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Si l'on connait les Avengers grâce à leur médiatisation cinématographique, on peut moins connaitre, la Ligue Justice, ce regroupement de super-héros mais dans l'univers DC. Cette ligue qui se compose dans ce premier tome de Superman, Batman, Green Lantern, Flash, Wonder Woman, Aquaman et Cyborg.

Alors, autant je connais un peu Superman et Batman, un peu moins Flash, Green Lantern et Aquaman, et pas du tout Wonder Woman et Cyborg. Disons que les deux premiers sont bien plus populaires et qu'on a tous vu ou lu au moins une de leur aventure.

Véritable point de départ de la relance des News 52 organisé par DC Comics il y a deux ans, je n'avais pas encore eu l'occasion de me lancer dans cette série, préférant découvrir dans leurs séries respectives les aventures de chacun des super héros (hormis Cyborg et Flash qui n'ont pas encore de série personnelle ).

J'avais une petite appréhension, j'avais peur que cette surenchère de super-héros donne quelque chose de bâclé, focalisé sur de l'action pure et laisse peu de place a un scénario. Ce n'est pas du tout le cas, l'intrigue est d'ailleurs bien ficelé et donne tous son sens au regroupement des personnages. Les caractères de chaque héros est bien respecté, et l'on se rend compte que chacun a son utilité suivant les situations.

Ce premier tome est une bonne entrée en matière. L'intrigue se conclut à la fin, et la Ligue de Justice est fondé. Un chapitre supplémentaire, relance légèrement l'intrigue, en implantant l'arrivé de nouveaux héros, et l'éventuelle formation d'un ligue de vilains.

Je n'ai pas trouvé un seul défaut au cours de cette lecture, c'est simple, abordable, travaillé. Bref, rien à redire si ce n'est que je suis parti pour une nouvelle série.
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Encore une fois, j'ai craqué devant un tome de la Renaissance de DC Comics, et aujourd'hui c'est au tour de la célèbre Justice League, qui d'ailleurs aura droit à son film en 2015, alors il est grand temps de s'y mettre !

J'ai eu peur au départ en voyant que les super-héros apparaissaient avant tout comme immatures, notamment Green Lantern, alors que ce sont pour la plupart des adultes accomplis. Mais au fil des pages, on se prend au jeu des répliques à deux balles : Aquaman vanné sur son dentifrice Aquafresh et des surnoms qui fusent dans tous les coins, ça n'a pas de prix ; pour tout le reste, il y a… Jim Lee ! En effet, loin de remettre en doute le talent de Geoff Johns, qui chapeaute l'ensemble de l'univers DC, mais ici c'est clairement lui qui pêche un petit peu car son scénario est bateau, même si pour une histoire des origines, j'imagine que l'enchaînement des rencontres et des combats téléphonés est inévitable. Face à cette baise de régime au niveau du scénario, on a une énorme compensation : le dessin. Et quel dessin ! Oh-la-la ! Quel dessin ! Jim Lee nous sort la totalité de sa palette graphique pour des dessins d'une expression assez rare, je crois, avec une vivacité dans le trait et une variété dans les expressions vraiment enthousiasmante. C'est un bonheur fou de regarder ses planches ! L'ensemble fait parfois irréaliste, mais ce n'en pas moins agréable, d'autant plus qu'on nous gratifie follement de planches énormes qui dépassent du cadre habituel, l'une se permettant d'être magnifique sans être dans le sens habituel de lecture.
Finalement, face à un Superman hautain, à un Flash trop décalé et à un Green Lantern vantard, on découvre un Batman charismatique et fier d'être sans pouvoir, un Aquaman plus bad-ass que jamais et surtout, surtout, une Wonder Woman splendide, qui est, je crois, ma favorite ici (choix facile, j'avoue, tellement elle paraît pétillante de vie) : elle dégage une vigueur, une candeur et une sincérité phénoménales (dans le trait comme dans sa personnalité), on a vraiment envie de découvrir le monde de la Justice League en la suivant à la trace. En « bonus », Geoff Johns place son chouchou : j'ai nommé Cyborg, qui est surtout intéressant dans son rapport familial, mais rien de bien passionnant à son propos sinon qu'il sert à nouer l'intrigue par des ficelles scénaristiques, car c'est là que le bât blesse : ce titre « Justice League » est là pour épater la galerie et pour nous en mettre plein les yeux. On ne s'embarrasse donc pas de fioritures ; laissez votre cerveau au placard avant la lecture car ici c'est le combat qui prime ! L'avantage est qu'au moins, chacun a son franc moment de gloire.
La jolie édition d'Urban Comics nous offre également de nombreux bonus graphiques en fin de tome : une dizaine de couvertures alternatives (et vu la diversité des traits et des dessinateurs, c'est de l'or !) et les recherches faites par Jim Lee sur chaque personnage de la Justice League. du très bon.

