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EAN : 9782073059918
272 pages
Gallimard (14/03/2024)
4.16/5   345 notes
Résumé :
En cinq nouvelles comme autant d’étapes dans l’histoire cruelle et tumultueuse du Vieux Royaume, le monde créé par Jean-Philippe Jaworski dans Janua Vera et Gagner la guerre — déjà des classiques de la fantasy.
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Critiques, Analyses et Avis (54) Voir plus Ajouter une critique
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Me voilà définitivement conquise par Jaworski !

J'ai retrouvé dans ce recueil de nouvelles l'écriture sublime, à la fois alerte et épicée, de Gagner la guerre. Quel talent ! Ses récits sont d'une richesse incroyable et fourmillent de détails, de figures imagées et de trésors enfouis que le lecteur s'évertue à dénicher à la fin de chaque phrase. Mais Jaworski c'est aussi tout un univers ! Un monde où s'entremêlent habilement cocasserie, cruauté, dérision, frayeur, sarcasme, magie, honneur et déshonneur !

Dans ce recueil, nous sont offertes cinq nouvelles fort différentes les unes des autres. Chacune dégage une atmosphère propre qui peut s'apparenter à des chefs d'oeuvre de littérature fantastique tels que le Trône de Fer ou encore le Seigneur des Anneaux.
Elles s'ancrent toutes les cinq dans le Vieux Royaume, si cher à Jaworski. Si j'ai éprouvé beaucoup de plaisir à retrouver le royaume de Leomance en proie à la guerre et au démantèlement ainsi que la machiavélique ville de Ciudalia j'ai trouvé tout aussi sympa de découvrir de nouveaux horizons : le Massif montagneux de Kluferfell, hostile et impitoyable royaume des nains et l'ïle de Llewynedd, refuge elfique.

Certains personnages m'ont beaucoup plus intéressée que d'autres. Notamment, Sabaude Cufart, dans Desolation, détrousseur de cadavres de son état et qui ne manque pas de fausses excuses et de mauvaise foi pour justifier ses actes. Un vrai régal !
Il est néanmoins difficile de s'attacher aux personnages lorsqu'on lit des nouvelles. Je regrette de les avoir lues les unes après les autres sans prendre la peine d'espacer leur lecture de plusieurs jours.
Pour vraiment apprécier chaque nouvelle, il faudrait prendre le temps de les savourer tranquillement et pleinement.
Je tâcherai de le faire pour ma prochaine lecture de Jaworski : Janua Vera.
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Mon deuxième recueil de nouvelles signé Jaworski et plaisir renouvelé après le très bon "Janua Vera".
Là encore l'auteur démontre son talent de conteur dans ce style particulier qu'est la nouvelle avec cette aisance à créer une ambiance, une histoire qui raconte vraiment quelque chose en finalement très peu de mots, enfin je veux dire de pages ;)
Cinq nouvelles, cinq histoires distinctes mettant en scène des humains, mais aussi des elfes et des nains, c'est dense et bien construit, l'aspect "psychologie" des personnages est réel, c'est bon, vraiment bon.
Le "sentiment du fer" et "désolation" auront été mes deux préférées, sachant que toutes étaient d'un très bon niveau, j'adore Jaworski sans réserve !
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Alors que le second volume de la série celtique de Jean-Philippe Jaworski (« Chasse royal ») vient tout juste de paraître, un autre ouvrage inédit de l'auteur est depuis peu disponible en librairie. Intitulé « Le sentiment du fer », l'ouvrage en question compile les différentes nouvelles écrites depuis « Janua vera » et se déroulant dans l'univers du Vieux Royaume, celles-ci n'ayant jusqu'à présent été publiées que dans diverses anthologies, notamment celles du festival des Imaginales d'Epinal. Un ouvrage que j'attendais avec impatience, quant bien même la quasi-totalité des textes ne m'étaient pas inconnus. Or, si la qualité est sans surprise au rendez-vous en ce qui concerne les nouvelles de Jaworski, c'est cependant loin d'être le cas de l'objet-livre lui-même qui ne peut s'empêcher de décevoir. Absence de sommaire et des références concernant les précédentes parutions des nouvelles, espace rentabilisé au maximum, erreurs sur la quatrième de couverture..., bref tout laisse penser à une édition bâclée, et ce alors même qu'on était en droit de s'attendre à un résultat particulièrement soigné, non seulement en raison de la renommé de l'auteur mais surtout de la longue période qui s'est écoulée entre la publication de l'ouvrage et l'annonce de ce projet par la maison d'édition. J'ai également été assez déçue de ne pas voir figurer au sommaire du recueil la nouvelle « Montefellone », initialement publiée en 2009 dans l'anthologie « Rois et capitaines » et dans laquelle l'auteur mettait brillamment en lumière l'absurdité de la guerre et l'ingratitude des puissants.

