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Critique de Iboo


Iboo
05 décembre 2016
J'ai bien compris... c'est un peu prétentieux de dialoguer avec Socrate.
Mais, moi, je m'en fiche de l'irrévérence d'Alexandre Jollien. Je n'ai jamais fait de philo, de toute façon ! Alors, les grands philosophes antiques... pensez donc si je m'en cogne de savoir si c'est leur faire outrage que de les tutoyer et d'imaginer copiner avec eux.
Passionnée de lecture depuis ma plus tendre enfance mais n'ayant pas suivi d'études secondaires, le seul mot de "philosophie" évoquait pour moi une science bien compliquée qui ne m'était pas accessible.
Jusqu'au jour où, mon fils, à l'époque lycéen, m'a montré un sujet de philo :
"Une table n'est pas une table, c'est un esprit de table. Développez."
Je ne comprenais même pas l'énoncé ! Et aujourd'hui pas plus qu'hier.
À partir de ce moment précis, la philosophie est passée directement pour moi, du stade "compliqué" à celui de "complètement perché" et, de fait, résolument rédhibitoire en ce qui me concerne.

Par conséquent, je ne sais pas si "L'éloge de la faiblesse" est un texte philosophique - j'imagine que les puristes du genre diront que c'est une gentillette approche. Ce que je sais c'est que je l'ai compris et apprécié. Même si je n'y ai pas trouvé de grandes révélations et que, dans l'ensemble, il ne m'a pas subjuguée outre-mesure.
Quoiqu'il en soit, c'est, de mon point de vue, un essai autobiographique honnête et sincère.
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