les contes, mais vu que je ne connais pas les trois suivants, je pense que ca ne troublera pas ma lecture et que j'en profiterai encore plus!
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Nous avons donc de la romance qui froufroute inspirée de deux monuments à mes yeux : le conte -mon préféré- de la Belle et la Bête et le personnage si attachant de Docteur House. En ouvrant When the beauty tamed the beast, je savais que deux choses pouvaient arriver : la pire des déceptions ou le plus grand enchantement. Comment te le dire sans tergiverser ami lecteur ? Ça froufroute gravement bien ce bouquin. Et tout repose sur la plume de madame James. Elle est parvenue à nous rendre ses personnages à la fois drôles, complexes et attachants. Les dialogues sont délicieux, les joutes entre nos héros m'ont mises en joie et la galerie de personnages secondaires rend le tout fort savoureux. Bref, si tu aimes la romance, qui froufroute ou pas, je te prie de croire que tu ne devrais pas être déçu par Piers et Linnet. Puis si tu n'aimes pas lire en anglais, ou que tu ne connais pas du tout cette langue, le roman est sorti en français avec une traduction tout à fait valable.

Depuis, j'ai lu le premier tome et s'il est sympa, il ne vaut pas cet opus. La série se compose de 5 volumes, rendant chacun hommage à un conte différent. le prochain dans lequel je compte me plonger est The ugly Duchess. Dès que c'est fait, promis je viens t'en parler.


Lien : http://altervorace.canalblog..
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Réunissez un caractère de cochon avec une beauté du diable, saupoudrez-les d'une vive intelligence et vous obtiendrez une explosion de dialogues pétillants et de passion torride. Ajoutez-y une dose de drame familiale et un rebondissement final assez surprenant et vous obtenez un très agréable roman revisité sur le thème d'un célèbre conte de fée...
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Linnet, très belle mais fille d'un vicomte obscur, est déshonorée : toute la bonne société la croyant enceinte, adieu les espoirs de fiançailles ! Mais le duc de Windebank décide qu'elle est l'épouse qu'il faut à son fils Piers, un médecin irascible et impuissant. À condition, bien sûr, qu'il accepte ce mariage arrangé…

Après un premier tome peu convaincant où elle réinventait l'histoire de Cendrillon, Eloisa James s'amuse ici à réécrire le conte La Belle et la Bête de Madame de Villeneuve. Et si elle ne conserve au final que peu d'éléments de l'oeuvre originale c'est pour mieux faire de sa romance une jolie réussite. Elle modernise ainsi le personnage de la Bête en s'inspirant du Dr House (!), ce qui donne un arrière-plan médical (la majeure partie du roman se déroulant dans un château qui est utilisé comme hôpital) plutôt intéressant à l'histoire. Cette dernière est également enrichie d'idées originales, comme les cours de natation qui permettent aux héros de sympathiser, apportant de la fraîcheur à ce conte très célèbre. D'autant que les héros ne manquent pas de personnalité, la Linnet un peu gourgandine du début s'imposant peu à peu comme une femme intelligente et pleine de répartie, tenant tête à un Piers cynique et désabusé.

Une jolie et surprenante réécriture de la Belle et la Bête à la sauce romance.
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J'avais lu, il y a quelque temps, le tome un de la série et je n'avais pas du tout accroché.

Fidèle à mon habitude de laisser une deuxième chance aux séries et surtout parce que je suis toujours curieuse de lire une réécriture de conte, j'ai récidivé avec ce tome qui est le deuxième de la série.

En fait, je ne peux pas vraiment dire que c'était bien mais cela m'a moins déplu que le premier; j'ai même trouvé certaines des interactions entre Linnet et Piers plutôt drôles.
Peut-être est-ce mieux passé car il n'y a aucune référence historique et donc même si ce cadre imaginaire ressemble fortement au cadre dit "régence" des romances historiques, le fait qu'il n'y ait pas de références temporelles explique mon indulgence face aux entorses aux contraintes sociales du temps (l'âge tardif de l'héroïne pour un début dans le monde, ses moeurs pour le moins libérées, par exemple).

Evidemment, il y a néanmoins quelques moments de "suspension of disbelief" (suspension consentie de l'incrédulité , en français) mais bon, c'est un conte de fées.
Du conte originel pourtant, il ne reste pas grand-chose, hormis la grande beauté de la Belle.
Plus de grande soeur jalouse, de père qui enfreint une règle et promet sa fille en échange, de manoir merveilleux et surtout plus de Bête.
L'auteure fait passer la pilule en faisant du héros un boiteux soi-disant impuissant mais évidemment il est beau ou du moins grand, musclé, viril...
On est dans un roman d'amour, que diantre! Il s'agit de faire rêver et non de faire réaliste.
Dommage, j'aurai préféré qu'il ait quelques cicatrices, un handicap vraiment perturbant pour que le coeur même du conte (l'amour de Belle malgré les apparences monstrueuses) soit respecté.
Le surnom de Bête dans le roman est justifié par le mauvais caractère de Piers. Soit dit en passant, on n'en voit pas vraiment de manifestation dans le récit.