Le talent de Jaworski ne tarde fort heureusement pas à vite nous faire oublier ces petits désagréments et c'est donc avec un plaisir intact que l'on renoue avec l'univers du Vieux Royaume et ses différentes contrées, de la République de Ciudalia au Royaume de Léomance en passant par le royaume de Kahad Burg ou encore le port franc de Llewynedd. le choix des protagonistes est tout aussi varié puisque nous avons tour à tour affaire à des nains, des hors-la-loi, une magicienne ou encore des elfes. Dans « Le sentiment du fer », le héros n'est autre qu'un voleur chargé de récupérer un mystérieux livre ce qui permet à l'auteur de laisser libre court à son talent pour l'argot et les répliques pleines de gouaille. Dans « L'elfe et les égorgeurs », on retrouve le personnage de l'elfe Annoeth, déjà mis en scène dans « Gagner la guerre » ainsi que la nouvelle « Le conte de Suzelle » et apparemment toujours aussi insouciant. L'auteur nous invite ensuite à découvrir l'envers des champs de bataille puisque la nouvelle « Profanation » met cette fois en scène un détrousseur de cadavres jugé pour ses crimes par les glaçants prêtres du Desséché. Changement de décor avec « Désolation », un texte qui nous fait basculer dans une fantasy que l'on pourrait qualifier de plus classique (références à Tolkien, présence de nains et de gnomes, expédition vers une cité oubliée...) mais Jaworski parvient encore une fois à nous surprendre avec un final aussi inattendu que réussi. le recueil se clôt avec « La troisième hypostase », une nouvelle pleine de poésie dans laquelle la magie occupe cette fois une place centrale.

Un recueil décevant sur la forme mais de grande qualité sur le fond. C'est un véritable plaisir de renouer avec l'univers de « Gagner la guerre » et « Janua Vera » ainsi qu'avec la plume de Jaworski, aussi à l'aise dans sa maîtrise de l'argot des voleurs que dans celle de la poésie des elfes. Espérons que l'auteur nous réservera prochainement d'autres voyages dans son Vieux Royaume !
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FAIRE DU SENTIMENT ?

Jean-Philippe Jaworski est doué, décidément très doué, et il le montre une fois encore à travers ce recueil de nouvelles, d'abord éditées séparément, entre autre aux éditions Mnemos, puis publiées en un seul volume chez Hélios (dont la mise en page n'est malheureusement pas des plus attractives, l'éditeur rognant sans cesse un peu plus sur les marges afin de conserver un prix relativement attractif, et même si l'on veut bien entendre les problèmes de coûts de fabrication, cela n'en demeure pas moins peu esthétique ni confortable).

Ce sont donc cinq nouvelles prenant leurs racines dans la même veine, le même fond que les précédents volume : Juana Vera et son roman tant justement encensé, Gagner la guerre. On y croise ainsi, dans la nouvelle-titre, un maître assassin qui n'est pas sans rappeler, par son ingéniosité, sa malignité et ses compétences à tuer, un certain Benvenuto désormais bien connu des lecteurs, combien même le tueur de cette première nouvelle est affublé d'une apparence à faire peur. On se retrouve ensuite en compagnie d'un elfe aux talents de charmeurs d'une puissance quasi-surnaturelle (en même temps, c'est un elfe, n'est-ce pas ?) et qui va se sortir d'un bien périlleux danger, seul contre tous, retournant même la situation à son seul avantage. Nouvelle d'une cruauté raffinée et diabolique s'il en est. Au cours de la troisième, on découvre qu'il ne fait vraiment pas bon être un pauvre hère surpris sur un charnier après la bataille, et que le jugement peut être terrible, surtout s'il est prononcé par les prêtres infâmes du Desséché, que des inquisiteurs espagnols de la grande époque auraient pu prendre pour frères. le tout est servi par un humour des plus noirs qu'Ambrose Bierce ou Alphonse Allais, dans des genres différents, n'auraient pas renié.

La quatrième nouvelle, la plus longue, est aussi sans conteste la plus aboutie, celle dans laquelle l'auteur aura su le mieux développer tout son talent. On y croise une troupe armée de nains aguerris au combat, accompagnée de gnomes ravalés au rang d'esclaves et de portefaix, cette compagnie étant poursuivie par des hordes de gobelin fort peu accortes, le tout se déroulant dans une vallée encaissée réputée infranchissable en raison de la présence d'un dragon assez peu cordial bien qu'en sommeil. Si l'hommage à J.R.R Tolkien est, dès la première page, l'évidence même, Jean-Philippe Jarouski parvient, avec intelligence, grâce, humour à s'approprier à la perfection tous les codes du genre, et plus particulièrement de ceux institués par le grand maître britannique de l'héroïc fantasy. Un très beau moment de lecture, palpitant et à la chute presque aussi inattendue que sacrément bien imaginée.