Un tome implacable donc, l'épilogue laisse énormément de pans de l'univers DC Comics en suspens devant une scène qui pourrait paraître anecdotique pour les non-initiés. L'intrigue principale est simple, mais ça fait plaisir de retrouver des super-héros avec des personnalités bien contrastées, mais surtout avec des designs tout bonnement parfaits !
Je tâcherai sûrement de me procurer la suite un jour... encore des sous à dépenser... (aaaaah !)

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J'ai renoué avec le monde merveilleux des super-héros avec l'opération 48 heures BD 2017. J'adore les scénarios et les dialogues de Geoff Johns, j'adore les dessins de Jim Lee, c'est cool, c'est fun et l'epicness to the max est bien au rendez-vous. Mais si j'ai passé un bon moment, en matière de super-héros il en faut désormais plus que cela pour m'emballer !
On nous explique que DC Comics a pris un pari en refaisant redémarrer toutes ses séries au numéro 1 sous le nom de « New 52 »... Mais comme c'est la 5e fois depuis le début de l'âge moderne des comics (avec un 6e reboot/relaunch en cours sous le nom de « Rebirth »), ce n'est ni risque ni pari mais un simple processus marketing (sans parler que plus les choses changent et plus elles semblent les mêmes).
Entre le dictatorial Comics Authority Code, le castrateur cahier des charges, le suranné politiquement correct, les pesanteurs des impératifs économiques, et l'ancestral poids des totems, la marge de manoeuvre pour les auteurs est assez mince ! On a un turn-over de scénaristes, de dessinateurs et de coloristes, qui utilisent le peu de liberté qui leur est alloué en remettant au goût du jour des personnages délaissés ou en inventant de nouveaux personnages... Dans un cas comme dans l'autre les séries dérivées se multiplient, et au final les astres finissent pas être propices au retour des Grands Anciens tellement archétypaux qu'ils en sont éternels, ce qui nous amènera au reboot / relaunch suivant qui enverra à la poubelle toutes les innovations du reboot / relaunch précédent... Et la Justice League ou Ligue de Justice en VF est l'un de des archétypes universaux : on appelait ses membres Chevaliers de la Table Ronde au Moyen-Âge, et on appelait ses membres Argonautes dans l'Antiquité... Les intellos débilos les considère comme appartenant au cul-de-basse-fosse de la culture populaire, mais c'est justement de voire comment les super-héros épousent leur époque qui est intéressant : véritables reflets des sociétés qui les ont vus naître, ils ont porté les espoirs et les craintes de leurs auteurs et de leurs lecteurs en étant successivement anti-nazis, anti-communistes, groovy, rebelles, punks, post-guerre froide et post 11 septembre...

