K.W Jeter pose ici et là plusieurs élément fondateur du steampunk à l'instar de ses amis Powers et Blaylock.
Même si la sauce victorienne fait mouche,
Machines infernales s'essouffle pourtant assez vite et laisse place à de la lassitude voire de la frustration. L'originalité du genre nous fait cependant tenir jusqu'au dernières lignes, mais les choix brouillons et téléphonés de l'auteur nous laisse sur notre faim. Dommage.
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