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Cyrille J.-D. Javary (Éditeur scientifique)Pierre Faure (Éditeur scientifique)
EAN : 9782226117137
1065 pages
Albin Michel (06/02/2002)
4.2/5   41 notes
Résumé :
* (4ème de couverture de l'édition 2012)

Texte fondateur de la civilisation chinoise, le Yi Jing et devenu aujourd'hui patrimoine de l'humanité. Longtemps considéré comme un ouvrage de divination, le Livre (Jing) des Changements (Yi) ne révèle en réalité rien qui doive être considéré comme une croyance irrationnelle. Il ne fait que constater une évidence que ne rejette aucune foi, que ne contredit aucune science : le changement est la vie même. Ses 6... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Les mots ont ce pouvoir qu'il suffit de s'ennuyer ou de, disons, avoir suffisamment de vide en soi, pour que de s'accrocher à l'un ou l'autre, de ces mots, comme en ouvrant la page d'un livre par hasard, nous finissions par y trouver le sens de nos préoccupations actuelles. Je n'ai pas joué au Yi Jing dimanche dernier mais c'était presque aussi ennuyeux.


Déjà, dans la journée, Robert avait largement eu le temps de faire le tour des blagues. J'avais renoncé depuis quelques temps au projet de nourrir une conversation consistante. D'ailleurs, ces derniers temps, au lieu de parler de « plat de résistance », je n'arrêtais pas de parler de « plat de consistance », et j'étais infoutue de retrouver ce mot, « résistance ». La consistance faisait de la résistance.


Les blagues que j'avais trouvé les plus drôles concernaient les femmes et les juifs. Par exemple : quel est le point commun entre les chaussures et les juifs ? Réponse : on en compte plus en 38 qu'en 45. Je n'ai pas trop compris certaines blagues mais j'ai ri quand même pour montrer que j'ai de l'expérience. Par exemple : comment faire hurler une femme deux fois ? Réponse : en la sodomisant puis en s'essuyant dans les rideaux. Je ne voyais pas vraiment pourquoi une femme hurlerait parce que ses rideaux se retrouvent tachés de merde et de sang. Un tour de machine et c'est fini. Je commençais à remarquer que nous ne partagions pas tout à fait la même vision des choses. Nos priorités ne se situaient pas au même endroit. Lorsque Robert faisait la vaisselle, il en avait pour quarante minutes. Pour moi, c'est dix secondes par ustensile à l'eau froide, éventuellement avec une éponge quand elle existait.


Et ce soir, voilà, c'était le livre sur les contrepèteries. La soirée virait catastrophique.


- C'est embêtant la bise souffle jusqu'au banc.


Les contrepèteries consistent à inverser les syllabes des mots d'une phrase pour que ça fasse des mots drôles. le mot « bise » appelait le mot « bite », suscitant un échange du « s » avec le « t » du mot « embêtant », celui-ci devenant ainsi « en baisant ». J'étais soulagée de m'en être sortie à si bon compte. Je fis semblant de rire pour signaler que j'en avais eu ma dose. Très drôle : c'est en baisant que la bite souffle jusqu'au banc. J'espérais trouver une occasion de changer de sujet en me tournant vers la fenêtre pour trouver l'inspiration mais celle-ci ne donnait que sur un mur.


- Tu n'as pas terminé.


Les contrepèteries au ciel, aussi divines que le Symbole de Nicée-Constantinople. Qu'est-ce que ça peut vouloir dire, que ça souffle jusqu'au banc ? de ma vie, et pourtant j'ai grandi dans la plaine sous les Alpes, territoire agacé l'automne et l'hiver durant par la bise, je n'ai vu une bise souffler jusqu'à un banc. Jamais un banc ne peut à lui seul arrêter un vent. J'ai vu la bise le contourner, le renverser, le subjuguer, l'enrôler, mais jamais s'y arrêter. Je mendiais la réponse à hauteur de l'indifférence que je nourrissais à son égard.


- Tu dois trouver, me répondit-il avec l'air de se prendre pour le dernier des as.