Dans l'univers « New 52 » (appelé « Renaissance » en VF, ce que mettra les éditeurs dans la merde avec le reboot / relaunch appelé « Rebirth » ^^), les super-humains sont considérés comme des aberrations quand ils ne sont pas suspectés d'être des monstres voire des ennemis publics... Sauf que ce bon vieux Darkseid recyclé en collecteurs ressources humaines décide de moissonner la Terre et que seuls les super-humains peuvent empêcher l'extinction de l'humanité ! (enfin celle de New York / Métropolis, parce que le reste du monde les Yankees s'en battent les steaks hein ^^)
Par ordre d'apparition, nous avons :
- Batman est une légende urbaine et non une célébrité superhéroïque, sérieux mais non sombre c'est par son humanité qu'il apporte un point d'équilibre au groupe de super-humains destiné à devenir les Super Sept / la Justice League
- Hal Jordan est arrogant, égoïsme et m'as-tu vu, du coup on se demande comment il a pu intégrer le noble corps plus Space Opera tu meurs des Green Lanterns (remember "Lensman" / "Fulgur" d'Edward Elmer "Doc" Smith ^^)
- les épaules débarrassés du poids de la civilisation kryptonienne, Superman est plus humain, plus accessible, mais plus fragile et plus faillible...
- Barry Allen alias Flash est ici toujours un membre de la police scientifique, et son altruisme compense l'égoïsme de son ami Hal Jordan / Green Latern
- Wonder Woman est une transfuge de l'âge d'or de la mythologie, c'est donc tout naturellement qu'elle est chapeautée par l'agent Steve Trevor qui s'échine à l'empêcher de faire trop de dégâts... DC Comics s'est inspiré du Thor des films Marvel Comics qu'ils ont trouvé trop cool, et comme Marvel Comics a trouvé trop cool la déesse badass de DC Comics c'est tout naturellement qu'ils ont décidé de travestir Thor en princesse guerrière... C'est d'autant plus ridicule que la série possédait des personnages féminins très forts qui ne demandaient qu'à être mis en valeur (Hela, Sif, Jane Foster, l'Enchanteresse... Oui mais non, "Thor : Ragnarok" qui aurait pu faire cela a réalisé l'exploit de presque toutes les oubliées... Soupirs).
- Aquaman débarque d'un peu nul part, mais en tant que souverain né dans la pourpre il veut absolument prendre la tête de la Justice League / Ligue de Justice bien qu'il se fasse un peu bolosser par tous ceux qui sont appelés à devenir ses compagnons d'armes
- Concernant Cyborg alias Victor Stone, comment dire… Déjà que je suis dubitatif sur les quotas ethniques, ici le personnage qui est au centre de moult clichés m'a bien énervé ! Victor Stone est un afro-américain champion universitaire (cliché), fils d'un savant génial qui travaille dans un département secret (cliché), et son père obnubilé par les performances des super-humains en a rien à carrer des performances humaines de son fils (nous sommes dans une mauvaise relation père / fils, donc dans un cliché), et quand il est victime d'un technologie non-humaine son père utilise une technologie non-humaine dans l'espoir de le sauver (cliché ?)...

La part belle est évidemment faite aux super-héros, et Darkseid, ses lieutenants et ses sbires sont dévolus aux rôles de faire-valoir (du coup on ne sait pas d'où ils viennent, qui ils sont et ce qu'ils veulent... du coup nous sommes une fois de plus victimes de l'incurie des scénaristes yankees, et du coup je vous dis concernant Star Wars épisode 8 « fuyez, pauvres fous ! »). On suit l'origin story de la Justice League / Ligue de Justice à travers de Cyborg, et les relations se nouent rapidement entre les différents personnages, et ce d'autant plus que les auteurs nous font bien sentir que l'union fait la force...
Au final c'est le plus faible qui vient au secours du plus fort, les plus égoïstes qui se mettent le plus au service du groupe, et le plus inexpérimenté qui les fait triompher... Un pour tous et tous pour un ? Désolé , même si c'est loin de démériter j'ai déjà lu ça ailleurs, et en mieux (genre le manga "My Hero Academia" qui pioche à parts égales chez ces éternels rivaux que sont DC Comics et Marvel Comics). Mais je serais le pire des pisse-froid si je n'écrivais pas que j'ai bien envie de continuer l'aventure New 52 quand même ! ^^
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Bon, résumons. Dans un précédent épisode dénommé « Flashpoint », Flash, à force de vibrer à tort et à travers, a définitivement rebooté la multi-réalité DC Comics, fixant un nouveau big-bang originel des super-héros à notre époque. Oubliez tout ce que vous avez lu précédemment, cela n'a jamais existé. Ce n'est pas la première fois qu'on nous fait le coup. Ça ne me plaît pas plus que ça mais il faut bien rafraichir le héros pour le nouveau public qui apprend à lire, sans ça le Deux ex machina perd de l'argent, met la clé sous la porte et adieu nos beaux comics.
Et puis baste ! J'aime bien Justice League, rajeunie ou pas.

