Cette critique rentre dans le cadre d'une masse critique.
Surf Mama. Que dire ? Et bien que je n'aie pas été spécialement convaincu. Pourtant, j'aime beaucoup le surf et j'ai appris de nouvelles choses à propos de ce sport mais voilà… le style autobiographique de l'auteur de n'a pas plu. Entre les déboires sentimentaux, les questions d'ordre éducatif et l'envie de faire du surf, j'ai eu l'impression de me noyer dans les vagues que l'auteure a tenté de sculpter via une pipeline.
Trois cents pages nous narrant un changement de style de vie, c'est bien trop long. Certains passages donnent envie de piquer du nez. Peut-être parce que je suis un homme qui n'est pas spécialement attiré par les romans du genre chick-lit.
Toutefois tout n'est pas mauvais, entendons-nous bien. J'ai apprécié de voir comment quelqu'un ne parlant pas le français et ayant trois enfants décide du jour au lendemain de venir s'installer en France et à ce propos, je trouve que Wilma ne s'en est pas trop mal tirée. Autre point positif, on peut y voir à travers l'évolution de ses enfants comment une culture s'adapte où s'individualise par apport une autre.
J'ai apprécié également la police d'écriture utilisée par la maison d'édition cela change un peu de ce que l'on trouve généralement ailleurs, mais cela ne change pas au fait que j'ai trouvé l'histoire bien trop longue à mon gout et même si certains passages m'ont fait décrocher un sourire, je n'ai pas trouvé l'humour british comme indiqué en quatrième de couverture du bouquin.
Il est l'heure pour moi de prendre ma planche de surf et de créer le club Surf Papa, même si je n'ai pas d'enfants.
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J'ai reçu ce livre dans le cadre de Masse Critique de Babélio et je les en remercie. Ma chronique arrive un peu tard j'en conviens et autant vous le dire de suite elle sera brève.
J'ai eu beau essayer je ne suis pas parvenue à terminer cette lecture. Pour être honnête, je n'ai pas pu aller au delà de la deuxième partie. Je n'ai pas du tout accroché avec le style d'écriture que j'ai trouvé fastidieux et avec de nombreuses répétitions.
La quatrième de couverture qui m'avait séduite n'a pas tenue ses promesses. J'étais pourtant impatiente de savoir comment cette femme s'en était sortie face à tous ces obstacles !
Par respect pour le travail de l'auteur j'ai tout fait pour aller au bout mais pour moi la lecture doit rester un plaisir et là cela n'était plus le cas. L'alchimie ne s'est pas produite.
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Livre lu dans le cadre de Masse critique, mon avis va rejoindre l'avis précédent (docteurveggie). Je n'ai pas trop accroché à ce livre, d'ailleurs je ne l'ai pas fini. Je n'aime pas laisser un livre sur le bord de la route mais je ne me suis pas attachée à cette héroïne et je n'ai pas non plus trouvé l'humour british annoncé en quatrième de couverture. J'aime bien l'univers du surf mais je n'ai pas trop aimé le jérémiade de Wilma. Je l'ai trouvé aigrie et pas vraiment drôle, a toujours répéter que le monde du surf est macho, j'en ai eu ma claque et j'ai fermé ce livre.
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Bintang Beer imprimé sur le devant. Ce t-shirt a une signification dans le monde du surf, il veut dire : "Je suis allé en Indonésie, j'ai pris les vagues, j'ai bu de la bière, je suis un as."
P91
On m'avait dit qu'il y avait de belles vagues, autant dire à un alcoolique qu'il y a une bonne bouteille de whisky sur la table dans le salon.
P10.
Selfie Interview with Wilma Johnson writer of Surf Mama