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La série "Nains" se déroule dans le même univers que la série "Elfes", et est calquée sur elle, sauf que Nicolas Jarry assurera le scénario de tous les tomes la série : les nains forgerons, marchands, prêtres, guerriers et errants remplaçant les elfes bleus, verts, blancs, noirs et sang-mêlé. Ainsi chaque tome sera un one-shot mis en valeur par un dessinateur différent éclairant un aspect différent de la société naine, et visiblement chaque tome racontera à rebours l'histoire de le l'un des membres de chaque caste de la société naine dont les choix ont bouleversé sa vie d'abord, la civilisation naine toute entière ensuite…


Ce tome 6 intitulé "Jorun de la Forge" commence par un flashforward : alors que le pays est à feu et à sang, un père qui est une légende se bat contre son fils persuadé de n'être rien à part colère, regret et échec.
Nous redécouvrons Redwin, sa famille et la communauté dans laquelle il coule une vie paisible… Mais un ver ronge le fruit : Jorun son fils cadet jalouse le talent de son frère Ulrog sans doute appelé à devenir le plus grand forgeron et le plus grand maître des runes de sa génération… le fils en colère contre la terre entière finit par rompre avec son frère et avec son père, qui le confie aux bons soins de la Légion de Fer (l'équivalent nain de notre la légion étrangère). Jorun suit donc le même destin que le père, et les répétitions entre les tome 1 et 6 sont nombreuses sans aucunement être gênantes : nous sommes dans l'éternel recommencement gemmellien, et ceux qui ont lu "Les Pierres de pouvoir", "La Reine Faucon" ou "Rigante" savent de quoi nous parlons… L'histoire se répète à chaque génération, car à chaque génération tout est refaire, les hommes et les femmes devant faire leurs propres choix pour apprendre de leurs erreurs et avancer dans la vie.
Toutefois alors que Redwin avait dû se frayer seul un chemin dans les arènes de la Cité des Sang-Mêlés, Jorun lui peut lui compte sur des amis fidèles : Gurdan, le jovial recruteur, Fey, la GI Jane badass, Orss, le vétéran protecteur, Fodrhon le vieux forgeron, et Sibris la fille du cuistot dont il tombe amoureux sans s'en rendre compte… 15 années passent et la Légion devient sa nouvelle famille, mais quand le chaos et la désolation se rapprochent de son village natal il n'hésite pas un seul instant ! le brouillard de guerre des mages noirs poursuit sa sinistre avancée, et c'est frappés par un deuil commun que le père et le fils se réconcilie avant de s'enfoncer dans les ténèbres… L'un renonce à sa colère après être devenu le héros de la Bataille de Nurn, l'autre épouse définitivement sa colère pour entrer dans l'éternité en tant que Croquemitaine pour crevards et bad guys… Car plus jamais les mages noirs ne menaceront le peuple nain, mais ceci est une autre histoire !
Nicolas Jarry a écrit que j'avais un don pour débusquer la moindre de ses intentions, du coup je me permets de déclarer ceci : tremble Lah'saa, Redwin la Colère de Dieu sur Terre vient pour toi, et pour te botter les fesses c'est jusqu'en enfer qu'il te traquera !!! (et en plus, il n'est plus seul : Justice Forever ! ^^)

Peu de choses à dire sur les graphismes particulièrement plaisants (le côté douchebag de Jorun pourrait faire tiquer, mais après tout on est chez les bidasses ^^) : grâce au bon travail de Pierre-Denis Goux le revival Warhammer continue de plus belle, du coup j'ai presque envie de dire que nous sommes en présence d'un nouveau tome coécrit par Steve Jackson, Ian Livingstone et David Gemmell… blink
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Journal de bord d'un confiné de la deuxième vague de Covid-19, jour… Bref j'ai perdu le compte. Hier soir il y en a qui ont écouté le discours de Macron afin d'avoir un avant-goût alléchant de la crise économique sans précédent à venir, et il y en a d'autres qui ont décidé de se noyer corps et âme dans une bonne lecture pour se détendre après une harassante journée de taf. Inutile de vous préciser à quelle catégorie j'appartenais.

Sixième opus de cette majestueuse saga et le verdict est sans appel : la constance dans la qualité d'exécution est exemplaire, et ce à toutes les strates artistiques. Nicolas Jarry signe un récit viscéral centré autour de la relation père/fils et fait la part belle à l'intimisme dans toute la pudeur et la rage intérieure qu'il peut contenir. Les uns déploreront un manque de vivacité et de batailles d'ampleur sur fond de brutalité sanglante, quand les autres apprécieront cette trêve sentimentale focalisée sur les traumatismes de l'âme qui résonneront pour certains comme un écho à leur passé.

