AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,63

sur 150 notes
5
2 avis
4
6 avis
3
5 avis
2
1 avis
1
0 avis
Envie d'un roman typiquement anglais dans lesquels les protagonistes ont recours à la fameuse tasse de thé au moindre problème ?
Dans ce roman, on retrouve tout ce qui fait le charme des romans policiers à la mode « british », une intrigue policière qui prend son temps pour démarrer, une ambiance cosy, des personnages dont la psychologie est décortiquée minutieusement, un meurtre évidemment, mais aussi le climat froid, humide et venteux de Londres, son brouillard et sa circulation.
L'auteur nous invite à découvrir un petit musée peu connu, consacré aux années de l'entre deux guerres et géré par trois frères et soeurs.
J'ai adoré me promener dans les différentes salles, dont la fameuse « salle des meurtres » consacrées aux meurtres célèbres, mais j'ai également eu grand plaisir à arpenter la bibliothèque, les salles dédiées à la peinture et j'ai été ravie de découvrir les coulisses à savoir les appartements personnels de certains membres du personnel.
Cette salle des meurtres est un très bon cru de cet auteur prolifique.
Commenter  J’apprécie          310
C'est un fait : je ne me lasserai jamais des polars de P.D. James. Il faut dire qu'ils se caractérisent tous par une très grande qualité, non seulement du point de vue de l'intrigue, mais aussi du point de vue de l'écriture.

Adam Dalgliesh et son équipe sont ici confrontés à une mort suspecte assez atroce. Neville Dupayne est brûlé vif dans sa Jaguar quelque jours après que deux événements majeurs se soient produits dans sa vie : il a refusé de signer la reconduction du bail de l'immeuble abritant le musée familial et la femme d'un de ses patients (Neville est psychiatre) s'est suicidée, ne supportant plus la maladie de son époux. Neville a-t-il été tué à cause de son refus de signer le bail ? S'est-il lui aussi suicidé car il s'est senti responsable de la mort d'une femme ? Mystère...

Une fois encore, l'auteure nous offre un portrait extrêmement complet de tous ses personnages avant de "tuer" l'un d'entre eux. Il faut donc attendre une bonne centaine de pages avant d'entrer dans le vif du sujet, mais je peux vous dire qu'on ne s'ennuie pas une seule seconde, tant les différents personnages sont intéressants. Chacun semble avoir quelque chose à cacher. Pas forcément un meurtre, mais au moins un secret peu reluisant...
Et c'est à Dalgliesh, ce gentleman parmi les policiers qu'il appartient une fois de plus de résoudre ce mystère. J'apprécie de plus en plus la personnalité assez atypique de cet enquêteur qui réfléchit beaucoup mais parle peu. J'aime la façon dont il parvient à gérer les antagonismes et les tensions au sein de son équipe (il affirme d'ailleurs préférer des enquêteurs qui sont parfois en désaccord plutôt que des policiers qui s'entendent merveilleusement bien) mais aussi son talent pour gérer les ego des personnes interrogées (pas facile de se retrouver face à Caroline Dupayne de mauvaise humeur... mais AD - comme le qualifient ses subordonnés - s'en tire haut la main).

Au niveau de l'intrigue, je l'ai personnellement trouvée totalement insoluble. Impossible de deviner l'identité du coupable et son mobile avant la fin du récit !
Commenter  J’apprécie          180
P. D. James à l'art de nous transporter dans les milieux les plus divers d'Angleterre et nous permet de voir évoluer Adam Dalgliesh, et ses collègues. Dans La salle des meurtres, P.D. James nous fait découvrir un musée imaginaire de Londres, niché au coeur de Hampsted Heath, un des poumons verts près de la City. le musée Dupayne est consacré à l'entre-deux guerres au Royaume-Uni, avec une salle consacrée à la peinture, une à la littérature et une aux meurtres et affaires judiciaires retentissantes de la période. Depuis la mort de Max Dupayne, le fondateur, ce sont ces trois enfants qui gèrent le musée et leur accord à tous est requis pour la pérennité des lieux. Or Neville, l'un des fils, refuse de renouveler le bail du musée. A quelques jours du terme, Neville est retrouvé mort dans sa voiture incendiée dans le garage attenant au musée. le suicide et l'accident sont vite écartés. Faut-il chercher le coupable parmi la famille, le personnel et les bénévoles du musée ? le crime est-il lié à l'activité professionnelle de psychiatre de Neville ?
Commenter  J’apprécie          130
Un livre un peu longuet mais néanmoins un très bon policier. On ne devine a aucun moment qui est le meurtrier .. le suspens reste intact jusqu'au bout !!
Commenter  J’apprécie          110
Le musée Dupayne est en danger, il est menacé de fermeture par l'un de ses administrateurs. Beaucoup de personnes ont à perdre si le musée venait à disparaitre.