La cinquième et ultime nouvelle de ce recueil est presque directement liée à Gagner la guerre, se référant d'ailleurs à l'un de ses épisodes les plus tragiques ainsi qu'à l'un des seuls personnages droits et honnêtes du roman. Nous sommes cette fois dans un monde de magie elfique - d'une magie troublée par les fameux prêtre du Desséché -, connaissant une fin tout à la fois sombre mais ouverte sur d'éventuels épisodes à venir.

Le sentiment du fer ne fait donc, il faut l'admettre, pas beaucoup dans le (gentil) sentiment. Et c'est toujours la guerre, omniprésente dans l'histoire mouvementée et cruelle du Vieux Royaume, qui sert de toile de fond à ces cinq riches moments d'une fantasy de haut style, les reliant même avec un grand savoir-faire les uns aux autres, subtilement, quand bien même on ne retrouve aucun personnage commun de l'une à l'autre, ces moments d'histoires s'étalant sur dix-sept années et des lieux divers. Ainsi, de nouvelles éparses, Jaworski parvient à tracer une chronologie épique, une sorte de méta-conte à l'intérieur d'épisode d'apparence parfaitement disparate.

Cet homme là, bien qu'il en fasse parfois des tonnes - mais quel plaisir tout de même de découvrir un vrai style, riche, complexe, aux vocables aussi précis qu'ils peuvent s'avérer baroques, dans un genre, la SFFF, si souvent et parfois justement décrié pour la pauvreté, l'indigence des écritures -, cet homme-là, donc, sait embarquer son lecteur où il l'entend, et c'est un pur bonheur !
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Les elfes sont des emmerderesses. C'est pas moi qui l'ait dit, même si je n'en pense pas moins, c'est Jaworski (je serais d'ailleurs curieuse de savoir si il a piqué l'expression à Brassens qui est, à ma connaissance, le seul à l'avoir utilisée). Avec la nouvelle d'ouverture de ce recueil, « le Sentiment du fer », il nous en apporte la preuve éclatante : même quand ils ne sont pas là, les elfes arrivent à vous pourrir la vie, comme on pourrait témoigner ce voleur de Ciudalia embarqué dans une dangereuse mission pour dérober un objet mystérieux. Quand ils sont là, bien sûr, c'est encore pire. Demandez donc à cette bande d'honnêtes coupe-jarrets dérangés au milieu de leur paisible tâche par un baladin elfique à la langue trop bien pendu. Et il n'y a pas que les elfes, les nains aussi sont de sacrées petites raclures ! Moins sinueux peut-être, mais des petits salopards sournois quand même et qui n'hésitent pas exploiter et à sacrifier leurs prochains. La preuve, regardez cette caravane de gnomes conduits à coups de fouet dans les dédales d'une cité souterraine où se dissimule un terrible dragon… Et je ne vous parle même pas des sorciers ! Ralala, les sorciers, plutôt me flanquer un coup de hache dans le pied que d'en côtoyer un, je m'en tirerais à meilleurs frais !

