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EAN : 9782258133532
480 pages
Presses de la Cité (18/02/2016)
  Existe en édition audio
3.02/5   556 notes
Résumé :
Li-ber-té ! Après trente ans de prison, Johann Andersson, plus connu sous le nom de Dédé le Meurtrier, est enfin libre. Mais ses vieux démons le rattrapent vite : il s'associe à Per Persson (réceptionniste sans domicile fixe) et à Johanna Kjellander (pasteure défroquée) pour monter une agence de punitions corporelles. Des criminels ont besoin d'un homme de main ? Dédé accourt ! Moyennant une large commission. Alors, le jour où il découvre la Bible et renonce à la vi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (125) Voir plus Ajouter une critique
3,02

sur 556 notes
A l'idée de recevoir l'assassin qui rêvait d'une place au paradis via les opérations masse critique, organisées par Babelio (que je remercie ici vivement, ainsi que les Presses de la Cité, pour leur partenariat et l'envoi de cette nouveauté si prometteuse), je me délectais déjà de cette belle parenthèse d'humour que serait ce livre dans la grisaille actuelle !

Je ne vous dirais pas si Dédé le Meurtrier a réussi à se réserver un cocon douillet à la droite du Seigneur (ou la gauche, je ne sais plus trop et les marques sur le dessus de mes mains se sont effacées...), mais une chose est malheureusement sûre, c'est qu'il n'a pas réussi à se faire une place dans mon coeur de lectrice, ou en tout cas, pas celle que je lui aurais souhaitée.

Je n'ai vraiment pas accroché et ai peiné pour le finir, car, oui, malgré tout, je suis allée jusqu'au bout de ses aventures et cela pour deux raisons : d'une et la plus légitime, c'est que je m'y suis engagée et que je ne prends pas à la légère cette mission qui nous est confiée et compte bien rester à la gauche du très haut dans l'univers Babelio (ou la droite, je vous redirais ça dès que j'aurai enfilé mes Kickers, là, c'est encore un peu tôt pour les avoir aux pieds) ; et de deux, parce que je ne sais pas fausser compagnie à un livre, même s'il ne me plaît pas ! Car derrière, il y a un auteur et des heures et des heures passées à écrire, lire, raturer, ré-écrire, relire, rayer et motsdire... Enfin, bref, je fais partie de celles et ceux, qui ne savent pas encore bien user de la première liberté du lecteur, celle d'abandonner ! Je vous jure que je me soigne, telle que vous me voyez là, j'ai réussi à en lâcher un avant la fin, il y a pas moins de 18 mois ! Un exploit !!

Bon, trêve de baratin, car je sens que je vais en gonfler plus d'un en faisant semblant d'être drôle, tout en sachant que je ne le suis pas, et c'est pas le but, n'est-ce pas ?

Mon avis, donc et ma triste conclusion : Les aventures de Dédé le Meurtrier sont quelque peu tirées par les cheveux, ce n'est pas une question de vraisemblance, on s'en moque là, mais les ficelles sont lourdes ; on a l'impression que l'auteur rame un peu pour nous apporter sur un plateau une situation burlesque, qui en ce qui me concerne, n'est pas arrivée à me faire rire, ni vraiment sourire.

Je n'ai pas su m'approprier les personnages, à part peut être celui du pasteur défroquée, qui cite à tout va des passages bibliques, avec une aversion profonde pour notre très cher Noé... Les chapitres sont courts, donnant à la lecture un rythme, qui pourra s'avérer soutenu pour ceux qui seront pris par l'histoire de ces trois compères, rois de l'arnaque en recherche active de couronnes sonnantes et trébuchantes pour leur plus grand bonheur, mais pas que !
Il y a plus fort que donner, c'est recevoir...

Alors, comme toujours quand cela m'arrive de « passer à côté » d'une lecture, je repense à tous ces livres que j'encense, prête et qui me reviennent avec un "bof ! » lapidaire pour mon petit coeur littéraire qui en prend un coup, et je relativise en bénissant le Créateur (à gauche et à droite) de ne pas nous avoir tous fait sur le même moule. Car, disons le franchement, quelle tristesse ce serait : plus de débats possibles, plus d'échanges, plus de nuits blanches à essayer de défendre ses petits rectangles de papier froissé érigés en trésors sur l'autel de nos coups de coeur !

Alors je me dis que ce livre en ravira d'autres et que c'est tant mieux pour lui...
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Ouf ! Enfin fini ! Je suis finalement parvenue au terme de ce calvaire littéraire. J'avoue ne pas comprendre l'engouement quasi général pour le roman de Jonas Jonasson. Mais comme le dit le dicton (cliché), les goûts et les couleurs...

