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3,89

sur 127 notes
"Les alouettes chantent, le printemps est là
Les marmottes criaillent, l'orchidée s'épanouit
Les cigognes grises s'égosillent, la pluie couve
Les jeunes loups hurlent, la lune se lève"

N'allez pas croire que cette ritournelle pour enfants des steppes, chantée par les peuples nomades, les descendants d'Attila ou encore les Mongols de Gengis Khan soit le reflet de ce roman.
Il est un hymne à la nature, soit, mais il faut en passer par tant de cruauté qu'on en oublie parfois la leçon écologique...


Le totem du loup (ou le dernier loup selon la version cinématographique de Jean-Jacques Annaud) raconte les aventures d'un jeune étudiant chinois, appelé Chan Zen, qui va apprendre à vivre avec les tribus mongoles.
Il sera en contact avec des gardiens de moutons, avec des gardiens de chevaux qu'il faudra sans cesse défendre de leur prédateur le plus terrible : le loup...
Au contact de ces hommes des steppes, il apprendra combien il est important de préserver l'équilibre naturel et qu'en tout premier lieu, cela passe par la dévotion faite au loup, qu'il convient de chasser mais surtout pas d'exterminer.

Chan Zen apprend et devient à son tour un fervent amoureux du loup au point de capturer un louveteau et de l'élever auprès de lui. Bonne ou mauvaise idée ? La fin de ce roman donne la réponse.


C'est un roman terrible, car d'une part, les scènes de chasse n'épargnent pas le lecteur mais c'est surtout la cruauté idiote de certains hommes qui effraie. J'ai détesté Bao Shungui, le délégué militaire, qui ne comprend rien à rien à l'esprit mongol et qui s'entête à vouloir exterminer loups, marmottes, cygnes...C'est rare quand je déteste un personnage à ce point. ( le dernier en date est un certain Joffrey Lannister...)


