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Critique de tchouk-tchouk-nougat


En 1969, en Floride, un homme en traque un autre. Il le découvre caché dans une somptueuse villa, loin de la justice à laquelle il mériterait. Ces deux hommes ont un passif qui commence en mars 1945, à Berlin. Pour les allemands la guerre prend l'allure de la défaite. Les officiers tentent de sauver leur peau et leur or mais pour cela il faut déjà sortir d'Allemagne.
C'est ainsi que nous faisons connaissance avec Geisel, un nazi qui va cacher son pactole. Il est accompagné de Solveig, qui devrait lui permettre de gagner l'Autriche, et d'Aurelius qui lui sert de garde du corps.
Voici donc comment commence ce nouveau diptyque de Airborne 44. A la fin de la guerre avec d'anciens SS qui ne croient plus en l'idéologie nazie, où avec des allemands tentant de fuir pour se reconstruire une vie meilleure, loin du reich en ruine. Pour les scientifiques ont peut vendre ses compétences aux deux puissances restantes, pour les autres il faut survivre.
Des personnages attachants même si Aurelius a eu un peu plus de peine à s'affirmer entre une présentation du personnage un peu longuette et un rôle dans l'ombre jusqu'au décès de son compatriote. Les enfants, que ça soit le jeune déserteur ou les évadés du camp de concentration, sont vraiment touchants.
Ce début d'histoire fait monter la tension crescendo. A la fin, on a hâte de lire la suite.

Les aquarelles de Jarbinet ont toujours aussi belles, avec de jolies couleurs. Visuellement c'est vraiment bien fait!
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