Je suis très friande d'humour absurde et décalé. C'est ce qui m'avait incitée à accepter cette masse critique privilégiée. J'ai bien été déçue. La 4ème de couverture de cet "assassin qui rêvait d'une place au paradis" promet un roman déjanté. Je l'ai trouvé, au contraire, très sage et pas irrévérencieux pour un sou.

L'intrigue est (mal) cousue de fil blanc et n'a suscité que quelques très rares sourires polis. le reste du temps, je me suis ennuyée au plus haut point. le récit est creux, vide, juste prétexte à enquiller des scènes burlesques qui tombent à plat. Quant aux personnages, ils sont totalement inconsistants. Je n'ai strictement rien ressenti pour eux, si ce n'est peut-être l'envie de les tuer histoire d'abréger mes souffrances. le style est à l'avenant, plat, sans saveur. C'est écrit avec les genoux.

Si je suis allée au bout du roman, c'est uniquement par respect pour Babelio et les éditions Presses de la cité qui m'ont permis de le recevoir gracieusement. Je les remercie pour m'avoir permis de satisfaire ma curiosité. Je sais maintenant que les romans sensément rigolos à titre à rallonge type "le vieux qui avait avalé un fakir gros comme une armoire ikea" ne sont pas faits pour moi.

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Par moments, je me dis que je devrais peut-être avoir des coups de blues un peu plus souvent car c'est à cette occasion que mon mari, le soir-même, est rentré du boulot avec cet ouvrage sous le bras, ne me le ramenant pas seulement de la médiathèque mais me l'offrant afin de me faire plaisir et de me remonter le moral ! Certes, cela n'a pas marché immédiatement même si j'ai apprécié cette attention plus que touchante de sa part (merci mon mari que j'aime) mais après une bonne nuit de sommeil et m'être plongée dans la lecture de cet ouvrage, j'avoue que cela a bien fonctionné ! Il avait visé juste car j'avais déjà lu de cet auteur "Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire" et j'avoue que j'avais été, à l'époque, admirablement surprise par cette découverte et ici, la magie opère de nouveau !

Quoi de plus improbable, pour ne pas dire absurde, l'idée qu'un ancien meurtrier reçoive du jour au lendemain la révélation divine et décide de se consacrer à Dieu et ne souhaite qu'une chose : répandre le bonheur autour de lui. C'est pourtant ce qui arrive à l'un de nos héros, Johas Andersson plus connu sous le surnom de Dédé le meurtrier. le déclenchement de cette envie soudaine de faire dorénavant plus de bien que de mal : sa rencontre avec Per Persson, le réceptionniste de l'hôtel dans lequel il couche et de Johanna Kjellander, fille de pasteur et elle-même ancienne pasteur. Cette dernière n'est cependant absolument pas croyante, bien qu'elle connaisse les saintes écritures par coeur car elle n'a jamais reçu la révélation divine et surtout, elle n'a jamais pardonné à son père de l'avoir forcé à se lancer dans cette voie. Aussi, on peut dire que ce trio est hors du commun et plus que tout que Per et Johanna étaient faits l'un pour l'autre : eux qui haïssent la terre entière, et particulièrement leurs aïeuls respectifs, sont bien déterminés à prendre leur revanche sur la vie et surtout, à gagner un maximum d'argent possible ! Ils voient d'abord Dédé comme celui qui les aidera à réaliser leurs projets en l'utilisant comme "vengeur" (mais à petites doses, juste un bras ou une jambe cassée ou parfois les deux à la fois) pour une dette non assurée ou diverses autres raisons et, tout cela, contre rémunération bien sûr ! Leur petite entreprise fonctionnait plutôt bien (je vous passe un certain nombre de détails sur les autres bandits du milieu avec lesquels ils vont devoir traiter au cours de cette période car cela aura des répercussions sur la suite des événements) jusqu'à ce que Dédé se mette à poser des question à Johanna. Et pas n'importe quelles genres de questions : genre des questions sur Dieu, Jésus et tout le reste et c'est là le gros premier tournant de notre ouvrage. Dédé le meurtrier ne veut plus faire de mal. Il veut au contraire se repentir, faire don de l'argent gagné à des oeuvres caritatives et aimer son prochain comme lui-même. Aïe, aïe, aïe, cela ne sent pas bon pour le business que notre adorable petit couple avait monté mais, lorsque je vous disais que ces deux-là s'étaient bien trouvés, j'avais entièrement raison car ils ne sont jamais à court d'idées : Après Dédé le meurtrier se sera don le Prêcheur André et son église mais tout cela, j voue laisse le découvrir par vous -mêmes, et, surtout rassurez-vous, car les aventures de nos trois compères sont loin d'être terminées.