Justice League vol.1 raconte donc les nouvelles origines de la plus puissante équipe de super-héros du méta-univers. Tout d'abord, ils sont tous recherchés par le gouvernement américain qui déteste l'idée de voir des mégalos ultra-forts et hors de contrôle (surtout hors de contrôle) se pavaner dans les rues en cassant tout. Ensuite les gaillards (et la gaillarde) se rencontrent, se jaugent à coup d'humour mi-figue mi-raisin et de méchants coups de pouvoir, se rendent compte qu'ensemble c'est mieux et groupent donc leurs forces contre un sacré adversaire (Darkseid pour ne pas le nommer).

Ce qui m'a le plus surpris, c'est le caractère des personnages, qui dévie de ce que je connaissais (ah oui, c'est vrai, reboot ! J'aurais dû oublier, un bug probablement). On a un Superman qui ne se prend pas pour un extraterrestre de quatre sous, un Batman qui essaie de faire de l'humour, un Green Lantern mégalo et de dix ans d'âge mental (sérieux, c'est lui qui a la responsabilité de tout le secteur de la Galaxie ? On est pas dans la m… !), un Flash trop lisse, un Aquaman qui veut être le chef et une Wonder Woman qui sort de son île pour la première fois, aime la baston et ignore les dégâts qu'elle provoque chez tous les mâles qu'elle croise. Ah, j'oubliais le pitchoun, Cyborg, qui avec Batman est celui qui a le plus la tête sur les épaules.

Pour le scénario, c'est basique, mais efficace, mais basique. Faut dire que j'ai lu «Justice League - Crise d'identité » il y a peu de temps, où le scénario atteint des sommets. du coup ici on tombe de plusieurs étages. Mais ne vous y trompez pas, c'est marrant !
Et puis il y a le dessin de Jim Lee (que je découvre). Un vrai peintre ce garçon. Ces doubles pages sont titanesques. Quelque chose en lui me rappelle John Byrne. C'est un compliment sous mon clavier. Class !

