Je n'ai jamais été déçu de mes lectures des romans de Peter James. C'est donc avec un grand plaisir que j'ai décidé de me lancer dans "verité", un bon pavé de 700 pages.
Même si l'histoire a mis environ 200 pages avant de démarrer, j'ai encore plongé dans un univers très prenant et surprenant car une fois n'est pas coutume chez cet auteur, ce livre est un thriller fantastique qui traite d'un sujet d'actualité : la gestation pour autrui (GPA, pratique interdite en France).
Ce qui est une marque de fabrique avec Peter James c'est que bien souvent ses personnages sont dans la tourmente et que l'auteur n'hésite pas à les enfoncer d'avantage, les emmenant sur le chemin du declin conséquence des choix malheureux des protagonistes.
Dans ce roman, il y a peu de place pour l'optimisme. L'auteur nous fait reflechir sur nos prises de décisions et sur la nocivité des repercussions de nos erreurs professionnelles sur notre vie privée.
Dans quelle mesure peut-on tenter de sauver sa carrière ou de maintenir son train de vie sans pour autant nuir à sa vie de famille? C'est aussi une des questions que pose l'auteur à travers son livre et sa réponse est glacante.
Ce fut un véritable régal et une expérience de lecture des plus marquantes car meme si l'histoire semble tirée par les cheveux, il n'en demeure pas moins que dans le monde, il existe encore des personnes (en rapport avec des sectes) qui pronent la pratique d'un art occulte pour atteindre une certaine forme de spiritisme éloigné de nos croyances habituelles.
Un livre à lire si vous êtes des fans de Stephen King ou Maxime Chattam.
Je n'ai jamais été déçu de mes lectures des romans de Peter James. C'est donc avec un grand plaisir que j'ai décidé de me lancer dans "verité", un bon pavé de 700 pages.
Même si l'histoire a mis environ 200 pages avant de démarrer, j'ai encore plongé dans un univers très prenant et surprenant car une fois n'est pas coutume chez cet auteur, ce livre est un thriller fantastique qui traite d'un sujet d'actualité : la gestation pour autrui (GPA, pratique interdite en France).
Ce qui est une marque de fabrique avec Peter James c'est que bien souvent ses personnages sont dans la tourmente et que l'auteur n'hésite pas à les enfoncer d'avantage, les emmenant sur le chemin du declin conséquence des choix malheureux des protagonistes.
Dans ce roman, il y a peu de place pour l'optimisme. L'auteur nous fait reflechir sur nos prises de décisions et sur la nocivité des repercussions de nos erreurs professionnelles sur notre vie privée.
Dans quelle mesure peut-on tenter de sauver sa carrière ou de maintenir son train de vie sans pour autant nuir à sa vie de famille? C'est aussi une des questions que pose l'auteur à travers son livre et sa réponse est glacante.
Ce fut un véritable régal et une expérience de lecture des plus marquantes car meme si l'histoire semble tirée par les cheveux, il n'en demeure pas moins que dans le monde, il existe encore des personnes (en rapport avec des sectes) qui pronent la pratique d'un art occulte pour atteindre une certaine forme de spiritisme éloigné de nos croyances habituelles.
Un livre à lire si vous êtes des fans de Stephen King ou Maxime Chattam.
Encore un très bon Peter James, dont l'intrigue s'intalle lentement. Tout comme Susan, on se méfie tout d'abord de ce Mr Sarotzini. Et la suite nous donne bien raison. Pour quelle raison cet homme richissimie tient-il autant à ce que Susan porte son enfant ? Poussée par son mari aux abois, elle finit pas céder à l'étrange requête, mais rien ne se passe comme prévu, et l'inquiétant personnage qui s'insinue dans la vie du couple se révèle de plus en plus insupportable.