Dernier point : selon la quatrième de couverture, l'auteure est professeur d'université, spécialiste de Shakespeare.
Malheureusement, je ne suis probablement pas assez spécialiste pour avoir détecté une quelconque influence de ce fait dans le roman. Il y a bien quelques références aux contes de fées mais à Shakespeare...
De plus, la traduction a dû bien gommer des choses (on va dire ça...).

Au final, un roman d'amour de grande consommation, lisse et se servant une fois encore du prétexte de s'appuyer sur un conte.
J'ai regretté que les contes de fées se finissent bien car j'aurai bien imaginé Linnet rendant son dernier soupir dans son poulailler, histoire de donner un cachet tragique bienvenu à une histoire trop convenue.
Décidément avec ce genre de série, je perds mon âme romantique.

En tout cas, cela m'a donné l'envie d'en lire un troisième pour voir si mon opinion va encore aller en s'améliorant. Je tente probablement le diable!
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Le premier tome m'avait déjà beaucoup plu mais ce second est un vrai coup de coeur. Il y a longtemps qu'un livre ne m'avait pas fait cette effet. Je l'ai lu en seule fois ( 373 pages !) .Les héros sont touchants et drôles.

Piers, le conte Marchant a un sale caractère, il m'a fait penser au Docteur House ou à Sherlock Holmes : il boite et dis toujours ce qu'il pense. C'est un médecin peut conventionnel : il dit lui-même être plus doué avec les cadavres que les malades vivants. Il a également un Watson son cousin, médecin comme lui et la seule personne qui le supporte encore.

Quant à Linnet c'est une jeune naïve et belle qui joue de ses atouts pour séduire un prince : plus par ennui que par amour. Mais elle brûle les ailes quand une robe trop bouffante l'a fait passer pour enceinte aux yeux de la bonne société. Elle se voit donc envoyé par son père à cette "bête" qu'est Piers.

Je vais arrêter là mon résumé pour ne pas vous gâcher votre plaisir mais sachez que leurs joutes verbales sont hilarantes. Linnet est touchante de naïveté et même si certaines scènes ne sont pas très crédibles, ce livre fait vraiment le travail qu'on lui demande : il est addictif, et nous fait vibrer, on passe du rire aux larmes et nous sommes déçus de devoir quitter ces personnages tous très attachants. Même les personnages secondaires sont forts, en particulier le père de Piers que j'ai adoré.

En bref, je me demande encore pourquoi je ne l'ai pas lu avant et je remercie Eliot et des livres ainsi que son challenge au fil des saisons et des pages de m'avoir offert l'opportunité de découvrir cette pépite. C'est une lecture fraîche, qui met du baume au coeur.
Lien : http://lemondedeparaty62.ekl..
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Linnet Thrynne ne comprend rien à ce qui lui arrive quand tout d'un coup, elle acquière une réputation de gourgandine alors qu'elle est innocente ! Elle, qui a fait tant d'efforts pour qu'on ne la compare pas à sa mère, voilà, qu'elle se retrouve avec une réputation réduite en lambeau.
Piers Yelverton, lui, c'est bien simple, il veut qu'on le laisse tranquille. Il veut pouvoir boire son cognac sans se cacher, disséquer des cadavres, soigner des malades et aller nager tout les jours dans sa piscine. Son père, essayant de se faire pardonner, veut lui trouver une femme. Piers lui demande une femme aussi belle que la lune et le soleil, histoire de l'occuper.
Bien entendu, la belle Linnet va faire connaissance avec la Bête, Piers, et ça va être un festival d'humour et de répliques ciselées.
Piers est un héros qui souffre, qui a décidé que la psychologie et l'empathie n'a jamais aidé à guérir et que ma foi, à part être sur que ce que fait ses confrères, c'est de la m***de, il ne peut pas faire grand chose pour ses patients. le hic, c'est qu'il leur dit.
Linnet n'est pas une oie blanche. Elle se sert de son sourire « colgate » pour « anesthésier » les mâles autour d'elle mais juste pour qu'ils deviennent inoffensifs. Elle trouve que les hommes ne sont pas attirants et se demande bien ce qui a pu faire tourner la tête de sa mère. Une complicité entre les héros nait de suite de part leurs caractères vifs et ironiques.
Cette histoire est très très très bien écrite. Elle est rythmée, passionnante, avec des héros superbes et des personnages secondaires qui ont une vraie place (j'ai adoré le majordome) et la fin est juste superbe !!!
Je ne suis pas une fan de Dr House. Même si tout de suite, on fait le parallèle avec la série, Piers est un héros que j'ai adoré.
Lien : http://patacaisse.wordpress...
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