C'est un roman nécessaire mais difficile à lire. Par son côté
âpre mais également par ses longueurs et ses répétitions. Il m'a paru interminable.
En tout cas, je sais une chose. Quand le film le dernier loup est sorti, j'ai hésité à aller le voir puis finalement ayant entendu que certaines scènes étaient insoutenables (ce que je crois aisément après avoir lu le livre) j'ai préféré m'abstenir. J'ai bien fait !
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Chen Zhen est un "instruit", un étudiant chinois qui part habiter au milieu d'une tribu Mongole. Il va apprendre et partager leur quotidien, leurs habitudes et leurs coutumes. Fier de son peuple, Bilig, l'ancien de la tribu, va également lui faire découvrir son amour pour la terre. Ensemble ils vont chasser le gibier et admirer le loup, cet animal qui les fascine...
Lu dans le cadre du club de lecture d'avril, ce roman, bien qu'intéressant et très bien écrit, m'a paru très long et lent. Les descriptions de la step n'ont pas su m'emporter dans ces terres arides et dures. Je suis tout de même tres heureuse d'avoir pu découvrir ce récit, dont les dimensions politiques m'ont totalement dépassé, je l'avoue !
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Avec le totem du loup, Lü Jiamin alias Jiang Rong emmène le lecteur à travers les steppes de Mongolie Intérieure alors que la Chine est en pleine révolution culturelle et que la politique maoïste à pour but de lutter contre les « quatre vieilleries ». de jeunes étudiants doivent donc se rendre dans les différents coins du pays considérés comme moins développés, afin de siniser des populations dont la culture reste traditionnelle. Ces jeunes citadins se retrouvent ainsi projeter dans des univers nouveaux où ils ont tout à apprendre. Chen Zeng, venu de Pékin, s'intègre très bien à la vie rude des Mongols dont il apprend le respect de la steppe et de son roi, le loup. Cet animal aussi admiré que redouté rythme la vie des pasteurs en constante lutte ouverte pour protéger leurs troupeaux. Curieux, Chen Zeng décide de capturer un louveteau et de l'élever afin d'étudier au plus près cet animal, totem des Mongols.
Ce roman fait voyager le lecteur dans des contrées arides mais pleines de vies où le moindre faux pas peut coûter cher. L'accent est mis sur la dualité du monde sans tomber dans le manichéisme. Les rivalités entre la Chine et la Mongolie mais encore entre l'Orient et l'Occident rythme le récit en laissant la place à l'histoire des peuples, base de l'époque contemporaine. Tout au long du livre deux modes de vie s'opposent alors même que le sédentarisme prend le pas sur le nomadisme. le lecteur assiste à un tournant de l'histoire mongole rattraper par la mondialisation. A travers les personnages, l'auteur livre un discours politique sur des questions telles que le poids du travail ou encore la destruction de tout un écosystème. de même, le combat entre les hommes qui veulent exterminer les loups et ces derniers peut également être vu comme une allégorie de la disparition du mode de vie traditionnel des Mongols.
C'est un récit très riche en références historiques, notamment grâce aux courts extraits de diverses sources au début de chaque chapitre. Il permet également de se documenter sur la vie des Mongols, des loups mais aussi d'approcher les idées de Confucius avec l'idéal du « juste milieu », de la nécéssité de la bonne mesure en toute chose pour vivre dans un monde équilibré.
Dans son film, le dernier loup, Jean-Jacques Annaud a su faire ressortir le sentiment qu'inspire ce livre. Il a mis en avant la lutte des loups et des Mongols pour la sauvegarde d'un mode et d'un milieu de vie. Les scènes avec les loups sont à l'image de celles du roman. C'est le film qui m'a conduit à lire ce livre et je ne suis pas déçue de ce voyage coloré et enrichissant à bien des points de vue. Mon seul regret pour ce livre réside dans le fait qu'il ait perdu lors de sa dernière édition, pour des raisons commerciales, son titre original pour prendre celui du film, or, le totem du loup est beaucoup plus indiqué pour le roman.
« Notre plus grande gloire n'est point de tomber, mais de savoir nous relever chaque fois que nous tombons », Confucius.
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Le Totem du loup nous narre l'histoire d'un étudiant chinois envoyé en rééducation chez les peuples nomades de Mongolie en 1967 alors que nous sommes sous l'ère Mao et la Révolution Culturelle.
Le jeune lettré va vite tomber sous le charme de la vie mongole, faite de sagesse et de prévoyance où la Nature est déifiée et où le loup est un symbole tout puissant dont le peuple nomade descendant de Gengis Khan a fait son totem. Formé par le vieux Bilig, un chasseur émérite, Chen Zen va apprendre les règles de vie que nous enseigne la Nature, le respect des animaux tués pour manger, la sélection naturelle et le grand cycle de la vie dans la steppe où chacun est la proie et le chasseur ce qui participe à l'équilibre général. La vie est rude en Mongolie mais tous en connaissent la loi et l'acceptent. Fasciné par les loups Chen Zen va tout faire pour en élever un afin de mieux comprendre le caractère de cet animal qui place la liberté au-dessus de tout.
Le bouquin fait un carton en Chine où on en a déjà vendu plus de 20 millions d'exemplaires car ses métaphores évoquent la vie politique et le joug qui empêche toute rébellion, alors que le loup devient un modèle à suivre pour le peuple Chinois s'il veut faire son trou dans un monde moderne où domine la logique de la compétition économique. Son auteur Jiang Rong (pseudonyme) est professeur d'histoire et d'économie né dans une famille de militaires et a passé une dizaine années en Mongolie comme volontaire. Sa connaissance de la nature et des moeurs des loups, marmottes et autres habitants de la steppe, font de son roman un magnifique livre d'éducation qui se lit à différents niveaux. Les droits cinématographiques ont déjà été achetés par Peter Jackson le réalisateur. Après le Seigneur des Anneaux, le Saigneur des Animaux ? Un bouquin vivement conseillé pour la bouffée d'espace et de liberté qui s'en dégage.
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Cela fait un moment que ce livre prend la poussière dans ma bibliothèque sans que je trouve la motivation pour le lire !
Et puis entre l'adaptation cinématographique, le club de lecture du mois d'Avril de Babelio et divers challenges je l'ai enfin trouvé, cette motivation !