Pierre-Denis Goux, sans atteindre la grâce de certains de ses compères de l'univers Nains, fait preuve d'un trait parfois légèrement imprécis mais toujours visuellement agréable, qui confère aux planches une expressivité saisissante en parfaite adéquation avec le fil rouge spirituel désiré. Une chose est sûre : une fois l'ultime page tournée il apparaît évident que l'Ordre de la Forge n'a pas fini de sublimer le courroux du coeur. Vivement la suite de l'épopée de la lignée de Redwin.
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La série "Nains" se déroule dans le même univers que la série "Elfes" et son ambition est la même : éclairer les différentes facettes d'un peuple, à travers une série de one-shot. Nicolas Jarry assure le scénario des différents tomes alors que les dessinateurs se succèdent.
La société naine est divisée en différents ordres : Forgerons, Marchands, Prêtres, Guerriers, Bâtisseurs, Assassins, Errants...Les 5 premiers tomes ont déjà largement contribué à nous les présenter, et la qualité a été globalement au rendez-vous.

Ce tome 6 ne fait pas exception à la règle...Il nous propose de découvrir le destin de Jorun, fils de Redwin (charismatique héros du tome 1), du moins un de ses fils. Car avant Jorun, Redwin eut Ulrog (prénommé comme son grand-père) et celui-ci semble avoir hérité du talent familial, que ce soit pour l'art de la forge, comme pour l'art de la guerre. Rappelons que Redwin est, pour le peuple nain, une véritable légende vivante, un des plus grands Seigneurs des Runes qui fut. La vie de Jorun est donc très compliquée, toujours située dans l'ombre de son frère aîné, et il se persuade peu à peu de n'être qu'une source de honte pour son père, donc agissant en conséquence, ce qui ne fera qu'accentuer le ressentiment paternel à son égard. Jusqu'au jour où Redwin confie Jorun aux bons soins de la légion de fer, une sorte de légion étrangère naine...

Oui, ce tome 6 est très bon, et simplement par le fait qu'avant de relever de je ne sais quelle étiquette, il nous présente déjà une excellente histoire. Après, évidemment, on peut bien parler de fantasy si l'on veut, tout le décorum est là pour l'attester. Oui, l'histoire est excellente car elle s'appuie, tout comme le tome 1, ou encore le tome 5, sur des thèmes universels et intemporels...La filiation, l'héritage familial, les problématiques qui se transmettent de génération en génération, les non-dits et comment on se construit avec...L'ensemble est, tout comme le premier tome, d'une remarquable densité, densité qui doit beaucoup, je pense, à la voix off qui traduit les pensées de Jorun, et qui participe d'ailleurs aussi à développer le personnage, à le rendre "épais".

Certes, les casseroles familiales nous conditionnent en partie, mais en partie seulement, car si les questions demeurent, les contextes et les personnalités changent. J'aime beaucoup le fin qui est assez touchante (comme celle du tome 5 d'ailleurs), tout en étant assez épique^^. Pour ce qui est de l'univers, il est toujours aussi sympa et c'est un vrai plaisir quand la fantasy sait allier à ce point densité du propos, coolitude et cohérence de l'univers et crédibilité des personnages. Enfin, la partie graphique de Pierre-Denis Goux demeure également bien plaisante.

En bref, c'est donc un régal que de suivre la série Nains et j'attends avec impatience la suite...D'ailleurs, à ce sujet, est-il question de nous narrer les vies des rejetons des héros des 5 premiers tomes ? Ce serait un concept assez sympa, très nain dans l'esprit pour le coup...
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Comme son père avant lui Redwin a abandonné les armes pour mener une vie paisible auprès de sa famille. Si son premier fils ne lui procure que fierté, il ne peut faire façon de son cadet, Jorun, véritable tête brulée, au propre comme au figuré. A quatorze ans, il décide de le confier à la légion. L'album relate son initiation.

Ce premier tome de la seconde saison de Nains, comme pour la première, est consacré à l'ordre de la forge, sous l'angle une fois encore du rapport père fils. Tant de redondances, pourtant l'auteur par de subtiles nuances évite tout ennui et nous livre un récit riche et passionnant, où les personnages sont mus par l'amertume, la vengeance, l'héroïsme. Brimbaler entre orgueil et noblesse, ils n'ont de cesse de vouloir détourné le cour d'un destin qu'Yjdad semble avoir tracé pour eux.

Entre mise en abyme, et inversion de point de vue Nicolas Jarry jongle entre père et fils. Si le récit se concentre sur le plus jeune, on ne sait si l'auteur n'a pas voulu nous offrir la partialité objective d'un fils qui a tant détesté son père comme témoin privilégié de la geste d'un des plus grand héro que la race naine ait connu.

Le récit est porté par le dessin de Pierre-Denis Goux, particulièrement maitrisé, des expressions les plus fines jusqu'aux scènes de bataille. Les couleurs sont simplement somptueuses. L'ensemble, homogène, offre quelques très belles planches.

