Jean Lartéguy
EAN : 9782266012126
Pocket (09/09/1998)
/5
25 notes
Pocket (09/09/1998)
Résumé :
Ce roman est l'histoire de deux villes qui n'existent plus : Hanoi et Saigon:
Il y a bien dans le delta du Tonkin une ville qui porte encore le nom d'Hanoi, comme dans le delta de Cochinchine une autre qui s'appelle toujours Saigon. L'une est la capitale d'une république autoritaire et bureaucratique, l'autre d'un Etat papelard et anachronique.
Elles sont prudes, hypocrites et si leurs parcs sont ratissés et leurs bâtiments repeints, elles n'ont plus r... >Voir plus
Il y a bien dans le delta du Tonkin une ville qui porte encore le nom d'Hanoi, comme dans le delta de Cochinchine une autre qui s'appelle toujours Saigon. L'une est la capitale d'une république autoritaire et bureaucratique, l'autre d'un Etat papelard et anachronique.
Elles sont prudes, hypocrites et si leurs parcs sont ratissés et leurs bâtiments repeints, elles n'ont plus r... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Un vieux livre lu dans ma jeunesse ! Un livre de l'aigreur du soldat floué qui voit tous ses idéaux détruits. Il mériterait une réédition !
Un vieux livre (1962 !)… L'Histoire est passée et a transformé ces deux villes encore plus. L'auteur présente (en 1962 !) sa nostalgie de ce qu'avaient été Hanoï et Saïgon avant avant… vues par un soldat de la puissance coloniale (pour ne pas dire des forces d'occupation)
(NB : ces deux villes sont distantes de 1600 km par la route.)
Il n'en reste pas moins que l'envoûtement, le dépaysement, la force d'attraction de ces cités d'Asie demeure.
(NB : ces deux villes sont distantes de 1600 km par la route.)
Il n'en reste pas moins que l'envoûtement, le dépaysement, la force d'attraction de ces cités d'Asie demeure.
Citations et extraits (2)
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Quand les parachutistes, ces guerriers, et les légionnaires, ces mercenaires consciencieux avaient disparu à Dien-Bien-Phu, il n'était plus rien resté du Corps expéditionnaire qu'un ramassis de cavaliers prétentieux, de tirailleurs démoralisés et de nègres inutilisables. (p. 77)
Que penses-tu de tout cela, des Vietminhs qui arrivent, des Français qui partent ?
Je pense que je n'aurai toujours que deux bols de riz par jour et qu'il m'en faudrait trois pour ne plus avoir faim. (p. 72)
Je pense que je n'aurai toujours que deux bols de riz par jour et qu'il m'en faudrait trois pour ne plus avoir faim. (p. 72)
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Jean Lartéguy, écrivain, soldat, patriote | Cercle Richelieu
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