AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,59

sur 677 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je n'avais pas lu 50 nuances de Grey, ayant compris qu'il s'agissait d'une romance faussement cul, mais vraiment cul-cul, à tendance réac.
Bref tout ce que je déteste.
Rien ne me poussait donc à lire ce
« Monsieur », de la même auteure, avant la dernière et hilarante émission du Masque et la Plume;
pour ceux qui ne connaissent pas le Masque, presenté par Jerome Garcin : C'est une émission radiophonique de France inter où sont critiqués les derniers succès littéraires, connue pour en égratigner pas mal.
Évidemment, après avoir ri avec les chroniqueurs des invraisemblances de l'intrigue, de la mièvrerie de l'histoire d'amour et de la maladresse d'écriture, j'ai eu envie de vérifier par moi même.
Verdict ?
Ben oui, c'est complètement niais, incohérent et écrit dans une langue vraiment grossière. le héros a un vocabulaire très limité, à base de «putain », «quelle merde », « j'ai la bite en feu », et autres joyeusetés verbales au pouvoir érotique en dessous de zéro, vous en conviendrez... mais pour l'héroïne c'est pire puisque la pauvre ne connaît qu'un mot, « zot » qu'elle répète inlassablement (sans que l'auteure ai pensé à le traduire quelque part pour son lecteur)
bref, les dialogues sont surréalistes, y compris pendant les scènes d'amour et ça en devient vraiment comique. D'autant que lesdites scènes d'amour sont plutôt tiédasses, à base de missionnaire plan plan quand le lecteur attend du croustillant, du sensuel, du langoureux... et bien non, là encore c'est raté.
(Faites pas les innocents, personne ne lirai E.L James pour la beauté de son écriture, quelle blague !!)
Mais alors si on s'amuse quel est le problème ?
Et bien le problème c'est que ce livre véhicule un tas d'idées sexistes et racistes, entre clichés arriérés sur l'amour et propos condescendants franchement puants.
Parmis eux, on trouve le mythe du prince charmant qui sauve la belle pauvrette désespérée (en profitant un peu d'elle au passage); un choix de personnages féminins très réduit avec trois « profils type » : l'obsédée chaudasse (tapez 1), l'arriviste hautaine et fourbe (tapez 2), la sainte, innocente mais un peu débile (tapez 3); (Vous trouvez ça réducteur ? tapez sur la tête de E.L James)
Bien sûr les étrangers sont forcément méchants, businessman verreux, maris violents ou trafiquants sexuel (Oubliez l'Albanie pour vos prochaines vacances !); Quand à l'héroïne, elle est totalement infantilisée... bref c'est vilain et de mauvais goût.