La lampe hibou posée à ma gauche, sur le guéridon, semblait froncer les sourcils. La communication est une illusion, me disait souvent Robert, répétant Freud, pour se délester de la corvée de s'intéresser aux propos d'autrui. Un couvre-boîte à mouchoirs se trouvait en face de moi, sur une table basse. le carton se trouvait à l'intérieur du couvre-boîte en bois. Ce couvre-boîte en bois permettait de cacher le carton. le dispositif apportait une touche de sobriété à l'élément pourtant tragique de la simple boîte à mouchoirs. Au bout d'un certain point, l'adhérence aux mots elle-même se dissout. Il ne reste plus que l'éclat subi de la violence, qui s'enfle jusqu'au … Sans sympathie préalable à s'y accrocher, aucun mot, aucune idée, aucun concept, aucun sentiment, ne peut conduire à cet effet, si peu interrogé, de provoquer cette fausse évidence : ça, c'est moi – moi, c'est moi. A ceci je devinai que nous n'étions pas rendus fous par le même Esprit.

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Le Yi Jing n'est pas un livre de divination. C'est le livre fondateur de la philosophie chinoise qui est basé sur un postulat simple : le changement est la vie même. Postulat exprimé par le Yin et le Yang. Ce livre se veut simplement une aide à la prise de décision, de stratégie à adopter.

Cette traduction est bien plus claire et accessible pour les occidentaux que les traductions antérieures.
Il y a une introduction très intéressante sur la genèse du texte et comment l'aborder, un "mode d'emploi" pour le tirage et l'explication de chaque hexagramme.
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Remarquable travail de Cyril Javary.... Une compréhension profonde de la sagesse de ce grand livre.
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Enfin un livre clair sur cette problématique
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Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
En augmentant notre information, le Yi Jing augmente notre liberté. En nous permettant des choix moins aléatoires, il nous aide à devenir, selon le mot magnifique d’Albert Jacquart, « co-auteur de notre destin ». 
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(Extrait du Discours de la Tortue de Cyrille J.D. Javary)

Texte fondateur de la civilisation chinoise, maître d’oeuvre de sa philosophie et compagnon de son histoire depuis trente-cinq siècles, le Yi Jing est un livre unique, étrange et utile. On peut dire de lui “ce qu’on dit volontiers du Livre de la Voie et de la Vertu attribué à Lao Zi : né du génie d’un peuple, il est devenu patrimoine mondial de l’humanité.”

Et pourtant, voici un livre qui ne ressemble à aucun autre. Il se pourrait même que de tous les livres qu’ont pu produire ou rêver les diverses civilisations, le Yi Jing soit le plus étrange. Ni texte révélé comme la Bible ou le Coran, ni parcours médité comme le Livre des Morts tibétains, encore moins poème épique comme l’Iliade et le Ramayana, ou méthode logique comme celle de Descartes, le Yi Jing est le livre de la vie qui passe.
“La vie qui engendre la vie, c’est cela le changement”. Le nom chinois du Yi Jing “Classique des changements”, situe son sujet : la fluctuation incessante, l’évolution cyclique, le mouvement saisonnier, le changement perpétuel, la seule éternité aux yeux des Chinois. Son projet n’est pas spirituel, il ne révèle rien qui puisse être l’objet d’une foi ou d’une croyance, sa visée n’est pas théorique, il n’édifie aucun système explicatif de l’univers, ni ne disserte sur la cause de son existence ou la finalité de son devenir.