Bon je vais le dire, l'avouer même, j'ai été très déçue. Je l'ai trouvé très très lent et assez répétitif jusqu'au deux tiers du roman. En effet pendant 400 pages, on alterne entre chasse aux loups et attaques de ces derniers.
Les descriptions de la steppe m'ont laissé de marbre et pourtant la Mongolie est un pays qui m'attire.
Je pense que cela est du, en partie, à l'écriture que j'ai trouvé très "lourde" : beaucoup de répétitions et d'images un peu oniriques pour décrire la steppe et son environnement ("le vents aux poils blancs"...). Je comprends que cela puisse plaire mais malheureusement je n'adhère pas.
C'est le premier livre d'un auteur chinois que je lis et cela m'a un peu échaudé, même si un seul auteur ne peut pas être représentatif d'une culture entier bien évidemment ...
Le dernier tiers m'a un peu plus intéressée mais cela n'a pas suffit malgré tout à me captiver !

Certains passages sont quand même assez violents, il faut le préciser, notamment . Je ne suis pas facilement impressionnable mais je ne sais pas pourquoi ces scènes m'ont marquée.

Au point de vue historique ce roman traite d'une période que je connais peu et des fois j'ai trouvé que cela manquait un peu d'explications, peut-être l'éditeur aurait put mettre quelques repères à la fin du livre...
Par contre on voit très bien dans le livre les conséquences néfastes de l'arrivée des chinois sur ces terres Mongoles.On est révolté mais malheureusement la fin est assez prévisible.

Voila j'ai l'impression, aux regards des autres critiques, d'être passée à côté de ce roman, qui m'a beaucoup ennuyée. J'ai malgré tout envie de voir le film de Jean-Jacques Annaud car je suis persuadée que les images de la steppe, des loups...doivent être magnifiques et peut-être plus impressionnantes que dans ce livre !

Challenge ABC 2014/2015
Challenge Variétés 2015 - Un livre adapté en film
Club de lecture du mois d'Avril 2015


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Bon, il faut le reconnaître, par moments, ce livre est aussi indigeste qu'un bol de lait caillé. Des descriptions qui s'éternisent, des impressions de redites, c'est peut-être aussi cela la vie des nomades dans les steppes mongoles ?

Ce roman nous fait assister à la mort du nomadisme mongol, soit au partage du territoire entre flore, troupeaux, hommes et loups protégeant l'harmonie d'un écosystème en équilibre au profit de l'exploitation outrancière de la terre par les fermiers (chinois) sédentaires introduisant des déséquilibres difficilement contrôlables et exigeants de plus en plus d'énergie pour continuer cette exploitation.

Au-delà des belles images, se pose une question existentielle pour la survie de l'humanité. Il y a des milliers d'années nos ancêtres vénéraient la terre et lui offraient des sacrifices humains. Aujourd'hui les hommes sacrifient la terre pour sauver des humains, mais que feront-ils une fois la terre morte ?
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Côté thèmes abordés, tous les voyants sont au verts. le lettré puni par un système tyrannique, le voyage initiatique, la fin d'un espace naturel dévasté par la machine (politique) et l'amour pour le loup; créature magnifique et sauvage dont on massacre les bébés: tout est là.
Le problème c'est qu'on ne lit pas qu'avec son (bon) coeur... et les yeux finissent par piquer un peu. C'est long, c'est répétitif; même si quelques passages de chasses, de sauvetages de poney ou de loup (donc) marquent le lecteur, on s'ennui un peu trop souvent.
Bref, ceux qui aiment les belles descriptions et les bons sentiments devraient se faire plaisir, les éleveurs de moutons maoïstes moins.
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À la base peu attirrée par ce livre, je me suis laissé convaincre par le club de lecture d'avril pour sortir de ce qui m'attire naturellement. Sans regret : j'ai vraiment apprécié cette lecture. Evidemment, je n'ai encore une fois pas réussi à le finir dans le bon mois.