Pour résumer, c'est un livre mal écrit, vulgaire et misogyne.
Juste un conseil : fuyez !
Commenter  J’apprécie          3715
Je le reconnais je suis très sévère. Mais j'en attendais beaucoup du grand retour d'EL James. Avec sa dernière proposition j'ai l'impression qu'on frôle le grand n'importe quoi. On est loin de notre Christian Grey. Une sorte de pale copie bas de gamme. J'aurais pu éviter la comparaison mais l'auteure nous propose une Ana bis en encore plus timide. L'auteure le reconnait ne fait pas de la grande littérature mais elle a su marquer les esprits avec son personnage emblématique. Pas de la grande littérature mais l'histoire y était.
Avec Monsieur, j'étais curieuse de savoir si EL James savait un peu écrire et surtout si elle avait de l'imagination à revendre. Désolée de le préciser, mais sur ces deux points, Madame va devoir se contenter du succès de son 50 nuances de Grey. Monsieur est un roman érotique catastrophique qui accumule tous les clichés, le manque d'émotion, la redondance, les incohérences et surtout une plume bas de gamme. Tout cela n'aide pas à apprécier ma lecture.
Dés le deuxième chapitre, je sentais que je fonçais droit dans le mur. J'ai voulu abandonner plus d'une fois. J'ai même lu une chronique qui spoiler. J'ai bien compris certains coups de gueule précédents. Une lecture chaotique dont je me souviendrais pas en de bons termes;
Parlons de Monsieur, notre maxou catastrophe. Il sonne faux du début jusqu'à la fin. Ok pour l'aristocrate mais nous rajouter du mannequin, compositeur et DJ et qui tombe follement amoureux de sa femme de ménage pendant son sommeil… Cela fait beaucoup trop à digérer. Je suis pour faire rêver les petites culottes mais un peu de cohérence quand même.
Cette romance est très mal amenée et quand on lit cette fin rocambolesque, on lève les yeux au ciel. EL James nous réserve t'elle une suite. Elle abandonne beaucoup trop de points soulevés en route. Des points d'ailleurs que je trouvais intéressants mais l'auteure s'est focalisé sur la baise à répétition. En plus il n'y a aucun épilogue donc je sens la saga à venir et bien sur un futur foutage de gueule.
Monsieur sera pour moi la plus grosse déception 2019.
Commenter  J’apprécie          222
Officiellement un des livres les plus nuls qu'il m'ait été donné de lire.
Tout d'abord, c'est vraiment mal écrit (ou mal traduit ...genre). Ensuite, nous avons un enchaînement de poncifs de stéréotypes et de mysoginie.
Pauvre petit oiseau albanais tombé du nid. Elle a peur elle a connu le pire .... si douce et innocente .... bla-bla-bla
Bref il vaut mieux lire un roman harlequin des années 60 ....
Commenter  J’apprécie          50
Après avoir lu les 50 nuances de Grey j'en attendais d'avantage de E.L. James pour son grand retour.

Dès les premières pages, l'histoire est déjà écrite, aucune surprise. J'ai quand même terminé le livre et j'avais raison sur la fin... Si vous hésitez encore à le lire, passez votre chemin.

Maxime Trevelyan, une jeune homme de 28 ans hérite du titre de conte à la mort brutale de son frère. Pour occuper ses journées il rencontre des filles sur internet, sort dans les bars. Mais sa vie et son quotidien va changer lorsqu'il fait la connaissance de Alessia une jeune fille albanaise qui n'est autre que sa femme de ménage...
Commenter  J’apprécie          20
La seule étoile que j'attribue pour ce livre est pour l'effort d'avoir une belle page de couverture.
Quant au contenue... Je pense que n'importe qui peut avoir la capacité de raconter un tel ramassis.
Conclusion: j'ai perdue mon temps et de l'argent.
Commenter  J’apprécie          10
Roman mal écrit, le vocabulaire est basique, on sait d'avance ce qui va se passer, aucune surprise
Commenter  J’apprécie          10
Une première pour moi : découverte de cet auteur si souvent cité pour "50 nuances de Grey" ; découverte d'un roman "érotique".
Et bien que de déceptions : des personnages fades, une romance mielleuse, une intrigue aux faibles rebondissements. Avec toutes fois de belles descriptions des paysages de Cornouailles.
A conseiller en lecture d'été.
Commenter  J’apprécie          10
J'ai lu les trois tomes de cinquante nuances de Grey, elles m'ont bien plu jusque là, même si les clichés demeuraient abondants, E.L James a su donner de l'originalité à sa trilogie, s'attachant à cette homme milliardaire... si vous voyez "Monsieur" sur une étagère d'une librairie, je ne vous conseillerais pas de le prendre. Très pauvre en vocabulaire, en plume, en originalité, en histoire, je ne peux mettre qu'une étoile et pour cause. Je ne me suis attachée à AUCUN personnage. On aurait tout simple dit un film pour adulte bourré de clichés qui dure beaucoup trop longtemps.
Commenter  J’apprécie          00
Je suis une femme raisonnable ; dans une certaine mesure, je suis prête à accepter le fait que les gens ont le droit à une seconde chance.

Si les fieffés coquins qui mangent leurs spaghettis avec de la mayonnaise peuvent bien aller pourrir en enfer, il me paraît fortement injuste de souhaiter le même châtiment à une auteure, sous le seul prétexte que je n'ai pas aimé son premier livre.