Un meurtre surgit : celui de la personne qui justement posé problème. Quelle étrange coincidence ? le meutre ressemble à celui commis dans les années 30, meurtre qui est justement illustrée dans la salle des meurtres au sein du musée.

Dalgliesh se charge de l'affaire. Ou tout cela va t il le mener?

Décidéement j'aime les policers anglais, l'atmosphère, l'attachement aux personnages, tout y est. L'intrigue est palpitante, on se laisse guider par les indices, je dirai que c'est précis et propre.

Seul bémol j'avais trouvé qui était l'assassin.

A découvrir.
Commenter  J’apprécie          70
Une ambiance anglaise très sympa, dans un musée de famille, avec des meurtres quasiment à huis-clos qui font ressortir un tas d'histoires et de secrets enfouis depuis des années.

Outre cette atmosphère agréable, je n'ai cependant pas réussi a m'attacher à beaucoup de personnages. Il a par ailleurs fallu attendre un certain moment avant que l'intrigue ne décolle réellement car les descriptions trop précises des lieux ou actions quotidiennes de chacun me perdaient un peu.
Commenter  J’apprécie          60
Dans l'enceinte d'un musée britannique est trouvé un macchabée : celui d'un des propriétaires qui voulait fermer le musée. le tout devient vraiment problématique lorsqu'un deuxième cadavre est trouvé dans la salle des meurtres.
L'atmosphère est lourde, et l'enquête se fait à huis clos.
L'intrigue nous prends, même si le début est un peu long à démarrer.
Commenter  J’apprécie          50
Encore un roman de P.D James que j'ai lu avec grand plaisir ! Après le séminaire, le centre de repos sur une île anglaise et la clinique privée, nous voici dans un petit musée londonien consacré aux années trente.
L'atmosphère so british est toujours un point très positif, le style est toujours aussi soigné, les personnages toujours aussi bien développés.
En revanche, le mobile est connu dès le départ : le troisième héritier aurait pu faire fermer le musée s'il n'avait pas été assassiné. Malgré tout, je n'ai pas deviné l'identité du meurtrier avant la fin.
C'est un roman que je recommande aux amateurs de polar british !
Commenter  J’apprécie          40
Le commandant de police Adam Dalgliesh, de Scotland Yard, est appelé sur un incendie meurtrier au musée Dupayne. Avec son équipe, il va découvrir que le musée était sur le point de fermer car les deux frères (Neville et Marcus) et la soeur (Caroline) n'étaient pas d'accord sur la suite du projet de feu leur père. le cadavre n'est autre que Neville, fervent partisan de la fermeture.
Je me suis ennuyé à la lecture de ce roman policier. Pourtant j'avais déjà lu un livre de nouvelles de cette auteure, et je l'avais apprécié. Là, rien. Les personnages sont intéressants mais je n'ai pas réussi à me sentir concerné par les uns et les autres. Enfin, j'ai trouvé que le dénouement de l'enquête arrivait un peu par hasard et que tout s'expliquait alors. Je suis déçu.
Commenter  J’apprécie          30
Dans un petit musée de Londres dont le thème est la vie anglaise de l'entre-deux-guerres, se produit un meurtre qui au premier abord fait penser à un suicide. Quelques jours plus tard, un autre corps est retrouvé dans une autre salle du même musée. Tout au long de la lecture à plusieurs reprises j'ai cru avoir deviné qui était l'assassin puis en ai douté jusqu'a ce que celui-ci se découvre lui même.
Beaucoup de mal à accrocher à l'histoire, des explications bien détaillées sur la vie de tout les personnages qui retardent le déroulement de l'énigme, puis très proche de la fin (une centaine de pages ) je n'ai pas pu le lâcher pour savoir ce qu'il se passait.
Première lecture de cette auteure, mais je ne crois pas que je renouvellerai l'expérience.
Commenter  J’apprécie          20




Lecteurs (585) Voir plus



Quiz Voir plus

P.D. James

Comment s'appelle-t-elle réellement ?

Phillys Dorothie James
Phyllis Dorothie James
Phillys Dorothy James
Phyllis Dorothy James

10 questions
63 lecteurs ont répondu
Thème : P.D. JamesCréer un quiz sur ce livre

{* *}