Au final, Jarry, aidé de Goux, réussit la prouesse de mêler l'intime et l'épique pour notre plus grand plaisir.
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Un père et son fils se battent devant la porte de la forteresse de Drem. Des armées d'ogres envoyés par les mages s'apprêtent à déferler contre les murailles. Mais le père et le fils n'ont que de la colère dans les yeux et il n'y a pas que leur épées qui font des étincelles. Mais comment en est-on arrivé là?

Aaah que j'aime cette série! Nains nous offrent décidément des histoires intenses, et Jarry et Goux forment un couple efficace!
Pour ce nouveau cycle nous revenons donc sur l'ordre de la forge et, pour notre plus grand bonheur, sur Redwin le héros du tome 1. Comme on s'en souviens bien notre forgeron avait réussi à calmer sa colère grâce aux atouts très féminins d'Enïme. Il avait ainsi pu oublier la forge des armes de guerre et fonder une famille. Hélas! On ne transmet pas que les bons gènes à ses enfants. Alors que son ainé à le don pour la forge, son deuxième, Jorun, n'a ni talent pour les runes et la haine, la colère, la jalousie lui ronge le coeur. Redwin va donc confier son fils à la légion de fer. C'est là que Jorun grandira et se trouvera une famille. Pourtant il n'oublie ni les siens ni sa colère... Ainsi commence l'histoire de Jorun de la Forge, fils de Redwin.
Jorun nous raconte sa vie en voix-off. Elle est assez présente mais nullement gênante. Au contraire je trouve que ça donne une certaine force au récit. On est littéralement plongé dans les pensées torturées de notre héros. Il a la même puissance, la même intensité, que celle du tome 1 et de Redwin. Tel père tel fils pourrait-on dire. Il y a des points communs bien sur entre les deux tomes, mais ce n'est que pour mieux souligné cette relation père-fils, l'acceptation d'un héritage trop lourd, le besoin d'expérimenter son propre chemin, de faire ses propres erreurs!
On est happé par le récit, tenu en haleine jusqu'au bout. Jusqu'au dénouement, à la réconciliation où l'un va se laisser aller complétement à la haine et la colère tandis que l'autre va basculer, enfin, vers l'apaisement.

Le dessin très sympathique et soigné de Goux est encore une fois à souligner. Avec un design de couverture à en faire baver tous les amoureux de la fantasy!
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Redwin, le père de Jorun, m'avait ému dans le premier tome de cette nouvelle saga. Son fils allait-il à nouveau me faire vibrer ou pas ?

On commence assez fort car les premières images nous montrent un fils affrontant son père, devant la grande porte d'une forteresse assaillie.

Oups, niveau bonheur et quiétude familiale, je sens qu'on va repasser.

Il y a plus de chance que nous nous dirigions vers un affrontement père-fils plus sérieux que celui qui opposa Dark Vador à Skywalker.

Jorun, c'est un gamin de merde ! Voilà, je l'ai dit… Toujours fourré dans les pieds de son père à la forge, alors qu'il est trop jeune, râlant, jalousant son ainé à qui on apprend déjà les rudiments de l'art de forger, Jorun va faire une grosse connerie à cause de son entêtement et il le paiera cher.

Pas facile de se faire un nom lorsque votre père est une Légende à lui tout seul ! Pas facile, quand on est un enfant, de comprendre pourquoi votre père a arrêté de forger des armes, lui qui avait un talent indéniable dans l'art des runes.

Pas facile de se faire un nom lorsque vous sentez bien que vous n'avez aucun talent pour la forge et que c'est votre frère ainé, Ulrog, qui a reçu tout le talent et a devant lui la route toute tracée pour devenir le plus grand forgeron et le plus grand maître des runes de sa génération.

Alors, il s'en va chanter ♫ tiens, voilà du boudin ♪ à la Légion, qui, comme celle des humains, accepte tout le monde, sans poser de questions.

L'Histoire est un éternel recommencement et les erreurs du père sont refaites par le fils, celui-là même qui ne voulais pas finir comme son père… La différence sera que le fils pourra compter sur quelques amis durant son apprentissage.

De très beaux dessins viennent renforcer un scénario qui pourrait sentir l'éculé, mais qui, avec le talent de Nicolas Jarry, sent bon le renouveau.