Après environ 200 pages de mise en place, l'intrigue s'accélère et on plonge enfin vraiment dans la terrifiante histoire... et le paranormal. Je ne l'avais pas vu venir, celui-ci. Je me suis demandé si Peter James nous refaisait le coup de rosemary's baby. John a toute confiance en Sarotzini et ne soutient absolument pas sa femme, qu'il soupçonne de "se faire des films". Ça ne vous rappelle rien ? Nous, lecteurs, on finit par douter de tout et de tout le monde ; on est menés par le bout du nez aussi.
Un très bon thriller psychologique ou livre d'horreur, comme il vous plaira de le qualifier, mais en tout cas un excellent cru.
L'histoire s'installe très progressivement.
Une fois l'intrigue et les personnages en place, le récit reste lent, trop pour un pavé de plus de 700 pages. le rythme demeure constant tout au long du récit même si par moment j'ai cru que l'action allait enfin prendre une autre dimension.
Je ne me suis pas attachée à l'héroïne dont les réactions ont fini par me déconcerter voire m'agacer. Pour son mari, c'est mieux. Peter JAMES réussit à provoquer un certain sentiment de compassion à son égard et son attitude à plus de sens.
Deux autres personnages essentiels au roman sont plus attirants au regard de leur complexité et du mystère qui les entoure j'ai donc regretté de ne pas en savoir plus.
Le dernier chapitre a enfin éveillé mon intérêt mais, malheureusement, je suis restée sur ma faim.
Pour un thriller, j'ai trouvé que cela manquait donc d'intensité, à l'exception peut-être d'une scène de mutilation pour laquelle il vaut mieux avoir les tripes bien accrochées.
Ce roman a fini par m'ennuyer.
Résultat, bien que le prologue soit accrocheur et que l'intrigue soit bonne, "vérité" n'est pas à la hauteur de mes attentes. Trop long.
J'attendais beaucoup de ce roman (sûrement trop d'ailleurs) qui m'avait séduit avec son résumé, je m'attendais à de vrais jeux de manipulation, à un vrai polar psychologique mais je me suis très vite rendue compte que rien de ce que j'espérais ne se produirait pas dans le récit.
Pour commencer, le roman est vraiment lent. Sur les 700pages, il y en a au moins 200 qui ne font que revenir sur les faits ou qui ne nous apportent rien du tout ce qui rend la lecture plutôt pénible et nous donne l'impression de tourner en rond. Pourtant l'idée départ était vraiment bonne mais l'intrigue n'a pas été assez exploitée par l'auteur et certaines questions sont restées sans réponses.
Côté personnages, John n'a pas arrêté de me taper sur les nerfs quant à Susan je ne sais pas vraiment quoi penser d'elle. Mr. Sarotzini ainsi que Kündz qui jouent des rôles essentiels dans le roman n'ont pas été assez travaillés à mon goût.
Bref, je n'ai pas été emballée par le roman…
Il songea un instant à briser le verre pour s’en faire une arme, mais il était trop tard et il le savait bien. Il n’avait opté ni pour le combat ni pour la fuite, et maintenant il était pris au piège de sa propre adrénaline. Son cerveau était sur le point de se tétaniser.
On dit parfois : "J'ai vécu un véritable enfer". Kündz avait souvent rencontré cette locution dans les livres ou dans les films, mais il savait que ce n'était qu'une métaphore. Même parmi les rescapés de l'Holocauste, rares étaient ceux qui avaient vécu l'enfer au même degré que les gens qui avaient provoqué l'ire de M. Sarotzini.
Quand on est pauvre, on ne prend jamais l’avion. Quand on est pauvre, on est piégé, on passe sa vie à tourner en rond comme une mouche dans un pot de confiture vide, en quête d’improbables reliefs, trop affamé pour se soucier de savoir si on en ressortira ou pas.
... dont un imperméable plié sur le bras droit en dépit du temps radieux trahissait le tempérament foncièrement pessimiste.
John aurait préféré passer la soirée sur une table d’opération, à se faire retirer la vésicule biliaire sans anesthésie, plutôt que de se farcir un opéra dans son intégralité, mais il se garda bien de le dire.
Comme une … ?