Le Livre des Changements ne fait que constater une évidence ne s’opposant à aucune foi, ne contredisant aucune science : le changement est au coeur de la vie. Seule donnée stable au niveau humain, la raison profonde de cet état de fait ne le concerne guère, seul l’intéresse le fonctionnememnt de ce processus sans cesse à l’oeuvre. Il n’a pas d’autres ambitions que de l’élucider, afin que chaque être humain puisse s’y accorder et y jouer son rôle de la meilleure manière possible.
Mince cahier de quelques dizaines de pages, son énoncé originel se résume à un texte composé de 64 cours chapitres, cernant chacun une situation-type de la vie quotidienne, analysées dans leur dynamique interne, agencée avec minutie, détaillées en phrases brèves dans un style archaïque à la fois précis et poétique et résumées par un nom qui est le plus souvent un verbe d’action : “AVANCER AU GRAND JOUR”, “ATTENDRE”, “ECHANGER”…
Sans âge et sans auteur, ce texte étonnant est l’aboutissement d’une aventure intellectuelle étalée sur une dizaines de siècles et commentée avant même qu’en Chine naisse l’idée d’écriture. On pourrait presque dire, tant leur origine naît d’une source commune, que c’est pour parvenir au Yi Jing que les Chinois ont inventé leurs étranges caractères.”
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L'idée que l'absence, tout autant que la présence, puisse être porteuse de sens, bien qu'elle soit un mode d'expression familier aux Chinois - c'est une des bases du décryptage des discours politiques -, avait rarement été appliquée à la compréhension du "Livre des Changements". Sans doute la teneur Yin, discrète, cachée, de ce genre de message est-elle plus délicate à prendre en compte et nous sommes moins habitués à accorder autant d'importance à ce qui n'est pas mentionné qu'à ce qui l'est. Pourtant, remarquer dans le texte de telle situation type généralement très appréciée l'absence de toute appréciation favorable ou dans telle autre unanimement déconsidérée, l'absence d'appréciations négatives, change considérablement l'idée qu'on peut s'en faire.
Cette analyse textuelle du matériau indiscutable du "Yi Jing" allait finalement m'amener à une autre découverte dont les conséquences sont très importantes par rapport à l'idée qu'on se fait du "Livre des Changements" en Occident. Pendant plus de quinze ans j'avais décrit cet ouvrage comme étant "le grand livre du Yin et du Yang", et voilà qu'il se découvrait sous un tout autre visage. Si son étude, comme le disait Zhang Jiebin, permet de pénétrer l'éternel enlacement du Yin et du Yang, son usage montre qu'à chacun de ces deux principes n'est pas du tout accordée une valeur équivalente. L'examen des appréciations mantiques montre sans conteste que, dans son versant stratégique, le "Yi Jing" est fondamentalement le grand livre du Yin. Voilà une nouvelle qui aurait étonné les traducteurs du XIXe siècle, et en particulier Richard Wilhelm, de tous le plus méprisant envers les femmes.
Tout au long du texte du "Yi Jing", le Yin est valorisé au détriment du Yang et les stratégies Yin systématiquement recommandées deux fois plus souvent que les stratégies Yang. Deux exemples, insuffisants pour prouver cela, permettront néanmoins de l'évoquer. ELAN CREATIF, le seul hexagramme entièrement constitué de Yang, ne se voit gratifié dans le texte de ses traits d'aucune appréciation mantique favorable ; on y trouve plutôt mention de danger et de risque d'orgueil. ELAN RECEPTIF, le seul hexagramme constitué entièrement de Yin, en revanche recueille les deux appréciations les plus hautement favorables : "rien qui ne soit favorable" et "fondamentalement ouvert". Parmi les différents conseils d'attitude du "Yi Jing", il en est un qui parle de "partir en expéditions", c'est-à-dire d'entreprendre un sévère travail de remise en ordre. Cette injonction qui ne manque pas de fermeté est citée en tout 18 fois. Cependant parmi ces occurrences, on n'en trouve que 6 pour lesquelles ce type d'attitude est jugé favorablement ("ouverture pour des expéditions") et 12 où le "Yi Jing" estime que réagir de cette manière mène à une "impasse". L'explication de ce déséquilibre est riche d'enseignements. Si l'attitude, secondaire, réfléchie, en un mot, Yin, est deux fois plus souvent conseillée que la réaction primaire, instinctive, Yang (et cela est également le cas pour la quasi-totalité des autres conseils stratégiques), c'est bien parce que la réaction brutale nous est à chacun spontanée, elle ne demande aucune maîtrise particulière alors que la retenue doit être apprise et réapprise souvent. Dans la ligne confucéenne de l'amélioration de soi, il est compréhensible alors que cette dernière soit le plus souvent prônée. Par ricochet, on prend la mesure de l'importance, dans cette perspective globale, des moments où le "Yi Jing" nous conseille d'agir avec véhémence.
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Tout esprit avisé sait combien la saisie qu'opère l'activité mécanique de la conscience peut être dommageable à la perception du réel. Des démonstrations pertinentes de ce dernier point ont été fournies par Jean-François Billeter, pour qui l'arrêt du contrôle qu'exerce la conscience permet à notre subjectivité de retourner à une forme d'activité plus complète et plus spontanée. La création d'un lien analogique entre l'état actuel de notre présence au monde et le corpus défini des hexagrammes semble être de cet ordre, dans la mesure où elle actualise, par le biais de la mémoire, de l'imagination ou de l'intuition, une partir d'un savoir latent mais inutilisé, beaucoup plus vaste que celui qui nous sert à produire ordinairement notre réalité.
Si la Chine ancienne a conçu la notion des san cai, les trois pouvoirs de la Terre, de l'Homme et du Ciel, c'est qu'on y était attentif non seulement à la relation intrinsèque de l'homme avec l'univers, mais surtout à la capacité de l'être humain à dépasser les représentations limitées et vite caduques de la seule conscience. Sans vouloir commettre d'assimilations hâtives, on peut suggérer que laisser intervenir ce que nous nommons "hasard", c'est accepter de prendre du recul par rapport au fonctionnement habituel de notre esprit, abandonner pour un temps nos tendances interventionnistes afin de laisser apparaître des signes où puissent se lire des analogies entre ce que nous percevons et ne percevons pas. Lorsque nous produisons de tels signes, nous accomplissons le lâcher-prise qui permet, non pas d'opérer des interprétations douteuses à partir d'intuitions échevelées, mais d'obtenir des descriptions nous permettant de nous dégager du point de vue étroit dans lequel nous étions enfermés. Amenés à déconstruire nos évidences, nous pouvons désenclaver le présent des rigidités qui l'enserrent : en le refluidifiant, nous l'élargissons aux strates qui le sous-tendent et aux germes qu'il recèle.
Alors, plutôt que d'apporter des réponses, le "Yi Jing" nous conduit à sortir nos questions de la gangue où notre propre sclérose les enfermait pour revisiter nos références, les mettre à jour ou les envisager à travers d'autres découpages. En entrant réellement dans l'originarité du changement, nous côtoyons à nouveau la transformation, nous avons l'opportunité de nous situer dans les courants à l'oeuvre et, plutôt que de les subir, de nous exercer au positionnement juste.
Ainsi la pratique de ce livre peut-elle opérer "à la manière d'une navette qui passe et repasse inlassablement sur la même chaîne", ainsi remplit-il son office de classique, au sens défini par Anne Cheng : "Le pouvoir [des signes écrits leur vient de ce qu'ils] épousent sans médiation les lignes naturelles de l'univers. [...] Une telle écriture est par excellence canonique au sens du terme chinois "jing", qui désigne la chaîne d'un tissu. Le texte, comme texture, se contente de faire apparaître les motifs fondamentaux de l'univers, il ne s'y superpose pas comme un discours sur l'univers."

