Huit nouvelles parues dans les pulp des années 47 à 49. Curieusement, certaines traductions sont actualisées dans les années 70 créant une distorsion imbécile. Huit nouvelles bien noires, des histoires de vengeance, de sanglants règlements de compte, de rapt et d'escroquerie qui finissent mal en général, sauf « La nuit s'achève » et « Une veuve célibataire » où l'amour décoche ses flèches, et laisse espérer une fin heureuse. Un témoignage sur l'excellence de la production du polar américain de la période classique.
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Lowery, campé sur le pas de la porte dit avec lassitude :
— Pour certaines choses, tu es presque génial, Raffidy. Mais avec les femmes, t'es pas doué.
Max s'emporta :
— Qu'est-ce que je devrais faire d'après toi ? La garder comme porte bonheur ? (page 213)