Un ouvrage qui vous révélera non seulement encore de nombreuses surprises mais aussi vous permettra un peu de lâcher prise ! Entre un ancien taulard, un faux pasteur (qui en l'occurrence est une femme) et un réceptionniste dont le grand-père était millionnaire et qui lui, gagne des pacotilles, avouez que le casting pour cet ouvrage est on ne peu plus original ! Un ouvrage qui se lit très vite, avec de's chapitres courts et une écriture fluide et légère. Bref, j'avoue avoir souri à de nombreuses reprise au cours de cette lecture et ne peux donc que vous recommander cet ouvrage !
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Je remercie Babelio et les éditions presse de la cité pour ce roman de 382 pages découpé en 72 chapitres assez logiquement présentés par ordre croissant et regroupé en 3 parties inégales intitulées première partie, deuxième partie et troisième partie : pas de surprise ^^, donc !!! du reste je serais impardonnable de ne pas mentionner leur titre Une entreprise pas comme les autres, Une deuxième entreprise pas comme les autres et pour les amateurs de quiz... je les laisse deviner le dernier (notez je placerai la bonne réponse en commentaire pour celles et ceux qui doutent *). Avouez que je suis de bon compte et pour être tout à fait honnête je dois aussi signaler l'épilogue et les remerciements. Ainsi donc, selon une parole célèbre de Jésus : Rendons à César ce qui appartient à César. Et à Jonas ce qui appartient à Jonas. Non pas "GERBONS". Si, si ! Je l'ai entendu ! Oui là vous, dans le fond ! Oui, même si cela fait aussi partie de l'histoire : pas de spoiler !!! D'accord, c'est un prêté pour un rendu.


Tout cela pour vous dire qu'heureusement Jésus est venu sauver Dédé en fin de première partie et grâce à cette intervention divine le roman aussi par la même occasion. Que les âmes sensibles se rassurent contrairement à Paul sur le chemin de Damas, Dédé ne se retrouve pas violemment projeté par terre. D'une part Dédé était déjà tombé si bas en tant que meurtrier et d'autre part il avait déjà roulé sous la table bien des fois que cela n'aurait rien changé. Finalement, dans les deux cas seule une rechute reste à craindre. Mais Dieu, que les 100 premières pages m'ont parues longues ! J'ai vraiment cru que j'allais boire le calice jusqu'à la lie. Pfff... du vin de messe de surcroît.


Outre les trois personnages principaux, il y a aussi dans la seconde partie Börje Ekman, que je trouve tellement représentatif de la figure type du sacristain. Une merveille. Et pour celle et ceux qui ont lu ma critique sur La stratégie du Dauphin de Dudley Lynch sachez que c'est là le parfait archétype de la carpe. Je me rends compte que je noie un peu le poisson, mais comme il est dit je ne sais où : Aide-toi et le ciel t'aidera ! Enfin comme vous serez beaucoup plus nombreuses et nombreux à lire L'assassin qui rêvait d'une place au paradis, on est pas sorti de l'auberge, d'ailleurs elle brûle dès la première partie. Misère, misère... (référence au tube de Coluche). Et pourtant dans tout cette aventure déjantée, pleine de crimes et de meurtres il se passe quand même un petit miracle. C'est le miracle de l'amour. Alléluia.


Alors puisque je suis dans mes comptes : 1ère partie **, 2ème partie ****, 3ème partie **, le tout n'étant pas nécessairement la somme des parties ***. Je prédis néanmoins un grand avenir à ce roman. Il devrait faire un tabac en sortie des bureaux du même nom ou trouver sa voie au départ des kiostes de gare. Si je ne peux pas dire avoir été transporté, il ne m'étonnerais pas que vous puissiez aussi vous le procurer lors d'un arrêt sur l'autoroute. ;)Tous les chemins mènent à Rome , n'est-il pas vrai ? Bref un roman sympathique qui se lira facilement lors de vos navettes quotidiennes, en vacances ou en tout autre occasion d'ailleurs. Un roman qui parle de religion pour le plaisir, sans prise de tête LOL : très réconfortant en ces jours troublés autant que certains esprits ^^.
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J'avais été réellement conquise par le vieux de Jonas Jonasson, mais Dédé et ses deux accolites m'ont légèrement laissée de marbre.