in "Pour une actualisation du Yi Jing", préface de Pierre Faure
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Regardons d’abord le yang. La partie droite du caractère ressemble beaucoup au yi de Yi Jing. En fait, elle ne s’en distingue que par un trait horizontal. Alors que le mot yi évoque les changements de temps en général, la « facilité » avec laquelle soleil et pluie alternent dans le ciel ; yang, lui, insiste sur un des aspects de ce changement. Le trait horizontal différencie nettement le soleil de la pluie qui tombe. Cette partie de l’idéogramme dessine la fin d’un orage, quand le soleil prend le pas sur les nuages, quand il s’en distingue de plus en plus nettement. Yang est ce moment particulier où les nuages diminuent, où le soleil se dévoile, l’air se réchauffe et devient plus lumineux, le ciel monte, les nuages s’effilochent et disparaissent. 
Yin se compose dans sa partie droite de deux signes. Le premier exprime une idée de présence latente, et le second est le caractère : nuage(s). Il y est décrit le mouvement complémentaire du yang, les nuages de pluie s’amassent, le soleil se voile, le ciel descend, l’air devient plus sombre et plus froid.
On mesure la distance entre ce qui est évoqué par les idéogrammes chinois et les traductions qu’on nous en propose habituellement. Commençons par les pires : yang = masculin et yin = féminin. Peut-on imaginer réduction plus radicale d’un système qui vise à représenter le changement ? […]
En tant que verbe copulatif reliant l’attribut et le sujet, le verbe être n’existe pas en chinois. Un Chinois ne peut pas dire que le yin est sombre, froid ou bas. Il ne peut donc pas penser que sombre, froid, etc., sont des attributs du yin, mais seulement des résultats sensibles de son action. Yin n’est pas sombre, c’est un mouvement d’assombrissement ; il n’est pas froid, mais tendance au rafraîchissement ; il n’est ni intérieur ni repos, mais rentrée et freinage. De même, yang n’est pas clair, mais mouvement d’éclairement ; il n’est pas chaud, extérieur ou action, mais réchauffement, ascension ou mise en action.
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Vidéo de Cyrille Javary
Rencontre avec Henri Tsiang et Cyrille Javary, animée par Hélène da Costa autour du thème : Qi Gong, la familiarité chinoise avec l'invisible.
Henri Tsiang auteur de "Descartes au pays du Qi Gong", nous montrera par sa connaissance des neurosciences que les gestes du Qi Gong ne sont que les supports à l'INVISIBLE ressenti de la circulation de l'énergie vitale à l'intérieur du corps humain.
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