Un court texte qui démarre plutôt bien, avec sa dose d'humour et de critiques envers le ou plutôt les réseaux sociaux en général... et qui se termine sur une note bien plus personnelle enlevant l'humour au profit d'une (presque) autobiographie de l'auteur et de son couple.
Moins bon que son roman, mais l'idée est là.
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Humour, cynisme, franchise, critique, tels sont les mots qui décrivent ce récit.
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Je n’ai pas la moindre idée de pourquoi nous publions tous autant de photos de notre vie, de nos soirées, de nos vacances. Mais nous le faisons. Les photos ont leur importance. Elles ont chacune une histoire, un message, un souvenir renfermé. Quand j’ai remarqué que ma copine a supprimé de ses photos de couverture une photo d’elle et moi, j’ai pensé, imaginé des choses, je me suis fait encore fait des films. Les photos sont également une arme, elles nous manipulent facilement pouvant nous faire réfléchir, rire, pleurer, douter.
Nombre de photos de mes potes, et d'inconnus présents ont été immortalisés puis offertes à la maison Zuckerberg dès le lendemain une fois la gueule de bois évaporée. Pourquoi ? Ai-je pu avoir un certain besoin de prouver que j'ai également eu la gueule de bois toute la journée ?
Candy Crush, ce jeu terriblement addictif au principe absolument nul, sorte de Puissance 4 dans le rayon fruits et légumes de Carrefour.
Tu fais chier Zuckerberg, pour quelqu’un qui fait de la vie privée une vie publique tu te permets de poser des conditions.
Vous savez que Serge le Lama a plus de fans que Charles Baudelaire ?