Des dialogues percutants, une quête de sois-même parsemée de coups, de tabassages, de combats, de renoncements, de haine de soi et des autres : le tout mélangé donnent une fois de plus, un excellent album dans cet univers riche qu'est celui des Nains.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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On poursuit l'ordre de la Forge avec la descendance de Redwin et c'est toujours aussi bon ! La haine et la rage sont de nouveau présentes dans ce volume. Jorun a hérité de la colère de son père tandis que son aîné lui, a hérité de l'art de la forge. Un tome passionnant et passionné pour ce nain si dévalorisé par la vie et par la famille. Son sang le fait souffrir et c'est par un long chemin qu'il va comprendre son père sans pour autant lui pardonner de cet amour paternel manqué. La lettre finale est très belle !
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Comme le scénariste et le dessinateur, Nains est devenu un incontournable de la BD fantasy. Faite du même bois que Elfes, Nains s'attache cependant plus à la psychologie des personnages. Assez rare dans ce genre pour être souligné.
J'ai parfois eu du mal à accrocher à certains tomes. Celui-là est plutôt bon. On a un personnage fort et sombre, rempli de rancoeur. Ca nous change des héros tout blanc. Malgré ses mauvaises actions on s'attache à lui, on éprouve de l'empathie, on peut parfois s'identifier à lui.
Un récit sombre du début à la fin mais dont les dernières pages nous donnent un peu de lumière et d'espoir. Un récit sur base de guerre et de combats, du quotidien comme de la légion. Ca ne manque donc pas d'actions. c'est complet.
J'aime bien les dessins de Goux, fins et efficaces.
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Ce tome 6 continue d'entretenir la bonne impression que m'a laissé cette série, qui s'inscrit dans la continuité d'Elfes, série initiale du même univers créée par Jean Luc Istin. Et selon le même procédé, à savoir que chaque tome est assuré par un tandem d'auteurs différents mais récurrents.
Au delà de l'histoire qui pourrait être pratiquement un copier coller du tome 1 puisqu'on y retrouve Redwin, Nicolas Jarry nous parle bel et bien d'héritage et de filiation à travers le récit de l'un des rejetons de Redwin, Jorun, le second, qui passe toujours après son ainé. Cet état de fait est au coeur de ce récit et va définir jusqu'à la personnalité de Jorun, de manière profonde et indélébile. Et à un point tel que les rapports avec son paternel vont dégénérer jusqu'à un point de non retour. Ces rapports ne seront plus alors basés et motivés que par l'indifférence dans le meilleur des cas, la fureur et la haine dans le pire. Ces sentiments vont dessiner le personnage de Jorun et tracer sa voie qui se voudra à jamais dénuée de reconnaissance et d'affection.
Héritage et filiation car Jarry met très clairement en avant la volonté de Jorun de ne surtout pas devenir semblable à son père, et par là même, à lutter contre sa propre destinée, ce pourquoi il est ce qu'il est.
Son initiation sera alors motivée, même contre son gré, par le sentiment de rage qui le détruit de l'intérieur, jusqu'à nourrir une volonté d'en finir avec son père pour pouvoir enfin exister par lui même. Bien plus que la question de filiation ou de reconnaissance, c'est celle de l'identité qui est traitée ici. Identité de Jorun à travers sa tragique histoire, et identité de tout un peuple. Peuple qui se cherche encore dans ce qui le définit et qui semble être autant des traits de caractères qualitatifs que des défauts qui le mènent inexorablement à sa perte. A t'on déjà rencontré un Nain qui ne soit pas une tête de mule? Qui ne soit pas motivé par son goût pour la violence et le sang? Jarry nous dit que cela semble inscrit dans leurs gênes à un point tel que, pour redéfinir et rendre originale sa bd, il faille repenser totalement le caractère universellement connu de la figure du Nain. Ainsi la recherche d'identité dépasserait les cases même de cette bd, car Jarry et ses compatriotes se creusent la caboche depuis quelques dizaines de volumes ( répartis entre les séries Elfes et Nains... et sans doute d'autres à venir!) pour renouveler clairement le genre, nous livrer leur propre vision, y apporter leurs développements originaux et proposer des histoires toujours plus prenantes. Une volonté très nette de se détacher de ce qui a été fait, et trouver sa propre voie, sa propre identité, a lieu ici, il me semble. Pourrait on aller plus loin en supposant que derrière les traits du Nain ou de l'Elfe, se cache Jean Luc Istin, Nicolas jarry ou un autre de la bande... ainsi que leurs aspirations profondes...?
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Fils rebelle et en colère de Redwin, Jorun est confié à un recruteur de la légion de fer trés jeune, Aprés des années de formation, Jorun devient un bon soldat et un bon forgeron, peut être pas aussi doué que son père ou que son frère ainé, mais respecté par ses pairs.
La guerre les rattrapant, il se décide enfin à retourner chez lui pour retrouver sa mère, sa soeur ...et son père.
Après un opus sur Redwin, nous avons encore un affrontement père fils mais ici le fils n'est pas doué, mais bosseur et intelligent.
Scénario touchant car les deux personnages sont attachants car ils sont tous deux en colère ou l'on été.
A lire.
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