Quatre étoiles, dans mon chef c'est beaucoup. Un peu trop. Sauf que, putain de bordel de merde, Alexandre Jardin et sa folie romantique à la con, il me touche à la vie. Pas tout le temps. Certains passages m'énervent cordialement. Mais d'autres sont ce que je veux. A mes yeux, le romantisme et la poésie dans la vie n'empêche pas de savoir aussi faire une domiciliation pour payer sa facture d'électricité... pour n'y plus penser. Pour vivre ce qu'on veut vraiment vivre.
Jardin a changé la fin de son livre entre la première édition et la seconde, parce qu'il ne supportait pas que son héroïne se soumette à son caractère, refusant de la laisser s'enfermer dans ce qu'elle est-était. Oww.
Si ce livre et Jardin peut parfois énerver et être mièvres, sa folie et un certain courage sont vraiment là et... je crois qu'il faut des types et des livres comme ça. Alors, oui, quatre étoiles c'est beaucoup mais c'est comme ça.
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Il est dommage que A. Jardin se cantonne en permanence au même thème avec les mêmes intrigues. L'écriture n'en reste pas moins agréable. A noter également que la version avec le dernier paragraphe repris (celle que j'ai lue) se reconnecte in-extremis avec le monde du réel.
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Un livre que j'ai lu assez vite parlant de l'amour passionnel ; j'ai bien aimé.
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Toutes les outrances d'une histoire d'amour réunis par une langue fastueuse et riche.
Intéressant
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C'est le roman d'une passion plus que d'un amour. Écrit sans longueur il parle de personnages dont la vitalité est attachante et jubilatoire.
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très ambigu et drole voire inquiétant. livre prenant et drole, vision de l'anorexie avec un autre oeil.
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