Que dire de plus ? Que la fin du magnifique objet (vive Urban Comics) montre un petit teaser présentant des personnages plus typés mystiques, comme Phantom Stranger et Pandora. Teaser qui produira sûrement de beaux fruits plus tard.
Et que vous passerez un bon moment si vous aimez ces super-héros.
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Comment nos super héros les plus célèbres de l'univers DC, dans leur lutte individuelle contre le Mal se retrouvent et s'unissent face à une invasion Alien. La Ligue des Justiciers née d'un scénario simplissime - lu et relu mais qui ne fait pas nécessairement recette dans ce Tome - de la rencontre de Batman, Green Lantern, Superman, Flash, Wonder Woman, Aquaman et Cyborg confrontés individuellement à une invasion de monstres venus d'un autre monde réduire la race humaine en esclavage. D'abord perçus comme hors la loi, nos super héros se voient contraints de mettre leurs égos de côté et d'unir leur force pour sauver la Terre de la menace du Grand Méchant et ainsi être réhabilités aux yeux des habitants de la Terre.
Ce scénario passe partout manque cruellement de profondeur – mieux exploité dans son adaptation cinématographique d'animation DC Justice League War, peut-être que le support aide plus?!?! – mais l'histoire ne reste pas moins plaisante à lire avec ces quelques notes d'humour et surtout des personnages aux caractères bien trempés attachants. La force de ce Tome tient dans le dessin des personnages que j'avoue d'une incroyable justesse, le génialissime Jim Lee les dépeint de mon point vue sans fausse note. Leur esthétique et leurs expressions sont tout bonnement époustouflantes tout comme l'ensemble des planches qui nous plongent littéralement dans l'action et que dire de leurs couleurs éclatantes qui leur donnent vie. J'ai tout simplement adoré et vais continuer l'aventure.
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Les dessins sont vraiment superbes et j'ai adoré critiquer Green Lantern pendant toute la BD (il m'a vraiment agacé).
Mais j'adore Flash et bien évidement Batman.
J'ai vraiment hâte de lire la suite.
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Excellente bande dessinée de l'univers DC, le scénario est à la hauteur des magnifiques illustrations proposées. L' intrigue n'est pas forcément au rendez vous, on a plutôt affaire à une démonstration de force des différents personnages mais étant un immense fan du genre, personnellement je n'ai pu que m'en réjouir. Cependant l'épilogue laisse penser à une suite un peu plus développée. A dévorer donc...
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Un reboot de la première rencontre des justiciers, juste avant qu'ils forment la Justice League : Wonder Woman, Batman, Superman, Cyborg, Green Lantern, Aquaman et Flash (oui oui une femme pour six hommes, on devrait être habitué depuis le temps…). Au fur et à mesure Batman rencontre Green Lantern, puis Superman : sauf qu'aucun d'eux ne croyaient en l'existence des autres, ce qui donne des scènes assez cocasses. Bien sûr, tout le monde se retrouve à demander à Batman quel est son super pouvoir, et ils sont surpris d'apprendre qu'il ne s'appuie que sur son intelligence. Green Lantern en profite d'ailleurs pour le prendre de haut et entre ça et ses blagues nulles, il n'a rien d'attachant comme personnage. Par contre il fait beaucoup de références à la culture populaire et j'apprécie assez (même si à un moment donné, entre Transformers, Dracula et Star Wars, ça commence à faire un peu lourd).

J'ai beaucoup aimé la scène où Wonder Woman découvre la crème glacée, c'était très mignon ! Enfin, ça c'est après qu'elle se soit échappé, parce qu'apparemment elle était plus ou moins prisonnière et se laissait faire, ce qui fait pas sens pour cette fière Amazone qui aime sa liberté… Les noms de super-héros sont au début entre guillemets, puisque les personnages ne les prenaient que pour des mythes, mais j'ai pas compris pourquoi « Superman » était orthographié comme ça sur une dizaine de pages. Sérieusement, on a compris.

D'ailleurs, j'ai beau ne connaître que très peu certains personnages, j'ai l'impression que ce reboot a décidé d'ignorer complètement les traits de caractères principaux de nos super-héros préférés : Superman veut tuer des militaires (!) et Batman donne son identité secrète de son propre chef dès la première rencontre avec les héros (!!). Par contre on retrouve bien Batman dans son rôle de leader, notamment quand il répond très sereinement que le chef, c'est lui, mais aussi quand il encourage Cyborg.

Les dessins sont absolument magnifiques, ce qui n'a rien de surprenant et c'est un véritable régal de tourner les pages pour trouver des planches toutes plus détaillées les unes que les autres. C'est donc aussi un plaisir incontestable pour les yeux !

C'est un bon début en tous cas et je suis impatiente de découvrir la suite ! Surtout que les dernières planchent mentionnent Zatanna alors vivement qu'elle arrive.
Lien : https://deslivresetlesmots.w..
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Un retour aux origines, comme l'indique le titre, pour cette série réunissant les plus connus des super-héros DC. Si chacun a aussi sa série (voire ses séries) solo, le rassemblement de la ligue c'est quelque chose !

Du grand spectacle qui en met plein les mirettes, une sorte de blockbuster cinématographique sur papier glacé. Parce que si l'histoire tient sur un fil, c'est bien l'action non-stop et les combats titanesques qui donnent le rythme à ce premier tome.

D'habitude, ça me gêne pas mal que l'histoire disparaisse au détriment d'une succession de combats. Mais il faut avouer que voir les plus grands héros de DC se mettre sur la gueule avant de s'allier, c'est quelque chose. Surtout quand c'est aussi bien dessiner !