On peut toujours compter sur Jean-Philippe Jaworski pour démolir les poncifs de la fantasy et en faire quelque chose d'entièrement nouveau. Passés à la moulinette de son imagination géniale, elfes, nains, sorciers et enchanteresses en ressortent transfigurés et modernisés. Comme pour « Janua Vera », son précédent recueil, Jaworski prouve que sa plume délicieuse se prête à tous les registres : humoristique avec le grinçant et hilarant « Profanation », tragique avec le plus poétique « Troisième hypostase », aventureux, etc… J'ai particulièrement apprécié la façon dont tous ces petits récits tissent des ponts entre eux, ainsi qu'avec ceux de « Janua Vera », donnant l'impression d'un tout homogène et permettant au monde du Vieux Royaume d'acquérir une grande densité. le tout donne un ouvrage d'excellente qualité, malheureusement desservi par une édition assez médiocre : couverture moyenne, design général moche, pas mal de coquilles, ainsi que des erreurs d'impression. J'aime trop Jaworski pour le pénaliser pour cela. N'empêche, j'aurais préféré l'acquérir en numérique. Surprenant de la part des « Moutons électriques » qui se distinguent habituellement par des éditions de très bonne qualité.
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critiques presse (2)
Syfantasy
21 juin 2022
Ce recueil de nouvelles, bien que court, permet à l’auteur de développer encore son Vieux Royaume en nous présentant de nouvelles races, de nouveaux lieux pour notre plus grand plaisir de lecteur !
Lire la critique sur le site : Syfantasy
Elbakin.net
24 juillet 2015
Comme à l’accoutumée la plume est finement ciselée et la maîtrise stylistique de l’auteur fait mouche plus d’une fois.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Ces malheureux, quand ils vous voient, ils vous supplient d'abréger leurs souffrances. Aussi, quoiqu'il m'en ait coûté car j'ai le coeur sensible, je leur ai souvent accordé le coup de grâce. Après m'être assuré qu'ils avaient bien récité leurs prières, il va sans dire. Les pauvres gens ! Vous auriez vu la lueur de reconnaissance dans leurs yeux - du moins, chez ceux qui les avaient encore... Souvent par gratitude, ils m'offraient leur petit pécule, préférant le léguer à une âme miséricordieuse plutôt que de l'abandonner aux hasards du pillage.
(Profanation)
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Ils ne perdaient pas une miette de ses gestes : le baladin saisissait les mets avec délicatesse, un petit doigt relevé ; il humectait ses lèvres sur le bord de la coupe ; il picorait chaque bouchée avec une discrétion de bon aloi. La troupe gobait tout comme au spectacle. Une lueur salace brasillait même dans la prunelle des lubriques : la mignardise de l'invité creusait d'autres fringales.
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-Je ne peux que parer au plus pressé, recourir à des sacrifices nécessaires. C'est pourquoi, en effet, j'ai prélevé sur ma vie pour obvier à leurs sorts délétères.
-C'est de la folie ! Vous me l'avez toujours enseigné ! Rien ne légitime que vous, vous entre tous, vous pratiquiez une telle immolation.
-Il arrive que la folie soit sage, murmura l'archimage. Nous sommes acculés dans un vrai bain de sang : nous risquons tous la mort dans ce carnage, et dans la mort une forme d'asservissement. Il n'y a plus d'issue que dans la démesure.
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Il y a un paquet de bonshommes qui ne peuvent pas encaisser les elfes.
Certains les jalousent, d'autres les méprisent, personne ne les entrave - si toutefois il y a quelque chose à comprendre chez ces écervelés. Beaucoup d'envieux sont tout simplement exaspérés par l'afféterie des mignards. Il n'y a pas à lanterner : les elfes sont trop beaux.
Trop gracieux. Trop diserts. Trop adroits. Trop vieux. Trop jeunes. Trop légers. Pour un rombier avec le museau ordinaire, la bedaine qui s'alourdit et l'âme cafardeuse, il y a de quoi grincer des dents.
(Dans "le sentiment du fer")
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- Un champ de bataille est semé d'objets perdus qui, grâce au dévouement de petites mains comme votre serviteur, se transforment en objets trouvés. Je suis tout disposé à les rendre à leurs légitimes propriétaires, pourvu qu'ils me fournissent la preuve que ce matériel leur appartient bien. Mais jamais, ô grand jamais ! je ne m'abaisserais à dépouiller les morts. (Sabaude Cuffart (l'accusé) à ses juges)
(dans "Profanation")
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Vidéo de Jean-Philippe Jaworski
Le fil rouge de ce nouvel épisode ? L'amour.
Sept conseils de lectures, proposés par sept libraires de Dialogues, des livres pour tous les âges, pour tous les goûts, pour toutes les sensibilités, et qui, chacun, nous parle d'amour à sa façon.
Voici les livres cités dans cet épisode :
Normal People, de Sally Rooney (éd. de l'Olivier) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/18431293-normal-people-sally-rooney-editions-de-l-olivier ;
Ada et Graff, de Dany Héricourt (éd. Liana Levi) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23009211-ada-et-graff-dany-hericourt-liana-levi ;
J'ai péché, péché dans le plaisir, d'Abnousse Shalmani (éd. Grasset) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23136090-j-ai-peche-peche-dans-le-plaisir-abnousse-shalmani-grasset ;
Forough Farrokhzad, oeuvre poétique complète (éd. Lettres persanes) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/13210169-forough-farrokhzad-oeuvre-poetique-complete-forug-farroh-zad-persanes ;
Je serai le feu, de Diglee (éd. La ville brûle) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/19776423-je-serai-le-feu-diglee-la-ville-brule ;
Les Choses de l'amour, de Dorothée de Monfreid (éd. Misma) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/16724027-les-choses-de-l-amour-dorothee-de-monfreid-misma ;
Le Chevalier aux épines, tomes 1, 2 et 3, de Jean-Philippe Jaworski (éd. Les Moutons électriques) : https://www.librairiedialogues.fr/recherche/?q=le+chevalier+aux+%C3%A9pines ;
Sans crier gare, de Gary D. Schmidt (éd. École des Loisirs) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23027151-sans-crier-gare-gary-d-schmidt-ecole-des-loisirs ;
Plein ciel, de Siècle Vaëlban (éd. Castelmore) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23128671-plein-ciel-edition-reliee--siecle-vaelban-bragelonne.
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