On suit un jeune instruit chinois envoyé en steppe mongol pendant la révolution culturelle. Là, il va découvrir les us et coutumes locales et surtout les loups.

Le loup est présenté ici demanière très emblématique, on lui attribue des caractéristique presque divine et il est vu comme un modèle pour l'homme. Au début de chaque chapitre, des citations d'écrits historiques viennent nous montrer à quel point les mongols et/ou les autres peuples conquérants ont été inspirés par les loups. Tout du long du livre les peuples agriculteurs (han, chinois) sont assimilés aux moutons et opposés aux peuples éleveurs (mongols, mais aussi occidentaux), assimilés aux loups. Ces comparaisons et la défense des valeurs guerrières pourraient rendre le roman franchement lourd - et c'est par moment le cas - mais contribuent surtout à l'ambiance un peu mystique. Une chose que j'ai d'ailleurs particulièrement appréciée : on nous présente toutes ces idées du point de vue du han envoyé ici, instruit auprès d'un vieux sage mais plusieurs indices nous montre qu'il se monte aussi peut-être un peu la tête presque tout seul et qu'il n'est pas tout à fait dans le même état d'esprit et de valeur que la plupart des mongols.

Les faits racontés se concentrent en large majorité sur la chasse, aux gazelles, aux loups ou à d'autres animaux de la steppe, par ls hommes ou les loups, et un peu la vie nomade dans la steppe. Les scènes racontées sont franchement sanglantes et pourraient choquées par moment (violence sur les animaux, très peu sur les humains). J'ai beaucoup aimé le style dans lequel elles sont racontés, avec pas mal de détails (chaque chasse constitue un passage assez long), le paysage qui y est inclut presque comme acteur plutôt que comme simple décors, et des allusions mystiques qui sous tendent le tout. Après les chasses on a toujours les réactions des hommes : sentiments mais aussi organisation du transport de la viande, dépeçage, répartition entre chacun selon les coutumes mongoles.

Ces scènes d'actions sont entrecoupées de longs discours et explications sur le totem du loup. le ton de ces grands discours, en particulier quand ils sont relatés sous forme de dialogue, sonne assez artificiel. Personnellement ça ne m'a pas beaucoup gênée. Par contre, ça finit par devenir répétitif.

L'autre grande idée défendue ici est la sauvegarde de la steppe et de son ecosystème, qui a visiblement échoué. Là aussi ça finit par être un peu lourd à force de répétition grandiloquentes. Cette idée est vue comme très liée aux loups, tant pour leur participation à cet écosystème en temps que régulateur que pour des raisons plus mystiques.

Les saisons mongoles sont racontés avec enphase, la neige le vent et l'herbe sont des considérations omniprésentes. J'ai aimé le style, sans arret entre description factuelles et mystiques.

J'ai appris pas mal de choses à travers ce livre (faut dire je ne connaissais absolument rien à propos de la vie nomade dans une steppe), et du coup je relirais bien un ou deux livres sur le sujet.

Sans avoir vu le film, je doute qu'il ressemble tellement au livre. Ha et aussi, vu le contenu du livre, je trouve ce changement de titre ("le dernier loup" plutôt que "le totem du loup") vraiment dommage, le nouveau retranscrivant nettement moins bien le contenu du livre (j'aurais déjà été nettement plus d'accord avec "les derniers loups").

Je regrette également l'absence d'une brève préface présentant rapidement le contexte historiques pour ceux ne sachant pas trop ce qu'est un jeune instruit ou le fonctionnement des points de travail.