Alors on pardonne vite ce côté vitrine à grand spectacle parce que c'est juste le début. D'autant que c'est un moyen pour les fans d'un ou plusieurs de ces personnages de découvrir des aventures peut-être un peu plus épique, en tout cas d'un autre niveau. Car s'ils ont besoin de s'allier, c'est pas pour rien !
Et puis, pour les personnages qu'on aime moins, c'est aussi une façon de garder un oeil sur eux, d'apprendre à les connaître plus en douceur.

Ravi d'y retrouver Aquaman et Flash, sous le trait d'un autre dessinateur que dans leur série solo respective, je suis content aussi de suivre un peu Green Lantern, qui est probablement le seul pour le moment auquel je n'ai pas accroché, alors que des séries estampillées "Lantern", y'en a un paquet !

Ce qui est dommage, c'est le côté trop masculin de cet équipe. Wonder Woman est la seule figure féminine capable de rivaliser avec les Batman, Superman, Aquaman, Flash et autres. C'est l'histoire de DC Comics qui veut ça, mais quand même...

Un des reboot les plus intéressants pour les DC Renaissance avec un tout-en-un super-héroïque. A ne pas louper !
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Il y a à peine cinq ans, nul ne connaissait l'existence des surhommes, et encore moins celle des super-héros...Avec l'apparition de Superman, Batman, Green Lantern et Wonder Woman, les autorités, effrayées par la puissance de ces individus, les déclarèrent hors-la-loie. Cependant, lorsque Darkseid projeta de conquérir la terre, les humains durent ce placer sous la protection de leurs héros. Voici le récit de la première union des super-héros qui allaient bientôt devenir la célèbre ligue de Justice.

Autant vous dires que j'ai été très presser de pouvoir me procurer ce tome. Mais, la vie est une question de choix et au vue des commentaires fait sur divers site internet, certain bon et d'autre mauvais, je me suis rabattue sur d'autre ouvrage que Urban Comics proposait (Batman, Green Lantern...). Mais j'ai finalement céder en magasin, voulant absolument me faire mon propre opinions sur cette oeuvre de Geoff Johns et Jim Lee.
Je vais donc vous faire un résumé globale des mauvais et bons points de ce comics.

- Bons points : Tout d'abord, le fait que ce soit la Justice League ! En effet, pour tout ceux qui ont leur super-héros préférer, ils peuvent se réjouir car cette ouvrage en rassemble un bon nombre (7). de plus, chacun y est bien représenter. Il y en à même un que je ne connaissais pas (Cyborg) peut être est-il inédit ? Ensuite nous avons les dessins de Jim Lee, un chef d'oeuvre pour ma part. Je suis dessinateur amateur, et je me sens humilier par le talent de cet homme (mdr), enfin il a plus de 30 ans de carrière aussi. Et pour finir le scénario, ce n'est pas le plus original, mais il a son effet, sa commence par de la baston entre chaque héros et ce finit par une alliance de fou.

- Mauvais points : La rapidité des actions ! Comme beaucoup l'on dit, les actions et la découverte de chaque héros ce fait beaucoup trop vite, et certain d'entre eux, ne peuvent pas exprimer tout leur potentiel : à part Green Lantern qui prime dans cette ouvrage, les autres héros n'ont pas le temps de réagir. Ensuite le fait que ce soit un retour à la case départ ( les origines ) peut déplaire à beaucoup de monde. Moi je suis très heureux de redécouvrir les origines car je suis un novice en comics.

Donc : Voila un excellent premier tome (a mon humble avis), malheureusement il ne peut plaire à tous, car DC Comics en se faisant viens d'écarter des vieux fans de leur série. Mais ils gagnent aussi un nouveau publique, plus jeune sans doute. C'est donc un bien pour un mal. On peut redécouvrir les super-héors de DC avec un nouveau look, plus jeune aussi et enfin, pour excuser la rapidité des actions, je tient à rappeler qu'il y a quand même 7 héros à présenter en moins de SIX chapitre ! c'est pas évident.

PS : EN espérant que ce commentaire vous auras guidé dans votre choix, je vous dit à bientôt dans le monde des COMICS ! :)
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