C'est un roman sans prise de tête, qui se lit vite, avec de l'humour. Mais auquel je n'ai pas été réceptive cette fois.... Et pourtant quand on s'attaque à la foi chez moi ça aurait pu le faire. Mais j'ai trouvé l'humour assez lourdingue, avec des réparties frôlant le parquet.
Tout n'est pas pas à jeter bien sur. Ce roman se lit bien et vite, ce n'est pas non plus un calvaire.

Pour faire bref, un roman de plage pour moi, qui ne demande pas beaucoup d'investissement, et qui ne m'a pas emmenée au paradis.
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Citations et extraits (46) Voir plus Ajouter une citation
Le jeune homme dont la vie serait bientôt remplie de mort, de violence de voleurs et de bandits, rêvassait derrière le comptoir d'un des hôtels le plus triste de Suède.
Unique petit-fils de Henryk Bergman, défunt marchand de chevaux, il attribuait tous ses malheurs à sont grand-père, qui avait été, dans son domaine, le numéro un de la Suède méridionale : chaque année, il ne vendait pas moins de sept mille bêtes, toutes de premier choix.
Hélas, à partir de 1955, les paysans - ces traîtres - commencèrent à délaisser les bêtes au profit des tracteurs, et ce à une allure que l'aïeul refusa de présager. Les sept mille transactions devinrent sept cent, qui devinrent soixante-dix, qui devinrent sept. En cinq ans, les millions de la famille s'envolèrent en un nuage de diesel. Le père du petit fils pas encore né essaya de sauver ce qui pouvait l'être. En 1960, profitant des rumeurs qui allaient bon train, il alla prêcher les répercussions de la mécanique auprès des paysans de la région.
Dans le sillage des théories selon lesquelles une projection de carburant décuplait les forces - or,ces hommes en recevait souvent ! -, le père évoqua des études qui démontraient que le diesel pouvait entraîner la stérilité masculine.
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(Le comte) avait reçu son surnom des années auparavant en raison de l'élégante façon avec laquelle il menaçait les clients réfractaires. Il prononçait des phrases du style : "J'apprécierais énormément que M. Hansson daigne régler ses comptes dans un délai de vingt-quatre heures, auquel cas je promets de ne pas le découper en mille morceaux." Hansson, ou quel que fut le nom du client, payait alors sans plus rechigner. Personne ne voulait être découpé en morceaux, peu importe leur nombre. Deux, c'était déjà un de trop.
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Le réceptionniste retrouva son souffle ainsi que l'usage de la parole, et il expliqua à Dédé en termes simples ce que signifiait vingt pour cent de quelque chose. Le meurtrier s'excusa : s'il était devenu pro du calcul quand il s'agissait d'additionner les années de prison, les pourcentages, quand à eux, n'étaient pas sa tasse de thé. Il savait tout de même que l'eau de vie chiffrait à quarante pour cent environ et que cela allait parfois bien au-delà dans le cas d'alcools produits par divers distillateurs peu scrupuleux. Au cours des précédentes enquêtes policières, il avait été établi qu'il avait fait passer ses médocs à l'aide d'alcool à trente-huit pour cent issu du commerce et d'une gnôle maison à soixante-dix pour cent. Certes, il ne fallait pas trop se fier aux enquêtes de police, mais si les flics avaient raison, alors il n'y avait rien d'étonnant à la façon dont les évènements avaient tourné, avec cent-huit pour cent d'alcool dans le sang et des comprimés en plus.
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La citation n'était pas tout à fait fidèle, mais quand les gens sont incapables de s'exprimer avec des mots qui feraient de bons gros titres, les journalistes n'ont d'autre choix que d'écrire ce que l'interviewé a voulu dire au lieu de ce qu'il a dit. C'est ce qu'on appelle le journalisme créatif.
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Le seul à qui ils refusèrent leurs services était un héroïnomane libéré depuis peu qui, pendant la thérapie psychodynamique du pénitencier, avait compris que tout était la faute de sa maîtresse de maternelle, maintenant âgée de quatre-vingt-douze ans. Dédé le Meurtrier trouvait l'idée plausible, mais Per Persson et Johanna Kjellander trouvèrent les preuves trop minces.
L'héroïnomane repartit bredouille, d'une démarche lourde. Ironie du sort, la vieille dame mourut deux jours plus tard d'une pneumonie, anéantissant ses rêves de revanche.
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Entre appât du gain, choc des cultures, amour de l'art et haine de son prochain, une comédie facétieuse et déjantée, comme le truculent Jonas Jonasson en a le secret !
https://www.lisez.com/livre-grand-format/douce-douce-vengeance/9782258193475
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