J'ai pourtant mis du temps pour m'en remettre. Coincée dans les affres de cette histoire imbuvable, j'ai décidé de me battre et de sortir de la fange goudronneuse dans laquelle j'étais embourbée. Lutter contre mon traumatisme envahissant ne fut pas chose aisée. Ce dernier avait pris la sale habitude de me susurrer son inquiétude à l'oreille, me reprochant mon acharnement dans une telle folie.
Mais j'ai résisté et, animée par la lumière de l'espoir, j'ai acheté et lu Monsieur de E.L James.

Pour se venger, l'espoir a décidé de me casser la gueule.

Partie 1 : Ça partait bien, mais en fait non.

Commençons par évoquer le positif de « Monsieur », car soyons honnête, rares sont les romans où tout est bon à jeter*.

L'auteure a pris le parti d'aborder le thème des violences conjugales et de leur importance en Albanie. Son héroïne, Alessia, a fui son pays pour espérer échapper à un destin tragique et aussi souhaitable qu'un coup de lance-flammes dans les roustons.
Il ne me semble pas que cette problématique soit très connue en France et il est donc intéressant qu'une auteure ait décidé de parler de ce sujet sensible. Vous retrouverez plus d'informations en fin de chronique.

En ce qui concerne Maxim, notre deuxième personnage principal, celui-ci se retrouve dans une situation au minimum compliquée. Alors que son frère aîné, Lord anglais, meurt dans un accident de moto, Maxim doit reprendre son titre et gérer des responsabilités dont il n'a jamais voulu, ainsi qu'un complexe d'infériorité présent depuis l'enfance. On peut le comprendre, car d'un point de vue purement extérieur, la noblesse anglaise n'est pas vraiment synonyme de fun.
Ce malaise est intelligemment exprimé par le personnage qui refuse qu'on le nomme par son titre de « Lord » et insiste pour être appelé par un « Monsieur », qui le rabaisse, alors que pour Alessia, ce même « Monsieur » marque la déférence.

On avait donc une bonne base pour aborder des thèmes complexes, comme le droit des femmes, le deuil et le passage à l'âge adulte, saupoudré d'un peu d'amour et de bonnes ondes, mais… c'est parti en loukoum.

Partie 2 : Au secours !

Maxim Trevelyan est aussi subtil que je suis boulangère, c'est-à-dire pas du tout. Il est beauf. À côté de lui, Jean-Marie Bigard est un danseur étoile (aucune offense, Bigard me fait beaucoup rire).
Bien que j'ai une appétence toute particulière pour les blagues salaces et les chansons paillardes, là c'est un peu trop.
Entre son envie de coucher régulièrement avec des mannequins, son aventure avec la veuve de son frère (???!) et sa manie de personnifier son pénis toutes les pages (« ma queue acquiesce »), j'ai eu la vague impression de lire le script de la chanson « La Cartouche » de Sébastien Patoche, plutôt qu'une romance contemporaine.
Blague à part, ce choix littéraire me faisait vraiment sortir de ma lecture. Je ne compte pas le nombre de fois où j'ai soupiré de dépit. C'est peut-être moi le problème, mais je n'arrive pas à trouver ces « qualités » sexy ou attirantes chez un homme.

Et puis, page 182, un passage m'a donné envie de faire le mal.

« Je n'ai couché qu'avec une vierge, Caroline. C'était ma première fois, à moi aussi, et ça s'est soldé par un désastre qui a failli nous faire renvoyer de l'école. Après ça, mon père m'a emmené dans un bordel de luxe de Bloomsbury.
Si tu dois baiser, Maxim, autant que tu apprennes ».

PARDON ?!
La suite de la Chronique sur le blog !
Lien : https://cornelialioneli.over..
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (1907) Voir plus



Quiz Voir plus

Cinquante nuances de sexe

De quel livre, "Cinquante nuances de Grey" s'inspire-t-il ?

Harry Potter
Twilight
Le Parfum
Le petit prince

9 questions
1002 lecteurs ont répondu
Thème : Cinquante nuances de Grey de E. L. JamesCréer un quiz sur ce livre

{* *}