Des lourdeurs donc, mais un livre que j'ai globalement trouvé très beau, et qui changent effectivement de mes lectures habituelles.
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Des étendues désertiques à perte de vue, la neige qui recouvre tout, un vent violent qui pique les yeux, des hurlements de loups…tel est le décor de ce roman largement autobiographique de Jian Rong.

Comme le héros Chen Zhen, l'auteur a passé dix ans sur la steppe en compagnie des Mongols. Ce roman d'aventures ou récit d'initiation, nous entraîne sur les pas d'un jeune étudiant chinois,au coeur des tribus nomades, ces héritiers de Gengis Khan ayant pour emblème, le loup !
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Chen Zhen est un étudiant chinois qui vit depuis quelques temps dans les plaines de Mongolie en compagnie d'une tribu locale. Durant son séjour, il découvre la vie mongole, et surtout le lien qu'ont les habitants avec les loups, maîtres de la steppe...

J'ai lu la traduction en anglais (oui, je sais, pourquoi ? On me l'a offert, na !).
Bien que vendu à des dizaines de millions d'exemplaires en Chine, je comprends pourquoi Wolf Totem (Le Totem du loup en français) n'a pas connu le même destin sur nos lattitudes. Nous sommes à mille lieues des cultures chinoise et mongole, le lectorat lambda ne connaît mine de rien que très peu voire rien du tout de leur histoire, et il paraît difficile de comprendre toutes les métaphores critiquant le régime chinois en place pour qui n'en connaît pas toutes les subtilités. Ce livre répond clairement à la problématique : un livre qui marche quelque part marche-t-il forcément partout ? La réponse est clairement non, surtout quand le contenu dudit bouquin fait appel à des connaissances et références non partagées.
Ceci étant dit, cette histoire est intéressante. Je n'ai toutefois pas aimé plusieurs points, comme les questions naïves de Chen Zhen à ses hôtes par rapport aux loups, qui ont clairement pour tache d'instruire le lecteur. Dans ces moments-là, on n'a plus le sentiment d'avoir affaire à un personnage de roman mais à une espèce d'encyclopédie qui fait d'ailleurs l'apologie des loups.
Ensuite, l'histoire met un temps fou à se mettre en place. Je n'ai commencé à apprécier ma lecture qu'après 130 pages (et pas d'un format poche, s'il-vous-plaît !), ce qui n'est pas négligeable. Seulement une fois ce stade dépassé, j'ai été relativement choquée par un grand nombre de scènes violentes et sanglantes dans lesquelles tous les animaux de la steppe y passent. On touche-là je pense au nerf du livre : la chasse aux loups qui prend des airs de génocide, en écho au génocide chinois par les Mongols au 13ème siècle (critique ? vengeance ?), et peut-être, je l'espère, pour dénoncer le génocide religieux tibétain, largement débattu et condamné chez nous mais tabou chez eux. La phrase "We're killing the wolves to eliminate a destructive force and protect national property." p206 prend alors toute sa dimension.
Ce roman encense la Nature, lui rend hommage, la défend contre les hommes égoïstes, imprudents et irréfléchis, mais profère des critiques et dénonciations que j'ai peur de ne pouvoir démêler avec la maigre culture en histoire chinoise et mongole dont je dispose.
Outre cet aspect, la violence et les barbaries faites aux animaux m'ont vraiment gênée. C'est cru et cruel. J'imagine bien pourquoi certaines populations de certains endroits sont amenées à tuer pour leur survie, mais là (et ça rejoint l'idée de génocide), l'amie des bêtes que je suis (sauf de certains insectes, mais je m'égare...) n'a pu supporter les dizaines et dizaines de pages dégoulinantes de sang.
Je n'ai pas non plus apprécié les incessants "vous les Chinois" ou "vous les Mongols" sur fond de critiques sociétales.
En définitive, j'ai trouvé ce roman qui vient de loin trop long, à la limite du documentaire, parfois choquant, mais instructif sur certains points.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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